FLORE DES SERRES ET DES JARDINS DE L'EUR D - v x ры ANNALES GÉNÉRALES D'HORTICULTURE. f DES ты 5810 Le ANNALES GÉNÉRALES D'HORTICULTURE. COMPRENANT Tout ce qui concerne le jardinage d'utilité et d'ornement ; la culture des plantes de serres et de plein air; celle des plantes potagéres, des arbres fruitiers et forestiers; la description des plantes les plus récemment introduites dans les jardins; l'examen des questions d'histoire naturelle, de météorologie et de physique générale qui intéressent le plus directement la grande et la petite culture; des relations de voyages, etc., PAR MESSIEURS: Alex. Eivort, Collabor. des Annales, "e Een de Pomologie, etc . Biv E. Boissier, Membre de la Société de physique « de Genève, de la Soc. Linn. de Lo кү, ete. Ad. —' у der Tasta Prof. de botan. au Musée өні: st. peste гем vede {er Vice-Prés. de la Soc. Impér. d'Hort. F. Burvenich, Prof. à l'École leng г Pax à Gendbrugge-lez-Gand. Alph. de Candolle, Membre correspondan de l'Instit., contin. du Prodrome, еіс. Атри. Ю.С. E. A. € » Chef des EENT au p des Plantes de Paris, ete., ete CAR b de l'Acad. ry. des rof. de Bot. à l’École d'Hort. p^ г "État à бөпені “laman F. €. m" caisne, У. °F Présid de l'Acad m mag , de Instit. Impér. ‘de France. Fr. Desbois, l'un des chefs де, cunc à T "аы, horticole de Gendbrugge-lez-Gan de daper : Cherbourg. uysson, au Vernet. Cte DB. ape bog ee l'Institut, Prof. à la "E des Sciences, ete. Dr œppert, D. M. Directeur du Jardin | Bo e tanique. b. Come à hérite sité de cias Mem e ГАсай. Nat. Cur бое Karl сінік РР Berlin. К. К. ТОМЕ Henri Lecoq, У. Membre corresp. de l'Institut de France et de dequo d'Egypte, Directeur du Jardin Botanique et de Botan. à la гас des Se. de Clermont- Paras F. A. W. Miquel, Prof. de Botanique à ra Fac. des Lag ud d'Utrecht, ete. Ch din, Membre ый о au Мазда d Histoire Naturelle de Par DN. J. E. Planchon, Dir. de l'Éco supér. de ы et Prof. mI Fac. des Sc. de ыш аы etc. AER J. Putzeys >=. Secrétaire général du Ministère ` de la Justice, Vice- Président de la Société royale de der à Bruxelles J. Per. ydt e Secrétaire de la ge: Gi je Mons «РУ rof. à l'École d'Hort. e l'État à Te er Gand, architecte de NS etc., à Gan chenbach fi . ès Scienc., m e et tb. du Jardin Mui de imkoni, м em J. van Volxem, à Bruxelle B. Verlot, Chef de l'École dé Botanique au a Jardin des Plantes de Par Herm. Wendi d. à Herrenhausen. т» WEND is Van H iculteur, "Pref: "o Directeur de Ecole d Jie % Vë ee rugge-lez-Gand, etc. ete. ; Editeur de la Dun XVIII. C7 Gand (Belgique), LOUIS VAN HOUTTE, ÉDITEUR. 190935 RATA “МИ Ж Ce 427 SERRES ET DES JARDINS DE L'EUROPE de AR чему: аннан, iin 1 ш a TRICYRTIS? FOLIIS ALBO STRIATIS. 2 Japon. erst rene. FLORE DES SERRES ET DES JARDINS DE L'EUROPE, ANNALES GÉNÉRALES D'HORTICULTURE. 1820. TRICYRTIS ? 9. FOL. STRATIS, Melanthaceæ $ Uvularieæ LiNpL. Nous avons aequis cette jolie pana- chure de feu le Dr von Siebold, qui l'avait reçue du Japon. Cette plante, dont nous n'avons pas encore vu la fleur, est toute nouvelle dans nos eul- tures; nous ignorons méme si elle ap- partiendra au genre Tricyrtis ; mais, coup sür, elle nous a été vendue à n comme appartenant au T. hirsuta, car elle est tout à fait glabre. Elle est rustique. Le Vi. Т 1660. L'ORIGINE DE NOS ARBRES FRUITIERS, PAR LE PROF. Сн L'origine première des arbres fruitiers de l'Europe a déjà beaucoup occupé les savants, et il est probable qu'ellesera encore longtemps l'objet de leurs conjectures. En attendant que la question soit définitive- ment résolue, si elle doit jamais l'étre, il y a E de тр à connaitre 2 орі- ons qui ont с urtout lorsqu' elles aient d'hommes faisant au- torité sur la matiére . Or, il en est peu qui solent plus e iei que le savant professeur de botanique de l'université de Berlin, M. Ch. Кош. que ses travaux par- re sur les arbres classent au cp rang des dendrologistes de l'Eu Ses voyages multipliés et la longue uide qu'il a faite, sous les climats les plus divers, des arbres sauvages et des arbres cultivés, don- nent incontestableme nt une grande valeur à ses conclusions relativement à l'origine de ces derniers. Voici, d’après le Gardener 8 Chronicle du 5 5 septembre 1868, comment il les a résumées dans une des derniéres séances de [Association britannique pour le id б des scienc ‹ а longt empe que je m'occupe de TOR l'origine de nos arbres fruitiers, et, dans се but spécial, j'ai parcouru pen- хуш. . Косн. dant E années le Caucase, eer? nie, la Perse et l'Asie Mineure, et j'y a récolté une immense quantité de maté- riaux. Quoiqu e je ne puisse pas affirm que j 'aie trouvé nos divers arbres fruitiers tout à fait à l'état séi je n'en suis pas moins venu à r que les Poiriers, les , les Cerisiers, la plupart des bre. "les Pê chers et les Abricotiers, sont étrangers à nos climats. Il n'y a qu'un petit nombre de Prunes, et des plus mauvaises, qui soient sorties du Prunus insititia de 2 e. Le Cerisier à fruits Ана mais поп le Cerisier inus A а été, au de montagnes septentrionales de l'Asie Mi- neure, et "nulle part je n T ai rencontré à l'état sauvage le Cerisier à fruits aigres, mais tré ès-fréquemment au contraire le Ce- risier à ded Men doux. La Cerise aigre est tout et, par suite, de tous les noms de la Cerise 1 2 MISCELLANÉES. dans nos langues modernes. De là aussi le nom de l'ancienne ville de Cérasonte, pro- bablement parce que son territoire produi- ? , е quer avec certitude la souche première des arbres fruitiers, mais je puis au moins exprimer ma conviction que nos Poiriers descendent probablement de deux et peut- étre de trois espéces. L'une d'elles est sau- vage en Arménie Perse; elle se distingue à ses feuilles allongées et duve- ses; lautre est de la 05 Pommiers ne sont pas plus indigènes en Europe que les Poiriers; ils viennent comme eux de l'Asie, mais de régions plus septentrionales, telles que la Mongolie, la : Divers Pruniers sont incontestablement à l'état sauvage dans la partie orientale du Caucase, et i s do une de Damas quoiqu on ne la rencontre point autour de е. La Prune-Cerise, ou Myrobolan, abonde à l'état sauvage dans la Transcau- сазле et en Arménie, et elle п’ chose que le Prunus di nistes. Mal ү provinces sud-orientales de la Perse; peut-être méme y trouverait-on des individus sauvages d'Amandier et de P cher, ee que je n'ai pas été à vérifie côtes méridionales de la mer Caspienne. ` Des naturalistes et des jardiniers ont dit avant nous qu'il n'y a pas de différence spécifique entre l'Amandier et le Pécher, ue ernier n'est qu'une variete d'Amandier dans laquelle Је brou du fruit est devenu charnu et le noyau rugueux. D'autres botanistes, qui tiennent pour Горе nion contraire, indiquent comme caractère e distinctif des deux espèces les glandes que M le pétiole des feuilles d'Amandier porte à son sommet, prés du limbe; mais dans les Brugnons le pétiole est presque toujours muni de ces glandes, et alors on ne saurai en faire un caractère spécifique. Habituel- lement les fleurs de l'Amandier sont d'un lane earné ou d'un rose clair, tandis que celles du Pécher sont rouges. Sur les bords du Rhin, on voit beaucoup d'arbres à fleurs ` doubles qui sont considérés par les uns comme des Amandiers, par les autres omme des Ресһегв. J'ai moi-même vu © véritables Amandes sur un arbre qui avait les fleurs d'un rouge foncé. : En France, et probablement aussi en An- gleterre, on cultive une variété de Pécher ou d'Amandier dont le brou est charnu et un peu déhiscent ; c'est l'Amandier-Pécher des jardiniers. La variété est devenue соп- stante, car ses noyaux la reproduisent sans changement bien notable. Quelques botanis- tes prétendent qu'elle est hybride des deux espéces, ce que sa constanee à se reproduire de graines m'empéche de croire. Un jardi- nier des environs de Berlin m'a dit avolr obtenu de véritables Amandiers d'un semis de noyaux de Pécher à fleurs doubles e! rouges. D'autres jardiniers m'ont affirme la méme chose; toutefois leurs dires n€ méritent peut-étre pas une entière CON- fiance. | J'ai fait de fréquents voyages en France pour y étudier l'Amandier-Pécher, et Jal surtout séjourné à Angers, où j'ai trouvè chez M. André Leroy peut-être la plus riche collection d'arbres fruitiers qui existe au n * onde. Six échantillons d'Amandier-P£- cher, de sa co ection, ont complètement Гарра € vrais Amandiers; la seule diffé le brou est charnu, sans être pour cela d’un 6- i 4 г. Plusieurs voyageurs m'ont dit avoir vu des Amandiers sauvages près des. ek, — Zë rence se manifeste dans le fruit, dont | d pon Реп) (Кат COBÆ A PENDULIFLORA ID Hook erep. Serre temp АРС ДӘ. , B 4 ( D T э D 1821. (ODA PENDULIFLORA ¿ v. wu Polemoniaceæ. CHARACT. GENER. — Vide Poe XIV, n° 1467. CHARACT. SPECIF. acilis, pers foliolis petiolulatis liess c Ak: aeutis cu- minatis tusis v. subco epalis шев oblongis due orollæ e obis lorifor- mibus pendulis undulatis apice 2-fidis, filamentis longissimis inter lobos civile longe exsertis ho deii: patentibus, stylo longissimo stigmati- vba ا‎ . J. D. Hook. Bot. Mag. 5757, icon, l.c ARSTEN FL. Co- n | hic е Cohen pendulifiora J. D. ge | lomb. p. 27, t. 14. Que le lecteur revoie, en méme temps ue la figure ci-contre, celle du Cobæa | scandens à feuilles panachées que nous avons publiée à la page 199 de notre ХІУ volume, et son étonnement égalera le nótre quand il comparera ces deux | plantes que la science a su classer, bien qu'à première vue elles soient si dis- semblables. Les corolles de la nouvelle venue, aux lobes lacérés de 3 à 4 pouces de longueur, rappellent, par leurs laci- nies, celles de l'Uropedium , des Cypri- ped. caudatum et Pearcei ; ses étamines exsertes miment celles des Methonica et semblent, comme dans ce dernier genre, favoriser singuliérement, comme | le fait observer le D" Hooker, les opéra- x tions du fécondateur auquel cette plante offrira bien des ressources. | Découvert par Fendler et publié par | Karsten (1. с.), ce nouveau Cobæa est originaire des montagnes des environs de Caracas où il eroit à 6,000 pieds d'al- titude supra-marine ; il a fleuri pour la premiére fois en Europe en décem- bre 1868, dans la partie la plus froide de la serre à palmiers de Kew. L. VH. goüt agréable. J'ai récolté sur ces arbres, уа quatre ans, des fruits qui appro- chaient de leur m maturité, ainsi d fruits d'Amandiers vrais qui étaient plantés tout à cóté; j'ai l'honneur de mettre ces (ruits sous vos yeux afin que vous jugiez de a différence. П y a deux ans, j'ai revu ces mémes fruits allongés, tels que ceux que je vous présente; mais au mois d'aoüt de l'an- née derniére, dans une Gees visite aux pépiniéres de M. Leroy, j'ai trouvé sur les mémes arbres, à la place des fruits allon- gés, des fruits ronds, semblables à des Pé- ches, et à noyau plus rugueux que ceux des années précédentes; vous pouvez en juger E ч EE que je fournis à votre ex Ta а! ott vu des variétés d'arbres frui- tiers reprendre brus uement, sur certaines branches, les caractéres primitifs de l'es- | + 1661. ал іп я Arctocalyx Endli- Cherianus und Sinningia-Arten besitzt und geneigt w äre, mir von denselben in Tausch рёсе. Cette Mp Hess de la variété s'explique naturellement par 1а loi d'ata- visme; mais, dans T диен datis vin je viens de vous entretenir, il y a contraire, un avancement subit dans i sens de la variété, son fruit étant devenu plus voisin de celui du Pécher que de celui de l'Amandier. Tous ces faits sont incontesta- bles et incontestés, mais je me borne à vous les ы мес 2. А ы ладан le soin d'en tirer des usions En terminó sa lecture , M. Koch a an- noncé à ses auditeurs la iê se appa- rition du premier volume de son grand travail sur les arbres. On y trouvera beau- coup d'autres faits de biologie qui n'ont pas pu être résumés dans cette courte notice. NAUDIN. Revue Horticole. i ANZEIGE. oder gegen Baarzahlung abzulassen, w лга ersucht, mir davon gefälligst ШЕШ mache: zu wollen. + 1662. LES GRANDS MEMBRES DES GRANDS JURYS. La ville de er célèbre par la renom- mée quy lai eu Меш, ne faisait guére parler d clle depuis assez longtemps, quand une réunion d'hortieulteurs, jeunes et vieux, et qui certes ne comptent ni parmi les moins vaillants, ni parmi les moins intelligents de Sie: confréres, décida qu'elle sortirait de s ‚ et que la terre classique de Beie ferait reparler d'elle en faisant affluer du dehors, à un jour donné, qui, de prés ou de loin, us connexe à l'horticulture. Cette énergique phalange réussira si sa кеке, € sait s Oli- 8 par- MISCELLANÉES. эы 1е р р [жне ©, et maintenant de jeunes et vigoure de pins couvrent | 750 hectares ой lan i e e ds chéne et le bou tte тапаншаның du peuple- Б аан une étonnante Dub ке C'était en chemin de fe Feu James Cunnin ha avail, r, en Flandre, am, d'Edinbour 5 раг extraordinaire, employé pn plus admirer, ete. ; ear ces braves zélés ne ` distinguent pas plus un Giraumon d'un oncombre, qu'un rossignol е Arcadie ne différencie un soprano n° > n cheur de Quimper-Corentin On les rencontre en лас de fena entretenant leurs voisins du but de leur _ « Je fais partie du grand jury. | “А; Ју suis appelé par les sommilts | e = hi dine! — » Où sont situées vos cultures, Monsieur? — « АР), les encore, mais. je vais m'en donner! On sait que ni les sous ni l'envie de m'in- struire пе me SE F: — Dis-done, Caracalla! quand tu sera ministre des affaires étrangères tu me feras nommer ambassadeur en Prusse!.... un fameuse occasion pour desse l'alle mand ! үн. (1) Нуз t-W., vit un défunt < , sement de » notre Éd V3 tint er mporta, Е" peignit en vert | Lay Ы M ses épines en noir d'ébéne et ` l'e өй il lui s | өшіре, escorté de nii en gronde cérémonie! "die DU PIN SYLVESTRE. tion dans le régime des eaux. А mesure que les massifs de P Pins maient, le sol se desséchait; les recevaient plus d'eau et devenaient inutiles; les bécassines désertaient la forét. Aprés ` avoir desséché la surface du sol, les nou- velles vd Г fee issement, ment des sources, жиы qui pm ver ts puis иза әй da; Pin sie estre est iid constatée d une façon péremptoire. (Cosmos.) T 1664. PAR MONTS ET PAR VAUX. moyen de оер, — Jena le | (b 3 emmy, nom ie. qu'on З: 4 enfant ` ‚ je n'ai guère de plan- ` vingt-cinq ou рови ans de cela! = ‚В. бап f it d'une muraille, 2 l'o епп а 1ге médaille, que adjoint, " i pu au sylvestres se for- - fossés, ouverts pour faciliter l'éducation du pin, ne. pineraies produisirent graduelle- - le tarisse- ` à mesure que les alimentaient étaient cou- | age a mas issifs de résineux. C'est | E ім : S | (и Dorr: du Monde out A MORENA (Fspag?re.) 4 , ba D ш o < E Фф z < а u - ц. u Q MIMULUS LUTEUS FOLIIS ALBO - MARGINATIS. 1822. MINULUS LUTEUS FOLIIS. VARIEGATIS, " "| En classant les Mimulus parmi les plantes « joviales, » nous ne commet- trons certes pas d'hérésie scientifique. Rien n'est plus réjouissant que ces frai- ches corolles ayant un joli feuillage pour arrière-plan. Rappelons en passant les jolies variétés que nous en avons don- nées page 111 de notre XV* volume. Pour ne dire qu'un mot de la jolie pana- chure que nous offrons aujourd'hui, ap- prenons à nos lecteurs qu'elle est née dans un semis, au Науге, et que nous en devons la possession à notre compa- triote M. Edm. Van den Noortgate, dont le nom, comme on le remarquera facile- - ment, à une senteur de terroir trés-pro- т noncée. — < Quel nom barbare que celui de Ghiesbreght! » nous fit un jour le D" Lindley; — < et celui de Sha- kespeare, « lui répliquàmes-nous, » est-il plus aisé à écrire et surtout à pro- попеег ? » Les Mimulus craignent l'humidité de l'hiver, saison pendant laquelle on leur ménage l'eau dans une bonne petite | place, prés des jours, dans la serre froide; le plein air, pendant l'été, à moins qu'on ne veuille en tenir en pots, en terre bien terreautée. Revoyez ce que nous avons dit à cet égard à la page 2 du XIV* vol. et à la page 111 du XV* de la Fronr. L. VH. menton appuyé sur le bec de son grand parapluie de famille, regardait la cam- pagne, riche de ses moissons dorées; il faisait la moue, et nous disait : what a flat country! Que ce pays est plat, de physio- nomie monotone! — Oui, c'est vrai, répli- quames-nous; mais après récoltes, nous Irons chasser le coq de bruyère dans vos rochers arides! — C'était faire, par dépit patriotique, la satire de son dédain. d M э 3 ] s 15525 donner en Angleterre; abréviation de James, son prénom. le ned Geer ion né en 1784, à Carluke dans (Ecosse) est mort le 22 octobre 1851 e son établissement de Comely Bank, Edin- apprentissage assez long en à Kew, feu Ma ‚ €t tous deux ded ge, + n morceau de lerre qu Шы га imt grâce à son intelligence hors ас ". eee établissements de l'Eu- ° lui е а Surtout comme hybridateur ; са: VIP m utres, le Bryanthus erectus eeng Deg sé une foule d se r Rho Eege ie e en renom aujourd'hui. 5 іре 24 е parler de cet excellent homme à la © generation : elle ne l'a pas connu; mais les hus C e notre âge aiment à se rappeler le bon LIT ` , D iri unningham et à payer # sa mémoire un rmbut mérité, vis Il est notoire qu'en Flandre, pour qui | n'en est jamais sorti, la vue d'une simple | colline laisse dans le souvenir une im- | pression poétique, qu'on aime à ressentir | en allant visiter, par exemple, les monti- | cules et les vallons de Renaix, Mons, etc. | Puis on voyage — c’est bien autre chose! | — De merveille en merveille, on passe de | l М l'Auvergne en Espagne..... оп s'aventure ans la Sierra-Morena.... Épargnons un long voyage à ceux d'entre nos compatriotes qui ne songent pas à sortir de notre Flandre bien-aimée ; montrons-leur un échantillon de cette majestueuse horreur, de cette sublime sauvage de lun des nombreux l'un des formidables ravins que l'on rencontre dans les montagnes de l'Andalousie et que Gustave Doré nous a représentés de main de maitre dans le Tour du Monde! Et de cette horreur-là, passons à une autre. Faisons voir, dans la planche sui- vante, qu'en allant en Espagne, nos Collar et autres intéressants marchands nomades d'habits tout faits auraient à défalquer, du nombre de leurs clients, cette fraction de la population péninsulaire qui ne porte rien à son budget pour achat d'artieles de 6 Best -- m à nos campagnards que si, dans notre Flandre, par exemple, А KORA (ее de terre doit apporter forcément son tribut, il n'en est pas de méme en GER au iex т» pays trop riche pour y r esi prés : là les plantes du bon Dieu леш à leur aise la plaee que, dans notre pays, on n'aban- t 1665. FORMATION DU PÊCHER А BRANCHES OPPOSÉES. Dans la séance de la Société impériale et centrale d'horticulture de Paris, de facon qu'il n'y ait que les s ous-yeux (yeux-stipulaires et contre-stipulaires) qui lesquels, en se déve pant, pro- uisent deux ou plusieurs bourgeons tant de chaque côté de e M ins laissée par l'œil enlevé. On e cette ma- niére des branches diamétralement орро- sées comme les bras d'une c Tout en reconnaissant avec MM. Lepére et Meurant l'utilité majeure de се mode nous ranger de l'avis voir e M. 8, m t de la société с кунщ d'Eu e d 0 écouverte soit si récente que le ае l'honorable je rad M. Meur M. Courtois аа. wune pratique, c KN vulgaire chez lui, soit encore inconn 5 e de s de l'application du soi-disant je pce, n'en а soufflé mot; il aurait dú le faire, ne fut-ce que mieux appuyer les avantages de ce mode d'établir les étages du pécher ; il n'avait qu'à citer les arbres de son voisin Découverte sur les bords de la e lena par Номвогот et ВохргАхр. Amer., П, 158), cett introduite, à 'rique centrale, par les soins de M. A. Verse schaffelt; MISCELLANEES. donnerait pas аих..... chardons, — moins que ce ne soit la part faite,.... aur ines! | Fy de ton fein et de ton avoy ne : vivent les ee cut des champs, xir e 12 loisir sr A i ro L. VH. M. Chevalier | ; " nous avons faite aux carrés de cet habile 1867, nous avons été frappé de h position rigoureusement opposée de toutes les branches de ses péchers. Les explica- tions dans lesquelles M. Chevalier est entré à ce sujet coincident parfaitement avec les développements que M. Meurant a до sujet du procédé de M. Ajalbert. e leurs, on n'a qu'a jeter un reg gar rd r spectif sur le AM fruitier de GE universelle : l'insertion commune = remporté la palme, n'était-elle pas he des particularités qu'on a le plus deeg: Bref, l'opération dont il s'agit, si wéi qu'elle soit en apparence, est un d progrés dans l'art de construire et d'équ librer ces belles formes symétriques qu ornent si bien les murs et les treillis, er en Әрмен de beaux fruits et en abon danc Ke seul point en litige, et qui n'a qu ke importance secondaire, est de so ‘honneur de l'invention revient aux "m tivateurs de Chartres qui, au dire : M. Courtois, l'appliquent depuis dix be ou à M. Chevalier ainé qui en а m ger au publie étonné des applications tou ke vivantes et datant d'une époque antérieu aux démonstrations de M. Ajalbert bes dans le rapport de M. Meurant; р: une question de brevet d'invention. Ne à nos yeux, ont un égal mérit T d'avoir travaillé à vulgariser un proci utile ; c'est dans le méme but que ius avons voulu en exposer l'idée aux lecteu de la FLORE F. BVN. T 1666. PASSIFLORA VITIFOLIA HB. xr BPD; . 3 ainé. Lors d'une visite que cultivateur, dans les premiers jours doe | с. | | SOUS le nom а Тас sonia Buc Misc : athe Тем. Ses fleurs ont la couleur de la spat | de Г, Enthurium Scherzerianum. Le XB GG Dore, Tour du Monde. 1 | " " "wi E EEN EE Н ën А nets Met Sei ; із» > cdi М S CHARDONS DE LA MANCHE (Espagne) LE : мор 1 PH AP лу д, uv ° 1011 Bi ум 2 + BEGONIA Mex ique DIVERSIFOLIA Grah. Plein air en ete 3, 2 ratis d inaequaliter cordatis subinde lobatis i in axillis folio- 1825. BEGONIA DIVERSIFOLIA cran. СПАВАСТ. GENER. — V. supra, vol. Ш, p. 212 et Krorscn , Ведоп. бай. und Arten. 1855, р. 41. . SPECIF. — Rhizomate tuberoso o glaberrimo ; foliia rag dicalibus reni- ШІП Ше crenatis, caulin fui res виа acuminatis grosse е superioribus floribus magnis € petalis exterioribus versus apicem erenato-dent filament eylind crassum Ee м De brevi § Begoniaceæ. bus compressiusculis obovatis; placentarum la- mellis aequalibus w ин den matis cornubus bistortis ; Жар; шіге IB) а patente. RAHA . 185. — à Edin. Plo. journ: д ‚ 2966. — Flor я H р. ` Bego- nien, р. ° 5. Var. В "Harding Link. et Orro, Icon. (1828) yl. 49, n» 99. Tiges peu nombreuses, peu rameuses, 8 'élevant jusquà un mètre, charnues, translucides, d'un vert pâle avee des lignes roses longitudinales, glabres ; les articulations sont noueuses. Les feuilles basales sont réniformes, erénelées-den- tées ; les autres sont inégalement ovales, longuement acuminées ; SCH pétioles, qui portent à leur base une agglomération de petites bulbilles, sont colorés comme la tige, canaliculés en dessus ; leur lon- gueur est d'environ А centim.; les stipules sont persistantes, foliacées, brièvement cordiformes, 6 glabr es, vertes, translucides sur les bords qui sont inégalement dentés; elles portent une carène à peine distincte ; les ии crénelés et obtusément dentés ; les dents portent un petit poil blane. La surfaee est plane, verte, avec le point d'insertion pàle de méme que la base des nervures; ces dernières sont noirâtres ; en dessous, les feuilles sont d'un vert trés-pàle, papilleuses; les nervures sont luisantes ; la nervure centrale est bordée de rouge. Les fleurs sont trés-grandes, d'un rose vif. Males: 4 sépales dont les 2 externes, en cœur, trés-arrondis (25 mill. en lon- gueur et en largeur), sont dentés en scie vers l'extrémité. Les sépales internes sont ovales elliptiques, de la méme longueur que les externes, mais des deux tiers plus étroits. Les étamines sont au nombre de 43 environ, disposées en une sorte T 1667. L'ANTIGON Nous jugerons bientôt une Polygonée grimpante tante nouvelle que nous avons reçue de M. W Bull. < On la surnomme au Mexique, » dit -il, < 1а Rose de la Mon- lagne. » Le D* Seeman, qui Ру a décou- verte, en parle avec enthousiasme et la proclame < la plante la plus florifère et T 1668. L'ARISTOLOCHIA GOLDIEANA 1. $ la publication de l'Aristolochia (FLORE, XVII, 51) les convoi- ne lui ont P fait os. nous ne "iet Se re $ pas nous-même au nombre des iia E OA; ; hélas! cette étrange beauté . Че vie à trépas; la mère est morte G Së, leurs comptio ON LEPTOPUS Seen. la plus jolie qu'il ait jamais rencontrée ans ses voyages. Ses fleurs sont tellement abondantes qu’elles dérobent complète- ment aux yeux les petits buissons qu ‘elles couvrent littéralement de leur tissu du plus beau rose. » Qui vivra.... D. Ноок. N'EXISTE PLUS VIVANT EN EUROPE! sans progéniture, sans qu'il ait été possible d'en tirer le moindre rejeton! Que les glaneurs dans les pages de la FLORE tour- nent désormais tristement le feuillet et se à won posséder provisoirement L. V L. VH. résignent à que l'image! 8 d'ombelle serrée formée par la réunion des filets; ceux-ci sont inégaux : ceux du centre de 2 millim., les autres plus courts. Les anthéres sont en massue épaisse et courte; le pollen sort par deux ouvertures latérales oblongues. i 8: Un base, glabres ; stigmates épais, en spirale élevée, deux fois tordue. Capsule verte, épaisse, ovale, avee les bords sub-paral- èles ; ailes roses ; la première est aiguë, mais non pointue, une demi-fois plus large à l'angle supérieur que la capsule; la deuxiéme, de moitié plus étroite que la première, à l'angle arrondi ; la troi- siéme, trés-étroite (1/2 millim.), paral- lèle à la capsule. — y La plante décrite par Graham est le type dont Link et Otto ont décrit une variété à fruits plus petits et à feuilles toutes semblables; aussi, bien que la description de ees derniers soit anté- rieure à celle de Graham, je crois devoir maintenir à l'espéce le nom de В. diver- sifolia. ` BEGONIA DIVERSIFOLIA Gran. | commence à pousser dès le mois d'avril Cette belle plante а été rapportée de diverses parties du Mexique, situées à une altitude de 4000 à 7500 р. L'herbier Galeotti en renferme des exem- plaires qui sont intermédiaires entre le type et la variété Martiana. Cultivée dans nos serres, elle est peu rameuse, s'élè eaueoup et donne des fleurs abon- dantes, d'un rose tendre. Mise en pleine" terre, dés que les gelées пе sont plus û | craindre, elle reste plus trapue et forme dés buissons assez larges, qui se cou- vrent de fleurs d'un rose pourpre. | Cette espèce n'est pas aussi répandue qu'elle mérite de l'être. On la cultive généralement en serre où elle file. Ce n'est pas une plante de terre chaude, mais de terre froide : elle n'appartient qu'aux parties élevées du Mexique. Cul- uvée en plein air, elle ressemble aux exemplaires rapportés par Galeotti qu sont d'un rouge foncé. Sa multiplica- tion est encore plus variée que celle des autres espèces : 1^ graines; 2° bouturés; 5% séparation des tubereules; 4 bul- billes des aisselles des feuilles qui tom- ent sur le sol et y grossissent rapide- m Lorsque la gelée arrive, extraire les tubereules et les plaeer dans un grand pot avee du terreau ; y jeter les bul- billes et les graines müres. Tout cela et peut ètre mis en place, en plein soleil. Je suis convaincu qu'en massif (ou €h corbeille), ee doit être d'un effet char- mant. Si quelqu'un voulait se donner һ à T 1669. — HIVERS. aprés une note de M. Renou, un savant météorologiste, l'hiver de 1868-69 est le plus remarquable qu'on connaisse par l'élévation de sa température moyenne; elle fut de 6965. Or, les trois hivers les plus chauds du siècle étaient ceux de 1822, 1828 et 1854, dont les températures : 6*0, 6°0 et 6°27. р à ; оп ne trouve que Гуе de 1796 qui approche, par sa GN. de celui de 1869. La basse température ; 1 janvier est une analogie de plus entre cet hiver et l'hiver dernier. Cet abaissement пе s'était pas produit — = n nés ci-dessus. M. Renou fait remarque que depuis la grande perturbation de e et 1860, les années sont plus chaudes; P i- claires et plus séches, la pression uw trique plus élevée que d'habitude. = lui, ces anomalies пе peuvent manquer ni trouver prochainement une compensatio Н lavant-dernier hiver correspond 1898; celui de 1897 ; le dernier à celui de 18 in tout annonce donc que nous devons Hu vers 1871, un grand hiver analogue à 46 de 1829-1850. ; Tuc om o RNC a COMMELYNA DEFICIENS FOLIIS -— VARIEGATIS. ano, 2, 2 Aort, “Уә Z NW: "XA ENEE о: нЕ LONG SR SM Ap UE TE оле e 1824. COMMELYNA DEFICIENS FOLIIS. VAMEGATIS, Commelyneæ. Е GENER. — Vide Kontu, Enum., | сету e deficiens Ноок. in Bot. Mag. CHARACT. SPECIF. — Vide ibid. p. 53, по 54. Deux plantes ont fait clandestinement leur entrée dans les cultures sous le nom collectif de Tradescantia repens : l'une s'est appelée T. repens vittata, un vrai Tradescantia dela Guiane qui exige la serre et qui perd, le plus souvent, son inconstante panachure; l'autre qui répondait au nom de Trad. repens va- regata, est une précieuse Com lyne, le Commelina deficiens dont les feuilles supérieurement panachées nous avaient engagé à le faire peindre pour le eomprendre dans les pages de la FLORE ; mais au moment d'un recense- ment, nous n'en trouvàmes plus un seul exemplaire. La planche était prête à paraitre, mais la plante avait disparu. Nous en portions le deuil, quand l'un ы. о de nos chefs, cheminant dans l'allée où cette perfide plante avait passé la saison chaude de 1868, en vit des exemplaires sous ses pas; les graines s'en étaient éparpillées dans le voisinage, y avaient passé l'hiver, et, rustiques comme celles du Mouron, y avaient levé à sa jubilation et à la nótre. Le Commelyna deficiens, tout brésilien qu'il soit, est one désormais des nótres et ne nous échappera plus. On va le retrouver dans l'une des planehes suivantes, ornant la base de l'Anectochilus Dawsonianus. Dans les serres, on l'emploiera pour garnir le bord des tablettes, en guise de Sélaginelle d'un autre genre; en pleine terre, on en usera de toutes les facons. L. VH. с. t 1670. BIBLIOGRAPHIE M. H. Van Heurck, d'Anvers, dont les travaux en botanique sont avantageuse- ment connus, vient d'éditer un excellent petit traité sur [e Microscope, sa construc- tion, son maniement el aux études d'a ière éditio engagé Га avec des a un succès qu'il est hono- E de constater, | гепиеге partie, détaillée d'une 'nseignement, aucun conseil n'est а disposition à donner au cabinet қ l'examen. de chaque pièce de 0 E ur 2. regles hygiéniques а gues et fett es recherches souvent lon- atigantes, la mesure des objets XVIII, Ty . le; . — LE MICROSCOPE. mieroscopiques, l'étude des erreurs dans observations, ete. : tout est passe еп revue avec beaucoup de science et de méthode. : La seconde partie, eonsaerée aux appli- cations du microscope à l'anatomie végé- tale, est riche d'intérêt. Toutes ces notions, où l'analyse est poussée si loin, sur l'étude intime du monde végétal, captivent latten- ion en lui révélant toute une série de faits admirables, variés, qui témoignent à la fois de la sagesse et de la prodigalité de la puissance créatrice. x Dans un appendice assez court, M. H. Van Heurck a su résumer d'une facon heureuse l'analyse des divers microscopes employés et l'indication des derniers progres réalisés dans cette branche si délicate et st 1mpor- tante des sciences physiques. (Précurseur.) -— e un 10 Т 1671. Sachant que vous prenez t intérét à tout perfectionnement ca faciliter le travail des jardiniers et de tous ceux qui s "occupent de culture, j'ai le plai- sir de soumettre à votre jugement le dessin d'un instrument qui, selon moi, sera trés- utile. C'est une анна C 'équerre, de niveau, de fausse équerre et de fil d'aplomb, inventée par Chamberlin et construite par Batchelder et Cie, à Pittsbourg, en Pen- sylvanie. L'instrument est fait en cuivre jaune (laiton) ou en tout autre métal, et n'est pas sujet à se déranger. L'ouvrier peut facile- ment le mettre en poche. П a environ 8 pouces de longueur, 2 3 pouces de lar- geur et š de pouce rates et ne pèse | qu'une demi- livre. Il est construit de 1 : un cadre rectangulaire 6 pouces de lon ng, 25 pouces de large ct $ de pouce d'épaisseur , parfaitement d'équerre, jen un tube à espri inséré dans ES 2 е des A un point correspondan exactement avec le centre le l'are du prolongement, est adapté un vers l est fixé cadre qui tourne enti trouy er parallèle = ER = ez. e? = ki = = > = “= 5 о e €P . 22 n e avec les bords Leder г des obliques A e désir * de Гопугіег, Au moyen de vis, il est facile MISCELLANÉES. NOUVEL INSTRUMENT AMÉRICAIN А MESURER. : ЕА grand | | де tenir le cadre dans une position voulue. | | Les pièces qui forment les deux côtés du | cadre sont perforées à quatre endroits par — des ouvertures dont la partie centrale sert — d'indice et permet d'observer la gradua- tion. 574 E D'aprés la coupe, il est aisé de voir qu'on peut se servir de cet instrument comme niveau à esprit de vin ou comme niveau à plomb, comme fausse équerre ou niveau tube et que l'usage, dans tous ces cas, en est нь Pour moi, il posséde un intérêt spécial en ce qu'il me permet de mesurer la hauteur d'arbres, la largeur de rivières, ou de' tout autre lieu inaccessible: Pour la mesure d'arbres, ajustez l'instrument à un c» 2 ڪڪ J | angle de 45°; éloignez-vous de l'arbre jus- qu'à ce que Г angle visuel rencontre le som- met, voyez aussi où l'angle rencontre № sol. Mesurez alors la distance de ee dernier de l'arbre, ce qui sera celle. D. К. К. AUBURN. Intéressés ded la description de notre ami David Klock, nous avons fait venir de Pittsbourg l'instrumeut ci-dessus, et l'avons trouvé en tout conforme à ce qu'il en dit. C’est, sans contredit, une petite machine jd ir et utile, et c'est avec plaisir que us prétons nos colonnes pour la faire a connaitre. MEEHAM. (Gardener’s montly.) C, BYN ONCIDIUM SPLENDIDUM (A.Rich. ) Des, > (rita ternal) Serre chauda. —— Ñ EE 1825. ONCIDIUM SPLENDIDUM à. ac Orchideæ. СНАКАСТ. GENER. — Vide supra, 1, 104. CH MART. SPECIF. — Pseudobulbis senibus rotundato semipyrifor mibus, subcom npressis mo- nophyllis, foliis nee acutis 10 oro, sepalis simo Voies Ae in veis carina оН арат, columnae pe alis rotundatis. Boun, fil, in lit « Ressemble beaucoup à l'O.tigrinum Llav.et Lex., qui a cependant l'ongle du labelle bien plus long et [а earene médiane bien ат développée. Enfin les pseudobulbes ronds de РО. splendid très-remarquables. M. Duchartre a le mérite d'avoir le premier tiré ilie pame ed l'oubli dans le P: E Soe? tombée. den B. FIL. in litt. um splend Ger dice (DUCHARTRE in ш, de la p "inp p mër? d’hort. de Paris, 1862, р. 50.) — Всив. ме Cette Orchidée, d'une rareté extréme, n'existe pas, que nous sachións, en An- gleterre et c'est aujourd'hui seulement, pour la premiére fois, qu jl еп paraîtra une figure, prise d’après nature dans notre EXoblisseinarit. D'après le Dr Rei- chenbaeh, elle serait trés-voisine de l'On- cidium tigrinum лду. et Lex. (О. Bar- keri Lıxpı., Odontogl. tigrinum Lan. ), originaire du Mexique, tandis que notre lc splendidum dériverait du Guate- mala, si l'on accorde foi entière aux an- notations de feu M. Herment, de Caen, qui en aurait eédé des pieds à MM. Thi- baut et Keteleer, probablement les seuls dispensateurs des exemplaires qui exis- tent dans les collections. Et oà en trou- | Vora -On si ce n 'est chez ces derniers et ici, sauf un seul exemplaire qui fleuris- sait au printemps dernier chez M. Lin- den, étonné de nous en entendre pro- noncer le nom, tellement eette plante est clairsemée en Europe ? e Elle ne périra pas, ear elle est de con- stitution robuste; ses pseudobulbes sont solides, son feuillage est trés-épais, sa floraison est vigoureuse, ses fleurs, de la consistance du parchemin, se présen- tant noblement (médiocrement rendues omme forme et allures dans la planche ci-contre); en un mot, cest une espèce aussi belle qu'elle est rare et nous som- mes heureux d'en posséder plusieurs exemplaires qui se eultivent avec la plus grande facilité. L. VH. e T 1672, EXTRAIT DES ANNALES DE LA SOC. IMP. D'HORT. DE PARIS. Séance du 41 mars 1869. M. G Maréchal V aillant "huir la séance de d pré ое de la dernière séance est za et О 16. ? > on du procés-verbal, quelques Sg de nouveaux renseigne- ceux qui ont été donnés dans la seance, relativement à la Plan- n da "P ila fruitiers le long Membres ments à dernière tation des chem fi uu Beer? dit que les с lótures de ce genre ent sur la ligne de Paris à Coulommiers Jar Gre par Gretz. Armainvillers, qui dépend du réseau de l'Est Rivière rapporte avoir vu, dans nos ud-ouest, менее сеп- s de fer s d'arbres fruitiers, et E ейн que ces vides plantations se con a nuent fort en тапа, en ce momen nfin M. Petit-Jean СЫН à la Société que les travaux de ee genre vont trés-pro- bablement prendre un cara aetére de fruc- tueuse généralité, plusieurs banquiers 5 s'associant en ce moment pour former unc compagnie qui demandera 1а location des de toutes les lignes ferrées 54 la rui- = alius € en vue d'y planter des arbres tic ui 12 ` MISCELLANÉES. — Par M. Louesse, plusieurs pieds de nlit amélioré L'objet essentiel de cette présentation a été, € ens de montrer les bons résulta e la culture de cette semis qui n'a été fait qu'au mois de juin dernier, et on voit que les feuilles en sont parfaitement en état d’être consommées. Ces feuilles ont été blanchies par un pro- cédé simple qui a consisté à à couvrir cha- que pied d'un pot à fleurs renversé ; elles sont «Ness осевые Une préc caution es- sentielle qu'il ne faut jamais négliger, lorsqu'on cultive le Pissenlit, c'est d'en une végétation adventice qui deeds presque impossible toute autre cult r M. Lepère, père, de Montreuil (Seine). fes pieds de €hicorée sau vage dont les feuilles sontvenues en salade dite Barbe-de-Capuci M. Lepére dit que. la eulture de cette heeta- res. Les ouvriers eultivateurs de Mio com- mune industrieuse , еп sy mémes ` à conséquence ajoute-t-il, qu'il est aujourd'hui difficile. м trouver à louer sur place des ouvriers ou егте. Lorsque les feuilles de cette Chicorée ont été enlevées pour la 1 ‚М racine elle- > n en gui se de . On бна Бао our ы les pieds qui viennent le long des chem ins M. эе uesse rapporte quelle a été, à за parfaite connaissance, l'origine de cette Ses En 1857, dans son établissement de grainetier, un employé livra de Із graine de Chicorée à café, pir erreur, en place | de celle de Chicorée sauvage ordinaire qui. lui avait été demandée. Les plantes venues de cette semence produisirent si abondam- ment des feuilles bonnes à blanchir, que la personne qui les cultivait eut le soin d'en garder de la semence. Ce fait ouvrit 5 yeux de ses voisins, et c'est de là que proche еп proche , la culture de la méme variété s'est étendue dans la. commune de pu pes . Riviére informe, à cette occasion, là ees d'une ex qui a été faite dernièrement а de la ville. M. Ermens, jardiaiek KEN с où l'on enferme des plantes pendant l'hiver, | les a vues développer en quelques heures, sous l'influence d'une température 46 21° eent., des feuilles longues d'environ 10 centimétres. Il а eu ensuite l'idée de soumettre ces feuilles blanches à h lumière du gaz et il les a йш dans ces conditions, verdir en 50 heu M. Duchartre reconnait Geer d'in- ces expériences; mais il rappelle le соттепсетет (Mém. des savants étrang., 1806), A.-P.De Candolle а fait verdir des plantes à la lumière artificielle ; que dans ces dernières années, un physiologiste russe, M. Famint- zin a obtenu le méme résultat ; que теше M. Hervé-Mangon a déterminé le verdisst- ment de feuilles de Seigle étiolées ей faisant agir sur elles la lumière électrique: e propos, M. Lucy rapporte, bes ee de Cinéraires ayant et 6 vahie, à la date de deux mois, par unë Mucédinée parasite qui déterminait sur i feuilles 1а formation de taches brunes, pe l'étendue desquelles le tissu se trouva’ e ramolli, l'idée lui est venue de les fair seringuer avec de l'eau à lague rit ajoutait, pour un arrosoir, une еш'е іш ‘acide phénique. Ce traitement а pre les meilleurs résultats et a mis fin mala — Un Pin ttre de M. Pommier, J je A sas de Charonne, 204, e divers points de la culture de la рот ү? ие, terre. En premier lieu, il déclare HU pour la plantation, les tubercules 8 gr “ moyens doivent étre préfé rés aux Cu qu ils donnent toujours une bonne réco En second lieu, parmi les divers шоуе т 7 E to | 9240 U A3 pur "m ou} de 27 f SATTLEVA С (Lind) 2 Amer. centr Sar re chaude 1826. CATTLEYA ... ELDORADO Auen. Orchideæ, Sous ce nom de guerre, M. Linden cultive un genre de Cattleya, dont le mérite prineipal consiste dans l'aecen- tuation plus ou moins prononcée des couleurs plus ou moins intenses qui ornent le labelle. Ayant choisi sur place, nous avons jeté notre dévolu sur la plante figurée ci-contre, dont les mul- tiplications sont nécessairement iden- tiques au modèle. pris d'après nature dans notre Établissement. L. VH. mployés pour conserver pendant l'hiver, т tubereules destinés HO ceux dont: on aura besoin pour les . Il pense qu'il serait bon de faire eh cet excellent procédé. — Une lettre dans laquelle M. Gauthier (R.-R.) rapporte les résultats qu'a donnés, dans deux cireonstances, l'emploi, pour la plantation de Pommes de terre qui avaient été conservées dans des boites à claire-v oie, ainsi qu'il conseille de le faire. Dans l'une de ces circonstances, dit-il, M. Verneuil, jardinier au chàteau de Pola angis, pres Joinville-le-Pont (Seine), a obtenu vite 35 tubereules par touffe, tandis que touffes produites par des tubereules con- servés керегің ‚ d'ordinaire ne lui en don- té, par hasse, 480 ee de Pommes de terre rouges, 575 de Pommes de terre de Hollande. — Une lettre de M. Lesouds, jardi- "ug chez М" de Frileuse, au eháteau de uM, E eo (Seine-et- -Oise), dans “quelle il annonce à la Société que les serres de ме de Beleeg possèdent en ce moment ios: in Musa Ensete en voie de d CN €t que, d'aprés les eonseils de M. Thibaut et Keteleer, il en féconde Telle est la question qu'il pose en ajoutant SCH ` pied de Musa dont il est question 4: dont le tronc ne mesure ре moins ? metres de hauteur, а dú être, faute à élévation suffisante de la serre abrite, Coupé deux fois rez-terre. qui | | | | | | | — Une lettre de MM. Simon (Louis) fréres, pépiniéristes à Metz, sur les bons résultats obtenus dans leurs cultures par l'emploi d'un engrais nouveau ou très-peu connu : le famier de tabac. Cet engrais est formé, comme on le sait, de compost de feuilles avariées, de poussier et de débris de plantes de ta ас énaturés au moyen d'agents chimiques. MM. Simon se sont rendus plusieurs fois déjà aequé- reurs de ces déchets, que l'administration des tabaes fait vendre publiquement à Metz, leur ont reconnu, entre autres ауап- tages, celui эң détruire оп d'éloigner en- tiérement s pucerons qui sattaquent d'ordinaire ү certaines plantes; et, pour cette raison, ils en conseillent l'emploi aux sant les engrais dont on se sn habituelle- ment avee du jus de tabae qu'on peut obtenir dans toutes les na e de l'État. A propos de cette on an Pra M. le Président rappelle qu'on emploie déjà, mais dans la florieulture сады et cela sous deux formes distinctes : en arrosages et en fumigations, les déchets de Nicotiana que l'administration des tabacs cède assez tabacs avariés dont il fait parfois usage valent 4 fr. le kilogramme et le jus de tabae 50 c. le litre. I. le Secrétaire-général donne lecture du xin de 1а Commission chargée par 14 le Comité des Arts et Industries horticoles d'examiner le systéme employé par M. M n fer de ses bacs, bassins, ete. Les conclusions de се rapport étaient son H vol à la Commission de rédaction et à Rapport relativement au renvoi de celui-ci à la commission de rédaction; ` 8 S я = e e = ”% e «= 22 = — Fa 15 un brevet d'in- vention, il serait toujours loisible à ceux que la question intéresse au bureau des brevets et é question de principe, la Société ne peut pas exiger d'un inventeur, méme lorsqu'il à des prétentions à une réco Cette manière d'apprécier est combattue i rendant à l'avis il est impossible de 'ention, de quelque iventeur ne livre ret de son inven- Поп; que l'acte de récompense dans ce саз intime de l'objet geant cette opinion, que la Société n'a jamais ré objet industriel , fabrication. n'était pas divulgué par l'in- Venteur. — M. PetitJean considère cet usage comme vicieux en principe et engage à l'abandonner. — М. Andry dit que T'in- vention de baes très-résistants l'influence de Та gelée > n'est pas MISCELLANÉES. neuve. П en a vu qui ne s'étaient nulle- ment détériorés aprés 50 ans d'existence, d'autres construits en chaux de ont di qui met succes- sivement s deux conclusions du Rapport. La première, relative au renvoi à la Commission de rédaction, est adoptée à une trés-grande majorité; la communication relative à Ge ture fruitière. En mettant sous : de la Compagnie plusieurs Ee de Pécher Reine des vergers, M. , ` lier dit que, traités à une dénu- bour- Ж n- ours à leur base grande étendue (20-50 c.), dation à prés complète de geons. M. Chevalier obvie à cet а convénient, soit en pincant ou plutót e supprimant la moitié des 4 ou 5 promis de ces bourgeons et en pinta i ensuite les rameaux lorsqu'ils ont x une longueur de 15 à 20 cent., soi. e greffant par approche en arc-boutant, | ase des rameaux ainsi dénudés, une ‹ ramifications situées au-dessous е Chevalier présente ensuite, buc variété de Pécher devant être рео : sous plusieurs rapports, des rameaux ei Pécher de Montijo, ainsi que dan a goureux et couverts de boutons du Ре D Belle Impériale. — М. Gosselin des s; que le mode de traitement ешроуе Р M. Chevalier pour régulariser les cour e dénudés des Péchers, est le méme yr celui qui a été indiqué dans ces ee? temps par М. Grin. М. Lepère, de til геш, ne reconnait pas, jusqu'ici du шо = Zap H ahi H cest- des vergers leur caractère habituel, 6 я 40" ` , : 1 қ эгёѕ comp е à-dire la dénudation à peu pré Rivière . . P». | de leur partie inférieure. — ы; keier: demande que le procédé de M. "qM comme il a déjà été dit, Гор et ho riences attentives, afin qu'il puis ONCIDIUM: LIMMINGHEI 77 Morr. "n a 4 Caracas. Jerre chaude. 1827. ONCIDIUM LIMMINGHEI zo. мова. Orchideæ. CHARACT. GENER. — Vide supra, I, 104. T. SPECIF. — О. Sepalo dorsali petalis- que lanceolatis inferioribus quadruplo majoribus labelli basi latioris aurieulis rotundatis isthmo obeuneato elongato in laminam subrotundo-reni- formem expanso, columnæ alis 4 laceris fimbriatis : Pa‏ ن ت که CI 2 lateralibus angustioribus, 2 apicilaribus inflexis. Linot. Folia n» 198. Oncidium Limminghel Ер. Morn., Belg. hort., VI, 555; icon hic iter. — 1858 p. 322. — KS Walp. Ann. VI, 816 по 198 (Analysis poste- rius Originaire de Caracas « ce joli bijou » fut introduit d'abord dans les collections du eomte Alfred de Limminghe, en Bel- gique, décrit et figuré (1. с.) par M. Ed. Morren, puis ensuite importé de nou- veau par MM. Hugh Low et С, de qui nous tenons nos nombreux exemplaires qui eroissent gentiment et sans aueune peine sur de petits fragments de liége, suspendus au faite de l'une de nos serres à Orchidées. Cette mignonne espèce fleu- rit en juin-juillet, et, comme notre plan- che le montre, son feuillage constitue déjà à Jui seul un véritable ideis L. . démontré si, À l'aide de ce procédé, on peut obtenir à volonté, sur les coursons de Pécher, la transformation des bour- geons à feuilles en boutons à fruits. M. Ri- уеге rappelle en outre que M. Grin Ki , ment expérimenté, — M. Gosselin rappelle que la suppression, dans ce dernier cas, =з porte pas sur une partie de l'ensemble овие Погаих, mais seulement sur rane central ou pistil. — Tout en se déclarant trés-partisan des essais, M. Forest croit devoir assurer aux expérimentateurs de cette dernière opération un échec à реп prés complet, E. М. le Secrétaire-général donne lecture пе note émanant du Comité de culture Potagére sur la culture des Batates. А Гос- E du paragraphe final de cette note, hi St tout entier relatif à la conservation Aivernale de ees tubercules et dans si қ 1 e E mien exempts d'humidité et que la u , + de xum n'y descende pas au-dessous ro, M. Louesse demande quelle est la sorte de serre dont il est question ici; une serre chaude sans doute ; car, selon lui, la Batate ne se conserve réellement bien que dans un lieu | entre 10 et 12 membres répondent à cette déclaration en disant, le premier, qu'il conserve fort bien des Batates enterrées dans du sable sec et dans un lieu où la température ne s'élève pas à plus de 5 degrés; le second, que les Batates eraignent surtout l'humidité et que tout endroit sec, méme tion de ces racines. Rapport sur un livre intitulé : Amis et ennemis de Vlhorticulteur (1) ; M. Lucy, Rapporteur. — Messieurs, si 1 colére peut rencontrer des circonstances atténuantes, c'est bien certainement pour le jardinier lorsqu'il voit une immonde Limace, cette Pieuvre des jardins, comme dit Jules Janin, dévorer dans une nuit Е нех 1) Amis et ennemis de l’horticulteur, par M. H. i wee. в. 1 vol. in-18 de хи et 416 pages. Chez Marquis, rue Monsieur-le- C ; Paris, sans date. Ж. Prince, 14, et rue Casimir Delavigne A о 16 : MISCELLANEES. désastres, de nombreux mea culpa : — aussi, devons-nous tenir pour l'œuvre d'un ami de l'humanité 3. i vient ere une guerre à ке, à tous les enne l'hortieulte en ids p mo signale au respect, à la protection de tous, = e Blanchére pis le livre dont nous avons à gs н P dme: Fute n'a pas eu la pré- озм d'élever un monument scientifique à е t e ceux des maitres en science naturelles, parmi lesquels nous sommes rs ter les plus illustres des ser ainsi qu'au point de vue de nos mtéréts horticoles seulement. "Si nous voulions faire apprécier en détail les Pise de ce petit volume, Mes- appartiendra de faire ive. Ainsi tout le monde sait la divergence des т à l'endroit du Мо oineau, ce type du gamin de Paris, dont on encore à discuter les qualités et la malic за Justice distri- ‘> © е. Tous les jours nous entendons les jardi- culteurs, affirmer, les uns les raisins, enfin un acte d'aecusation en régle; les autres, au contraire, chantent la louange du Moineau : c'est l'ami de la maison; c'est linfatigable chasseur des mouches, des hannetons, des chenilles et dedo us les insectes destructeurs. Comme Hours ирме dit < oui » et Galien dit Et la Taupe? n'en pouvons-nous dire autant? — n'a-t-elle pas rencontré naguère une protection, un patronage éclairé parmi nous? N'honorons-nous pas de notre plus haute estime son N us habile, son plus judice à nous exigeons pour nos — Que de sémoussait en but nière durcie ? — Enc 5 e pour et le contre se livrant bataille; adis sub judice lis = Les divers aspects des questions son loyalement exposés dans l'ouvrage € M. de la Blanchère; c'est ce droit d'attendre de la loyauté de son esprit. En*résumé, Messieurs, ce petit t livre ne peut ge че de bons services à her qui man t des moyens ou des loisirs de la ré kee et, à се titre, nous соу devoir le recommander au bienveillan accueil de la Société t 1673. DES ÉCHANGES. Bien des ا‎ de cháteaux seraient souvent fort aises de pouvoir se m ner quelques nouve SE le maitre leur ré- pond parfois, et non sans raison : hohe: gez, NET ! — mais quoi ? us sommes persuadé que les grands | établissements recevraient t toujours volon- tiers des Aspidistra panachés, des Ма- ғаша zebrina, Wai rscewiczi, 70860 р е! Wéer des Rh ue des ` Limodorur et cent autres раға У а іш Fb) à mesure ws la exit nous les Кісен. — Mai va de soi qu ne devrait arte: sans "amtorisatiól préalable. L. VH. `` ZYGOPÉTALUM (Pescatorea) WA LLISI (Lind) 2 Amer. centr. Serre chande. 1828. LYGOPETALUM (pEscaroREA) WALLISI Auen) Orchideæ. Les зема passionnés d'Orchidées, ceux qui, comme nous, ont l'oreille au guet, se B ent une féte d'assister à l'épanouissement des fleurs du Zygope- talum (Pescatorea) triumphans.. 4 1607 espoir ne fut qu'à demi déçu, car, bien que l'espèce qui fleurit en lieu et place de l'autre, différât toto celo de la première, ils n'en avaient pas moins de- ug les yeux une nouveauté hors ligne, ü le blanc virginal s'allie avec tant do grâce à une riche nuance pensée, plus intense encore sur le labelle. Par une heureuse inspiration, M. Linden a dédié cette splendide espèce à l'intré- pide voyageur auquel il est redevable de tant de riches importations. Le t 1674. L'ÉTAT DU CIEL EN JUIN 1869. Parmi toutes les causes auxquelles on peut attribuer les froids, les mauvais temps que nous iniu voici certaine- ment une des plus probables donnée par les astronomes. Or, voici ce m ‘écrivait, dei le oral: di Roma du 11 mai der nier, le В. P. Secchi, célèbre ege NS et membre m PME de l'Aca- démie des sciences de Paris : « Le soleil se trouve actuellement à une époque de taches e Dans la matinée du comptait trenté-trois рне ыды; аерам en sept Comment concilier ce qui On écrit de France : andis que nous avons en France une température presque hivernale, une cl Cnt E régne dans plusieurs parties = “ы rame le thermomètre est Gë degrés Réaumur; dans les d "Pan CHAR le seigle et méme e blé sont déjà en épis, et la moisson Pourra être faite avant la fin du SCH ous les agriculteurs de Hongrie se Рапеш également de la Ç ye ad et xvin. ou huit groupes. 5 Ee marche rapidement vers son mum. Tout le soleil en est еле ое T nous а paru г. fois présenter l'aspect d'une ons blanes sur un fond cendré Rien, EEN пе saurait étre plus eaté- onne à l'observation de tout à fait hors ligne, c'est qu'il ajoute que « les variations des taches solaires parais- sent renfermées dans une période à peu prés triennale. » i, П y a tout lieu d'espérer que l'astronomie, en établissant d'une manière des ne 6% (асһев révo — et | irrégularités des saisons. un immense résultat pour r voire précède avec ce qui suit ? le lae de Neusiedel, en Hongrie, se trouve complétement tari. Le fond du bassin est couvert d'une herbe touffue et les habi- tants y ménent paitre leurs troupeaux. Dans ces différentes contrées, l'intensité de la chaleur et les vents qui soufllent sans interruption. exereent d'ailleurs n les 5 MISCELLANÉES. T 1675. POMPE ASPIRANTE ET FOULANTE Qui nous vient d'Allemagne; elle est fa- briquée par MM. Egelhaf et Späth, On lit dans le Times (25 juin) : Le temps le plus extraordinaire règne aujourd'hui dans le comté de Westmore- land. Mereredi matin, les montagnes situées au nord étaient entièrement cou- vertes de neige, et les amas n'avaient pas moins de trois ou quatre pieds d'épaisseur. спошепе étrange pour la saison ne s’est pas manifesté seulement dans la régi montagneuse, il s'est produit dans |: jusqu'à Staveley, village situé entre Kendal et Windermere, dans un site fort abrité, ° Ze nous et nous rend assez de services pour 'emploi. H ch 'ecommander l'emp à Aalen, | engager à en recomme T E Т 1676. ABONDANTE NEIGE EN JUIN. ` ¿tol rt Le spectacle qui résultait de là était po aller le souvenir ' / sans âgés du pays, la chose était tout goo précédent et sans analogie dans Jl de la contrée. Un vent froid 50 à grat nord, et l'aspect. général du dd moll bien plus de rapport avec дени н ç de février qu'avec celui de juin. X mois sans interruption. o la végétation est extrémement ев көн ut ps vy b о "A où "s - E BLANDFORDIA CUNNINGHAM! Zzdl 2 Australie. Serre froide. 1829. BLANDFORDIA. CUNNINGHAME ios. Liliaccæ S Agapantheæ ExpL. CHARACT. GENER. — Vide supra, VI, 165. CHARACT. SPECIF. — Foliis patulis subdebi- libus omnino integerrimis læ vibusque, floribus conicis apice inflatis laciniis omnibus acutis, sta- minibus exsertis, bracteis rigidis foliaceis pedi- cellis brevioribus. ахо. Blandfordia Cunninghami Їлхрі. Bot. Mag. ^. 1845, p. 18. Introduite de Moreton Bay par les soins de M. Walter Hill, "oe belle espéce est trés-florifére. Elle con- tente d'une bonne orangerie, UT des jours, et passe l'été dehors. Peu d'eau pendant la saison du repos. Multiplica- tion par division du pied ou par graine, quand elle en donne. Tout sol lui con- vient à condition qu'il soit bien drainé. Nous en sommes pourvu. 1. VH. T 1677. DE L'INFLUENCE DE , En parcourant le Bulletin de la Société impériale d'horticulture du Rhóne, notre ро s’est arrêtée sur une notice , les phy- siciens, les météorologistes et e horticul- teurs, celle de savoir quelle est l'influence que la lune exerce sur les phénoménes terrestres, et notamment sur les végétaux. Sur ce tte question il y a des préjugés tellement enracinés ct des croyances popu- | laires si généralement répandues, qu'il nous а paru de vous offrir une analyse critique et raisonnée de l'excellent | ot de M. Wille e DO ermoz, еп vous conviant, ка 2 Le titre de la notice, que l'auteur veuille | ten permettre de le lui faire remarquer, жүр rop générale: а Lune, y est-il dit, exerce-t-elle une in- fluence sur le Globe terrestre et particu- | тет étaux? Cette th bus: généralité, était immense; elle | © ainsi dans le domaine de la science sortait du cadre purement agricole et ole qu'on entendait se tracer. la Sanri r le reconnait lui-même; car à dit ième page de ses observations, il ан , T peur le Жетен il ne s’occupera OECD de la Société impériale d'hor- lihóne, по 9 de 1868, page 288. ( ТЕ Voi TM du LA LUNE SUR LES VÉGÉTAUX. que de la prétendue Aii attribuée à la lune sur les végétaux, à savoir : si notre satellite contribue à La croissance, à leur vigueur, à ac? fertilité ou à leur qualité, soit par une action mécanique, soit par certaines абедае électriques, soit pum par toute autre cause Le at ainsi restreint était er sur à en lire le texte dans l'ouvrage | | son véritable terrain, et, pour être logi- | que, l'auteur aurait dü le fene diis le | T de méme que nous avons cru devoir | aire | " Ceci dit suivons M. Willermoz dans ses e | déduction | M. Willermoz a eompulsé avec soin les | auteurs sacrés et profanes et il n'y a rien trouvé, D'une part, la Genése et les psau- nes ne renferment aueun texte duquel on | puisse induire la preuve de l'influence de Та lune sur notre globe, et, d'autre part, | en consultant l'histoire profane la plus an- | ique, cette preuve, de méme, lui échappe. | Ain si, dans un recueil de 1,900 années d'observations astronomiques, les Babylo- niens et les Chaldéens ne laissent pas en- trevoir qu'ils eussent la moindre idée de l'influence lunaire. Si l'on se reporte aux anciens auteurs grecs et romains, il faut, dit M. Willermoz, le faire avee une certaine réserve, car on entre avec eux dans le domaine de la fable et de la fietion. Les Grees et les Romains, ei avec eux les Egyptiens, adoraient ou invoquaient une foule de divinités qu'ils 20 assignaient à diverses planètes qui, selon eux, devaient exercer une certaine in- tait le front ceint d'un croissant. C'est, sans doute, dit-il, de là qu'est venue la croyance que la lune exerce une certaine influence sur les végétaux. Cette idée, quelle que soit son origine, fut adoptée par plusieurs philosophes et célébres médecins de l'antiquité. Hippocrate (né en 460 avant J.-C.), avait bien une foi vive dans l'influence que les astres exercent sur les étres animés ct les maladies de l'homme Théophraste, son contemporain ami, dans plusieurs traités relatifs à l'histoire H n'est pas étonnant qu'avec de tels soutiens cette croyance ait été adoptée de sans un examen a Varron, Virgile, Pline, Lucrèce, l'agro- nome latin Columelle, le célébre médecin ue се savant, l'avocat de cette thése, se yanees les plus supersti- li tieus Ainsi, Pline prescrit de semer les féves dans la pleine lune et les lentilles vers ]e temps joneti і IVràit aux cro es. ste pour admettre quatre cent mille kilo- res de distance la 1 пе, dans une position, agisse avantageusement végétation des fèy 5, еі que, dans unc Position opposée, ce soient les lentilles qu'elle favorise : sur la MISCELLANÉES. < Si l'on récolte le grain pour le vendre, 1 importe, au contraire, 0 temps de la nouvelle lune, ou tout au moins celui du décours. » L'antiquité croyait aussi à l'influence es étoiles : Un air doux et serein, disait fait périr les fruits naissants. Ee rago repousse avec dédain un précepte aussi bizarre, qu'aueune expérience ne confirme et dont l'origine se rattache évi- emment à des conceptions fantasques et mythologiques sur la nature de la voie lactée. Il en est de méme de la vertu attribuée à une simple étoile fixe, à Procyon үт Petit-Chien, ‘après Pline, décide > kel un t une ees deux cas, la ans mandi stance semblable, si се п’ез absence. vulgarisées sans pouvoir les e par aucun fait, par aucune and iue par aucun document vraisemblable e ge: sible. La science moderne en a démo " mettons em parallèle P dans l'art de | soin EE, ANŒCTOCHYLUS DAWSONIANUS (X Low) 4 ; Lrehipel 4 Jerre chaude 12 7 in Horto van Houtteano. 1850. ANOECTOCHYLUS. DAWSONIANUS s. Low. Aux amateurs qui se refusent des Anœctochylus, nous dirons : < donnez- vous au moins celui-ei » de beaucoup le plus robuste de tous ceux connus et dont le large feuillage, ici représenté, est l'exaete reproduction de la nature, prise sur le vif dans notre Etablissement. Nous eultivons les Ancctochylus sous cloche, prés des jours; nous ne laissons pas la terre se dessécher, sauf pendant la saison du repos, et encore lui laissons- nous, pendant cette derniére période, une légére, trés-légére moiteur. Pendant la saison active (avril-août), nous rempotons ehaque mois, en terrines bien drainées, dans un mélange de terre tourbeuse, de petites pierrailles, de petits mor- ceaux de eharbon de bois entremélés de sphagnum; la température est main- tenue entre 15° et 20° RéAvw.; moins de chaleur pendant le quasi-repos (oet.- Orchideæ. mars); arrosements, toujours extréme- ment modérés, d'eau à la température de la serre. Nous les multiplions de boutures que nous traitons comme les plantes faites. La science sépare ces jolies plantes our ainsi dire en autant de genres qu'elles comptent d'espèces ; mais, pour la facilité de nos relations, nous les maintenons en un seul groupe dans nos Prix-Courants. Оп ne trouvera certes aueune diffieulté à tenir, entre autres, les Anœctochylus argenteus, argenteus pictus, imperialis, Lobbianus (Fiore, V, 519), Lowi, pulcher, querceticola, les Pogonia discolor et Nervilia, ete. — Nous passons sous silence les Goodyera macrantha et velutina (Fong, ХУП, 115, 115) que nous tenons en serre tempérée, presque froide. L. VH. * que la terre soit bonne, bien préparée, * et que les graines ne soient pas défec- * tueuses. Le premier jour de la lun * comme le dernier sont également favo- « rables. » 3 , ‚ L'abbé Chomel, en parlant de la lune, $ exprime ainsi : « faut semer, planter, greffer сик е оц pendant le décours. epuis plus de quarante ans que je fais * des experiences, j'ai reconnu que les * Jardiniers qui ont cette croyance se © trompent. > Citons « arbres, ete., ete., indifféremment dans < le cours et le décours de la lune. > savoir sont connus et appréciés de tous les horticulteurs, a voulu joindre une série de documents personnels sur la ques- tion. Il s'est livré à de nombreux essais dont il donne avec de grands détails le compte-rendu. Ils consistent en semis de graines de divers légumes, en greffes d'arbres fruitiers, en plantations de légu- mes, et il affirme que toutes ces opérations, de la lune, ne incontestables, viennent encore se joindre le contingent de preuves que la science moderne apporte pour faire disparaitre le moindre doute, s'il en existait encore sur cette question La science, en effet, a démontré que la H * 22 MISCELLANÉES. lune ne saurait agir, ni par sa chaleur, ni г за lumière. Recueillie dans une lentille D'ailleurs cette action de la lune sur les végétaux, si elle était réelle, s'exercerait nécessairement pendant la nuit, с Are à-dire à un moment où les plantes en général éprouvent un ralentissement pma leur- végétation et prennent une sorte de repos. Ce serait une здар anomalie qu'il est impossible d'admett elle lune le décours. Elle CH encore diminuer alors que le temps est couvert et que les nuages s'opposent à son action Mais, ni les savants, ni les cultivateurs n'on nt jamais remarqué de Ce n vest done pas par sa chaleur ou par sa зі que la lune peut exercer une taux. S'il est мо” que le phénoméne l'Océan est le résultat de gare avec celle du ‚ il est impossible d'admettre que i E ВН --- soleil (1 (1) Voir г Ававо, Marées, — tome IV Le Dictionnaire des. Sciences indo de Le- vrault, verbo ис, ше КА, e ч ons enfin à serk Hi. sont pas — 8 abstraits de Ç e 105. Astronomie populaire, — des › раве ` par la lune et par st regrettable que Pin ран puisse € d'une maniére r la végéta "H in. os. des ne atmosphé- riques analogues à celles de l'Océan, qui seraient produites par les mêmes causes et auxquelles il ne serait pas invraisemblable р sont tellement. faibles qu'il a fallu à la science de longues observations pour les CHE, Arago dit que l’action attrac- e de la lune ne produit sur notre at- Ge que m effets fort douteux. Les influence devraient P égétaux, ce qu'ils seraient нон de faire. n supposant que notre satellite exerce une action assez puissante sur l'enveloppe gazeuse de la terre, cette action ne saurait déterminer E chose que des variations dans la direction des vents et amener par suite des changements de temps. Mais de là, on ne peut induire une influence direete de la lune sur la addu ion. Lune rousse. Ps préjugé populaire qui co sur le compte de la lune les gelées qu'on éprouve dans les matinées des mois d'avril et de mai. Nombre de cultivateurs, nonob- stant les enseignements de la science, per- sistent encore à attribuer à cet astre les isast auteurs pour combattre cette err eur (D. es járdiniers, que l'on accuse d'être 7 peu lunatiques bien qu’ils ne le гы => plus que d'autres, donnent le nom de tn rousse à la lune qui suit celle de Påques: On sait que, d'aprés le Concile de eng: Pàques est toujours le dimanche qu! ms la pleine lune postérieure au 21 mars. ait méconnu Fa six à la e pro” breuses et l’auteur dont nous analysons le travail cette vérité — table, désormai science, en ne l'admett tant que comme babilité. Les Geer à l'appui sont nom décisives si cela be t pas loin de notre nm d н été fac lot comple ША del la chale Serai Notices scientifiques tome У, pages 120 et 185, et tome Ш, page 49 ау tih e а p SCemzezi. / ONCIDIUM FUSCATUM cé. / Millonia W Serre chaude. Amer. centr. "n 4 1851. ONCIDIUN FUSCATUM none. a (Miltonia Warscewiczi CHB. olim.) Orchideæ. СНАВАСТ. GENER. — Vide supra, I, 104. CHARACT. SPECIF. — Racemo stricto vaginis Scariosis acuminatis superne fractiflexo, racemoso cuneato oblon 0 flabellato bilobo 0 үөн, -7 carinato, columna brevissima, tabula infrastigmatica superne bidentata. Exemplaires de Warscewicz paniculés ! 4 uchero, Pérou, Рӧрріс! Pérou, Warscewicz ! N.-Grenada, PumpiE ? (trés-probablement il y а quelque chose de semblable, presque détruit, dans l'herbier de Kew). Warmis. Rens. Oncidium fuscatum Bonn. Xenia, I, p. 152. — Walp. Ann. VI, 765, по 116-9. — Rens. (hic !) Miltonia Warscewiezii Rcus. Xenia, І, 152. Nous n'avons pas préeisément perdu notre temps le jour que nous avons ac- quis l'édition entière du Miltonia Wars- cewiczi dont M. Linden ne s'est réservé qu un exemplaire. Le genre Miltonia ayant passé avec armes et bagages dans le genre Onci- dium, le 0" Виснехвасн Гу а casé sous D'aprés le correspondant du Gardener^s Chronicle à l'Exposition de ( ia (Oncidium fuscutum) y aurait fait fureur. Nous ignorons si M. Linden s'y sera dessaisi re. (1) Warscewiczi de son exemplai le nom d'Oncidium fuscatum, placé en téte de ce texte. Sa eulture est des plus élémentaires et sa floraison a lieu au premier prin- temps. — La peinture ci-contre a été exécutée d’après nature dans nos ate- liers. L. VH. St-Pétersbourg, le Miltonia exemple, pour 1869, la pleine lune étant le samedi 27 mars, Páques se trouve né- cessairement fixé au lendemain, diman- che 28, Dés lors, la nouvelle lune qui com- mence le 12 avril et finit le 11 mai sera la lune rousse de cette année. е nombreuses observations ont dé- montré que, dans les nuits froides d'avril Š à la lune, et р г suite on Га désignée sous le nom de ипе rousse. Bos belle découverte du docteur Wels a отан d'expliquer d'une maniére plau- ; be ce phénomène 2. avant Wels n'avait remarqué e $ corps pouvaient acquérir une perature différente de celle de l'at- science. Il est constant que si € en plein air, à une certaine m , ты. une petite masse d'herbes, penda а nuit froide et sereine, la températur de 5, 6, 7 et méme de 8 degrés centigrades au-dessous de celle de l'atmosphére. ` Ce phénomëne est dú au rayonnement les nuits printaniéres, serein et le temps froid, le rayonnement ui cette époque, il en résulte, du calorique éprouvée par le rayonnement que les plantes peuvent ressentir [ de 4 à 2 degrés, bien qu'il ne gèle pas auprès d'elles. 24 Il est à remarquer que si le ciel vient à se couvrir de nuages, le rayonnement cesse ou devient presque nul ; les plantes, en ce cas, recouvrent tout ou partie du calori- que qu'elles ont perdu et elles ne gèlent qu'autant que le Geh pud descend au- dessous de zéro. s, dans cette circonstance, font l'office а toiles ou ра 1 P ainsi de la gelée les végétaux. est done vrai que, dans des circon- Bb оре Це semblables, ment les conséquences qu'on a voulu tirer sont fausses. La lune n'y est pour ien; elle en est un témoin passif, et n'est tout PERDE que l'indice d'une nuit sereine. Cela est si vrai qu'il n'importe que l'astre soit levé ou placé sous l'horizo on; le phénoméne ne s'en produit pas moins dés que le ciel est serein. Pour admettre la thése contraire, il fau- drait qu'il füt établi que la lumiére de notre satellite soit douée d'une vertu frigo- rifique; or, la lune n'a pas plus cette pro- priété que celle d'émettre du calorique. MISCELLANÉES. En résumé, le refroidissement des végé- taux est uniquement dû au rayonnement excessif du calorique vers les régions cé- - lestes pendant les nuits froides et sereines ` du printemps, et qui, à cette époque, peut ` sie ses jusqu'à la gelée oit donc ranger a u nombre des erreurs et des préjugés ве. les effets attribués à la lune rousse sur les végétaux. C'est sans la moindre hésitation. et avec une profonde conviction que nous nous associons pleinement aux conclusions de M. Willermoz, et avec lui nous грае onelusion, c'est que les agriculteurs 6 horticulteurs doivent éviter de perdre temps précieux, lorsque le temps est si portun, pour se livrer aux opérations de la culture. Ils n'ont besoin, pour cela, ni de consulter les phases de la une, ni les almanachs. Nous leur di perdu est MEM. x Le Président, PORCHER. Ж (Bull. Soc. d'hort. d'Orléans.) | Т 1678. ALTITUDE DES NEIGES ÉTERNELLES. demande assez souvent à quelle hau- teur la neige commence à ne plus fondre imite perpétuelles varie sous l'équateur, is à 4,800 métres pour trouve `š 9 ‘© r inférieure des neiges avec la lati tude. Ainsi, faut monter la neige; sous la latitude de 43°, qui est la latitude moyenne de la France, la neige parait à 2,500 métres. Plus haut, vers de latitude, la limite des neiges s'abaisse à 1,500 m. T 1679. BONGARDIA CHRYSOGONUM Boiss. (1). Berbéridée de plein air ayant le port pittoresque d'un Epimedium Ikariso Sign. Nous en devons les de Dorpat Фой M. ing a bien voulu nous les envoyer ; il les avait recus de Bakn, en Transcaucasie. Cette espéce se rencontre зі > ON С. А. Mer. Verz. РИ. Cauc., m Boss. Fl. orient, 99. Chr sem "n пр Dons oridis Rauw. Je, p. "nm icon ontice Chryso gonum, DC. Pr К Botanist 1, tab. 50. I Qu uter encore en Gréce (dans les sols argileux), m le Mont Liban, en Palestine, en Perse his jusque dans l'Affghanistan et le растеа tan. Ses fleurs jaunes, terminales, ре eulées se montrent au printemps. es L. "ld о LP. 174. — Вектн. et Hook. Gen. I, A Wi с. — у E — The — В. рый et 4 Olivieri C. A. Mey E Cont. Hoo t Тя. Fi: ind. БР 3 The Pióra abina Ш, 55 tab. 9 Ann» a. À d | | d D PER ALLAMANDA NOBILIS Serre chaude. Bresil. ЕА > А 1852-1855. ALLAMANDA NOBILIS т wem Apocyneæ. CI лот. GENER. — Vide supra, IX, p. 129. 15 оу ato- limbo oblique campanulato, lobis amplissimis si А patentibus medio valide 5-nervi D. Hoo Aliam Se Leen T. Moore, іп Gard. Chron. 1868, pp. 180 e cum icon. xylog. J. D. Zeie ок. in de SZ tab. 5764, icon hie iter ‘était du neuf... pour notre tome IX, que l'Allamanda neriifolia, paru il y a une quinzaine d'années. Aujourd'hui, cest du surneuf que la venue d'une espèce à fleurs autrement larges, autre- ment belles que toutes celles des Alla- manda passés et présents, y compris ceux dont les colonnes du Gardener's Chronicle se sont remplies au détriment се sujets au moins aussi intéres- nts. y^ ие magnifique introduction est due à M. W» Bull; elle lui est venue des parages du Rio-Branco, limite du Brésil et du Venezuela. La plante est grimpante et porte un superbe feuillage ; ses im- menses fleurs ont un aróme qui a de l'analogie avec celui de certains Moe lias. L'Allamanda nobilis est lune des plantes floriféres les plus remarquables qui aient été introduites depuis nombre d'années en Europe. Elle demande la serre chaude et se propage aisément de boutures. L. VH. T 1679. BEAUCARNEA « La famille des Asparaginées ! » Voilà une appellation toute physiognomonique i fait miroiter, comme dan i Zeg otype, paon, plus fière que son tributaire le gig santesque Dracæna Draco dont nous avons récemment reproduit le port(1), délieieuse Asperge dans leurs Liliacées, ее ing permet à l'Asperge d'appeler Ша sœur » notre virginal Lis blanc! Que певт pour l'Asperge! Mais tout mole qu'est celle-ci, elle garde au moins Son nom nom que Linné lui-même avait donné à notre Dracæna terminalis qui, de son temps, s'appelait Asperge. Notre malheur, ; à nous horticulteurs, réside tout d $ l'idée fausse que nous nous in- dur ons sur nification scientifique nom de ташы fatu tit Les bota- a 3 m ES XVII, 165. XVII. AECURVATA Сн. Lex. nistes n'ont раз à se préoccuper de len- semble du végétal; il leur importe fort peu ` qu ‘il ait la physionomie de cette Asperge fréle ou le port majestueux du Draco; ils ne s'inquiètent que de l'appareil floral. Les uns s'occupent plus spécialement du groupement des familles; les autres s'éver- tuent à dégrouper les genres, et, dans l'es- péce, les Dracæna, par exem mple, en savent quelque chose, comme les Calathea l'ont éprouvé dans une autre famille ei a guerre civile a, tour à tour, décimé, et les Phry- nium , 'et les eg cof auxquels deux botanistes n'ont guére Or, puisque ces botanistes jn pu se per- mettre de détruire des travaux antérieurs, et méme leur propre ouvrage, pourqu oi n'admettrait-on pas la simple substitution d'un nom générique ridicule, quoique prov i- soirement admis par la science, bien que ес nom eacophonique n'ait eu pour pert qu ‘un maladroit déchiffreur d'étiquettes qui à pris le nom incroyable de Pincenectitia pour celui de Freycinetia qu'avait écrit Galeotti : appellation fantaisiste qui ne de- vait servir que d'aide-mémoire pour une MISCELLANÉES. plante ayant un faux Ce préambule pour e? air de Wier en venir à Гарре REENEN UE VAN SPEYK DB, 1854-1826. HYACINTHUS ORIENTALIS varrerares. Liliaeee $ Hyacintheæ Derr., Manuel, IV, 758 et suiv. Jacinthes, HYACINTHEN. Риове, ҮІ, 172. — ІХ, 28. — XI, 36. — XII, 89 à 96. — XIV, 185, 185, 186, 276. — ХҮІ, 165. — «Désirez-vous des Jacinthes à fleurs simples ou à fleurs doubles, Madame? » — « Comment, à fleurs simples! de grâce, Monsieur, à fleurs doubles ! » Et... c'est l'histoire de tous les jours! Des jacinthes à fleurs simples! « Fi donc! mais c’est de la tromperie ! » Et tandis que les Jacinthes à fleurs simples sont un objet d'horreur dans certains parages du continent, survien- nentles Anglais qui paraissent main- tenant n'en plus guére vouloir à fleurs doubles, c'est-à-dire, à fleurs pleines ! Affaire de goût, MA aro « manie d'anglais! » ЕВ! Bon Dieu, ne faisons pas la satire d'une na- tion sans la соппайге. Une cinquan- taine d'années ont pour ainsi dire passé par dessus nos tétes, depuis le temps que « Les Anglaises pour rire » faisaient nos délices, « aux Variétés » de Paris; nous nous formions alors une bien sotte idée de la blanche Albion, de ses cités; lation que M. Св. Lemaire а substituée à | celle qui n'est, répétons-le, revendiquée | par personne etqui, du reste, n'est appuyée non, en temps normal du moins, admis comme porte-éten- dard d'un genre. Le nom de Beaucarnea | proposé rappelle d'ailleurs celui de l'un de | nos meilleurs amateurs, de l'un de nos exposants flamands les plus enthousias- es, les plus persévérants. Et puis le travail de M. Lemaire, quelle que puisse être l'opinion que les botanistes en aient, est plein de données qui peuvent mieux pvir la =, quand се ne serait que Eun Jalon ; que d'arides descriptions de Mages de plantes, d'Agave, par exem- par aucune diagnose, condition sine qua | | ple, dont on n'a guère vu les fleurs, et que cependant on classe avec un impertuba- | ble sang froid. Disons encore sous forme в eu naif, que c'est la belle gravure du Cat. de M. B. Williams qui aru n Agen Ps un oduire dans la FLore. Nous ren- voyons à Illustr. dons, ceux d'entre | nos lecteurs qui voudraient y puiser les | renseignements sur lesquels l'auteur а cru pouvoir se baser pour la création de son genre, dans lequel entrent les Beaucarnea recurvata (l'ancien. Pincenectitia tubercu- lata), le B. stricta (P. glauca) etle B. m $ (P. gracilis): plantes que nous servons en bonne orangerie durant l'hiv er et qui décorent nos jardins, en dote air, pendant l'été T 1680. ANNIVERSAIRE CENTENAIRE. — ALEX. VON HUMBOLDT. y dix. ans, le 6 m: к gon vo n Vm ep un "des nue qui ont, "i ech пелен КУ sc iences. эге il était venu mourir Genen за pus ie, sevelit, ri siens, ordonnant qu'on len- reposait ans son jardin de Tegel, là où lt déjà son frère et son ami, Guil- laume von Humboldt. Quiconque a visité Berlin connait le petit village de Te egel, sa forét, son lae, sa modeste "villa qui a été l'asile du grand naturaliste moderne, et, au fond du pare, la retraite où reposent les d mortel de cet éminent génie, de so , de sa cœur Caroline et de Sa П а Cette modeste villa qui renferme tant de 28 mais depuis, ah! depuis!.... passez done le détroit, allez voir cette indus- trieuse eontrée, et ses merveilles, et ses habitants; allez voir, dans leurs expo- sitions, les Rosiers forcés, par exemple, et les Jacinthes, également forcées, et vous nous en direz des nouvelles! — Les Jacinthes, ils les payent bien, à la vérité; ils n'en veulent pas à six blancs, à une plaquette !... ils les payent bien; mais ils vous montreront aussi се que peut être une Jacinthe bien traitée. D'aueuns s'imaginent que la Jacinthe à fleurs simples est un diminutif de la Jacinthe à fleurs doubles! — Affaire d'appréciation, d'appréciation erronée née de l'ignorance de la nature de la plante dont on veut parler sans la bien connaitre. « Oh! pour Dieu, pas de Rosiers greffes, ils meurent tous! > Encore une sempiternelle erreur, une billevesée HYACINTHUS ORIENTALIS van. débitée tous les jours : « Je ne veux que des francs de pied, les greffés meu- rent ! » Ainsi done la Jacinthe simple est condamnée : on n'en veut point ! — Et que dirait-on si l'on apprenait que bien des cultivateurs commencent à craindre pour leurs variétés à fleurs doubles et semblent poussés à en réduire les plan- tations, se rejetant de préférence sur les simples qui se débitent bien mieux ? Мате d'anglais, soit! — mais essayez done en suivant les prescriptions de culture que contiennent les volumes de la FLoRE énumérés en tête de ces lignes. « Vos Jacinthes ne valent rien, » dit une dame, < elles wont pas fleuri; leurs boutons se sont montrés, mais depuis ils ont avorté ; je les avais cependant arro- sées copieusement tous les deux jours!» Les jours pairs, ou les jours 1m- pairs? recouvertes d'un lierre épais. Une colonne ionique, dont le socle porte une inscrip- tion, lui apprend qu'il a devant lui la der- niére demeure d'une des familles dont l'Allemagne s'honore au plus juste titre. y aura un siècle le 14 septembre pro- hain que le membre le plus célébre de cette famille, Alexandre von Humboldt, est ou municipal, M. le professeur la proposition suivante : « Ily aura, le 14 septembre, un siècle que Berlin a vu naitre Alexandre von Humboldt. г. Au conseil Wirchow а fait t 1681. UN FUCHSIA Un correspondant de la Société de! botanique d'Edimbourg apprend à ce cercle qu'il existe à Bonchurch, prés de Ventnor, dans l'ile de Wight, un Fuchsia de 99 pieds de hauteur, dont le tronc a 7 pouces Ce grand homme a passé dans sa ville natale une grande partie de son ilustre vie; il y a écrit les plus populaires de p ouvrages et les plus importants au point de vue de la civilisation ; il y est devenu le centre reconnu par tous de la vie sie tifique, se montrant en toute occasion 16, protecteur éclairé de tous les savants: Dans les temps difficiles, il n'a pas dédaigne, en bon citoyen rendre part aux assemblées de la bourgeoisie. C’est done un devoir pour la commune d'honorer d'une e. 5 Ino n manière convenable la mémoire du gra conseil municipal Pror. WIRCHOW. DANS L'ILE DE WIGHT. de diamètre. — Quelle merveille pe l'Europe et pourtant quel pygmée es arbrisseau auprès de ceux qui nous * abrité de leur ombre dans l'Amerique : Sud! Le Ve ам" pd Ұлу BA ж BI VENUS HYACINTHUS ORIENTALIS yan. N'arrosez donc ces pauvres plantes que lorsqw'elles ont soif ! — Тап leur terre montre de l'humidité, n’ar- rosez pas, de grâce, et vous agirez rai- sonnablement. -- = о — < Mais comment donc faire, mon- sieur, pour conserver les Jacinthes après leur floraison? » — Lisez, madame, les lignes qu'en- tre autres nous avons éerites à cet égard, page 276 du XIV* volume de la Егове: elles vous donneront la clef première de vos tourments tardifs. — « Où faut-il que je me procure mes Jacinthes ? » — Íl existait, il y a une trentaine d'années, dans Rio-de-Janeiro, une rue, а Rua da fazenda, exclusivement habi- (ёе par des débitants de Carne secca et de Toucinho, bœuf salé et lard, dont les habitants de la Provinee des Mines (mineiros) formaient la elientéle prin- 99. cipale. Nous nous rappelons que ces industrieux marchands de comestibles, guettant leur proie du seuil de leur porte, se jetaient sur les passants, se | les arrachaient, s'aidaient de leur voix glapissante pour vanter la supériorité | de leurs produits respectifs et s'épou- monaient à dénigrer ceux de leurs concurrents. En Europe, où l'on est mieux élevé, on s'y prend autrement, pour arriver au méme but, laccaparement de la clientèle : « N'aehetez pas eet animal-là, dit-on; il a un vice redhibitoire! » № la pauvre béte en meurt de faim. Mais passons. — Nous publions au- jourd'hui trois portraits de Jacinthes; les amateurs de fleurs pleines y trouve- ront leur quote-part, n'en donnant qu'une seule à fleurs simples, mise récemment en vente, à prix d'or, sous T 1682. PLUIES DE GRENOUILLES, D'ORANGES, ETC. Une chute de feuilles de chêne est sur- venue récemment en France, par un temps serein. Ce phénoméne a naturellement fait penser aux pluies de grenouilles et de cra- pauds, et un journal les a remis sur le lapis, mais pour en rire. Cependant, outre que ce phénoméne est attesté par des témoignages respectables, il s'explique de la facon la plus simple par l'action des trombes qui enlévent nécessairement, dans de trés-grandes colonnes d'eau, des corps de toutes sortes empruntés aux étangs et aux marécages qu’elles mettent à sec. Pourquoi n'emporteraient-elles pas des сга- Pauds et des grenouilles à l'état. parfait ou Sous forme de têtards ? Le 8 juillet 1855, une trombe qui s'était formée sur la mer à la pointe du Pausi- lippe, prés de Naples, fit irruption sur le "wage et vida complètement deux grandes corbeilles oranges; quelques instants apres, et à une assez grande distance de 18, une Jeune fille qui se trouvait sur une ter- rasse vit une pluie d'oranges tomber autour i elle, phénomène beaucoup plus gracieux T une pluie de grenouilles et de crapauds, mais plus étonnant encore, puisque les oranges sont bien plus volumineuses € bien plus lourdes que ceux de ces animaux qu'on a vus figurer dans les pluies d'orages. M. Daguin, professeur de physique à Toulouse, fait méme observer avec ramon que les trombes doivent enlever des cra- pauds et des grenouilles de préférence à une multitude d'autres objets, en raison la conduetibilité électrique de ees animaux. Ce qui n'empéche pas, bien entendu, que puisse ètre — du sol. “дісі, du reste, un fait qui confirme l'explication présente. Mauduit déclare avoir observé dans le pays de Caux, le 15 septembre 1855, une trombe qui enleva toute l'eau d'une mare, avec les poissons qui y vivaient. « Or, dit un auteur qu on ne contredira pas, ces animaux ont dü re- tomber tót ou tard et former quelque part ` pluie de poissons. > une pluie de [ ME. 50 le nom de Lord Мецу, d'une couleur presque noire, ornementée d'un large œil blanc; on la trouve dans nos Prix- Courants, et nous sommes fiers d'en posséder un stock respectable. Srevk et VÉNUS, iei figurés, sont de magnifiques variétés se forçant très-bien, tout comme le fait Lorn Метуиле, dont la hampe si svelte est bien plus longue que ne le montre notre planche. Profitons de l’occasion pour rappeler au souvenir de nos amateurs quelques autres magnifiques variétés plus ancien- nes, à la vérité, mais qui n'en sont pas moins recommandables. Passons-les en revue, en les divisant, d'aprés leurs couleurs, en six séries. Notre Prix-Courant n* 498, qui vient de paraitre, contient, à leur sujet, tant pour le port que pour la deseription du coloris, les prix, ete., tous les ren- seignements désirables. ecommandons en premiére ligne parmi les Jacinthes : HYACINTHUS ORIENTALIS van. 1° A fleurs blanches, SIMPLES : : Alba superbissima ou Théba, Elfride, Grand vainqueur, Kroonprinses der Nederlanden, La Pucelle d'Orléans, Madame Vander Hoop, Mont blanc ou Honneur d Hillegom, Paix de l'Europe, Queen Victoria; DOUBLES : Anna Maria, Grand Monarque de France, La Tour d'Auvergne, Prince de Waterloo, etc. | 2° A fleurs jaunes, SIMPLES : Héroïne (Fong, XIV, p. 89), Ida, Koning van Holland ; DOUBLES : Héroïne (pont). Jaune suprème, Willem TIF, etc. 5° A fleurs rose tendre ou rose clair, SIMPL Belle Corinne, Cavaignac, gigantea, М" Macaulay, Norma, tubiflora ; ` T 1683, LE DELPHINIUM TRIOMPHE DE PONTOISE. — DE PROFUNDIS !!!... ur au, mystérieux, et tant vanté Delphinium, aux pétales décorés de rubans cire ministre... nous ne fimes de bien! — car Nancy n'avait rien Er de pareil et..., à nous le pompon! gas? « Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère... » Dieu... vous... bénisse! — Rentrons vite nos piéges à loup, nos lattes usées, nos clous sans téte et sauve.... qui peut ! ....Avons-nous aujourd'hui l'air de re- venir de Pontoise ?!! D: pt gi Rubans cire à cacheter ministre: * — — Où êtes-vous restés ??? Que la terre te soit légère !... Tu n'es certes pas sans mérite, сере | dant : tes longues grappes spiciformes 0 au-delà d'un pied et demi de longue! chacune; elles sont nombreuse la plante se ramifie parfaitement; CR SE mais пе nous montres pas, et ton coloris com parativement fadasse quand on 16 е à tant d'autres, te relégue au сіпдше essous, si pas plus bas encore; tàcherons de perdre jusqu'à ton nous avons été trop mystifié. t 1684. LE PHYSIANTHUS ALBENS, ATTRAPE-PAPILLONS. Dans notre XVIIe volume, p nous avons reproduit. ee que leroche d'Anvers а narré à ce Belgique horticole, age 156, M. John Bel- sujet dans la et depuis nous avons . H 4 d a ppp ť © ricus? fait emplette d'exemplaires de cette hai plante chez M. De Beucker ; nous en | à notre tour à nos correspondants. L. VH. Of lith ёр“ Bis “ = 1 — DOUBLES : Frédéric-le-Grand , Grootvorst, Hon- neur d'Amsterdam, Lord Wellington (Fiore, XIV, р. 185), Triomphe Blan- ine, etc. ^ A fleurs rose vif et rouge foncé, SIMPLES : Circé, Duchess of Richmond, Made- moiselle Rachel, Maria Catharina ou Robert Steiger, Princesse Clotilde, Queen Victoria Alexandrina, Reine des Jacin- thes, Von Schiller, Haydn (amarante); UBLES : DO : Cochenille ou Eclipse, La Belle Alliance, Louis Napoléon, Noble par merite, Prince d'Orange, Regina Vic- toria, etc. 5° А fleur bleu clair, bleu porce- laine, bleu perle, lilas, etc., SIMPLES : : Argus (à œil blanc), Benjamin Fran- klin, Cialdini ou Pienneman, Grand bleu, Grand lilas, Grande vedette, Marie, Porseleine scepter, Robinson, Vainqueur ; HYACINTHUS ORIENTALIS yan. 51 DOUBLES : Bloksbergen , Comte de St.- Priest , Madame Marmont, Mignon de Drijf- hout, Murillo, Pasquin, Rembrandt, Van Speyk, ete. 6^ A fleurs bleu foncé, bleu in- igo, bleu pensée passant au noir, etc SIMPLES : Baron Van Три, Charles Dickens, Haller, Lord Melville (noir à œil blanc), Mimosa (noir), La nuit (noir) ; DOUBLES : 5: Albion, Laurens Koster, Prince de Saxe-Weimar, Othello (noir), ete. Outre les variétés énoncées ci-dessus, nous possédons un grand nombre d'autres belles sortes énumérées dans le susdit Catalogue п° 128, pages 105 à 116, auquel nous renvoyons le lecteur. Nous ne saurions parler Jacinthes sans rappeler nos Tulipes et nos autres plantes bulbeuses, telles que Crocus, Narcisses, Jonquilles, ete., lesquelles, Т 1685, ORIGINE DU CLEMATIS VITICELLA VENOSA. E avons publié, il y a onze dts XIII, page 15), la figure de cette "ON кер ante, qui aurait été obtenue, Aujourd'hui Lors par un M. WILKE. Revue те le, sun reléve, dans 1а € ce dtr ё, notre assertion incorrecte : «eest M us 1 > s'écrie-t-il , suadé qu'il ELKE: > Nous sommes per- la but nest pas un seul possesseur de ne sempresse d'orner son ' cet important correctif! — жон relage ajoute : < je ne puis en ce ent en trouver la source... » la source de qui ou de quoi? la source du Nil ou de РУ du Zuiderzee..... ou simplement de l'erreur commise en imprimant WILKE pour Werke? — Nous faisons des vœux pour que celui d'entre nos correspondants hollandais qui nous a permis, il y @ onze ans, de signaler à l'horticulture reconnais- mais bien de M. Werre, de vouloir bien se faire connaitre incontinent! А lui de pren- dre la responsabilité de за cacographie ; il y va de sa dignité SE + 1686. UN JARDINIER QUI SAIT TOUT! I . da riche amateur dit à er ` 1 / ` LI le sei “Ms avez trop de monde! faisons я Г 6 е SÉ 5 a. zu ; Capa " parc, nous renverrons les moins | ) sais tor zé le se Моу "Toda toe GA ROM, y ue qs En COlOyant la route qui borde la саш- bêche, j sais travailler ! ard parut se raviser, car, | troisieme, € Pagne, notre rich Va du noir iners ІШ, la bé quéte d au blanc, il fit précisément 79 рі ӛ . lorsqu'il aperçut trois terrassiers che sur l'épaule, cheminaient en . ла son chef jar- | % aurtez-vous pas d'ouvrage Ouvrage. — M. Y, fit l'un d'eux, | sième, Je vous accepte pour moi бел Que savez-vous faire? — Мо, e rg? а faire! — Et vous? fit-il, en hélan cond — Ben, m'sieu, ) connais та Et vous? dit-il, au jui répondit comme le second. t au premier : J ағ Un chef, j их; mais quant а vous, le deuxiéme et le troi- tous les deux : entrez. b: VH. * — M. X. di n'en puis occuper de et à vous, indiquant 52 associées aux Jacinthes, garnissent si brillamment, dés le premier printemps, sans beaucoup de peine et à peu de frais, les parterres de nos jardins. Et en plein hiver aussi, quand toutes espéces de fleurs sont rares, que les croisées des appartements sont belles quand on y donne place à ces brillantes еогоПев si riches de coloris, si varices et si par- fumées ! Nous avons donné les figures et parlé longuement de quelques-unes de ces belles. plantes bulbeuses dans les vo- lumes XIV et XVI de cet ouvrage, et nous y renvoyons le leeteur pour tout ce qui est relatif à leur culture, ete. Ils y trouveront les jolies variétés de Tu- lipes simples Duc de Tholl à la page 81 lu XIV* vol.; un peu plus loin, pa- ges 85 et 85, ils y verront les portraits de deux des plus belles Tulipes doubles : Koning der blauwen (Roi des bleues) et Mariage de ma fille. Dans le vo- lume ХҮІ", nous avons donné le Scilla ontre, au premier printemps, ses petits racèmes de clo- HYACINTHUS ORIENTALIS yan. chettes du bleu améthyste le plus riche; trois variétés d'Anémones sont repré- sentées à la page 151; six variétés de Renoncules. de Perse font face à la page 155; deux planches représentent une douzaine de variétés de Crocus aux pages 155 à 158; puis viennent plusieurs planches de Tulipes simples et doubles, où sont figurées 15 des plus belles, telles que les Tulipes simples Junger gelber Prinz, Jagt van Rotter- dam, Pottebakker blanc, Caméléon, Ma- Malta, Gouden Standaard, Ville de Haarlem et Lak van Rhyn, aux feuilles marginées d'un ruban jaune d'or; enfin les Tulipes doubles Couronne de Roses, Gloria Solis (Goudbont), Mariage de ma fille, Regina rubrorum et Rex ru- brorum, toutes si belles variétés. 5. Nous pourrions nous étendre iei à l'infini, tant est vaste le choix que l'on peut faire parmi les plantes bulbeuses ; mais notre Prix-Courant n° 128 en contenant. l'énumération, nous y ren- voyons les amateurs. L. VH. T 1687. SI NOTRE PLANÊTE VENAIT A S'ARRÊTER ! Nous extrayons ce passage de l'amusante et instructive Revue des sciences qu'Henri de Parville fait dans le Journal officiel de Paris : < Si la terre, pour une cause ou une autre, était instantanément arrêtée dans son mouvement, sa température s'éléverait brusquement à un degré si élevé toutes les matiéres qu'elle renfe réfraetaires qu'elles fussent, seraient r duites en vapeurs. Globe d chauffées, la terre a été dés son début, et immédiatement, globe immense de vapeurs elle redeviendrait. « Nous serions tous caleinés, vaporisés ! Ceci n'est pas u à plaisir. Les caleuls les basés sur décisives, égard. liquéfiés, conte inventé plus indiseutables, es expériences parfaitement ne laissent aucun doute à cet Le mouvement anéanti se transforme en chaleur. Un boulet dont la vitesse es! annihilée, quand il heurte la cible, s'échauffe au point qu'il n'est pas possible de le tou- cher avec les mains. Or, qu'est-ce que Ja vitesse anéantie du boulet, 400 mètres à la seconde, à cóté des 50,000,000 de metres de vitesse du globe terrestre ? Jne roue fer qui tourne et que deux électro-aimants arrétent brusquement ans son mouvement devient brülante. < Et ici les aimants agissent à distance par simple influence; il n'y a pas choc. | « La terre, ainsi arrêtée, passera с. aussitót ën ierres, métaux, rien ne résisterait ! Nous disparaitrions dans un océan de feu, 4" milieu d'un eataelysme épouvantable, don heureusement ni l'histoire, ni n'ont jamais signalé d'exemple. » COCHLIOSTEMA JAGCOBIANUM Ao. & ZLrnd 4) | Ë Feuncdlor: Serre lutte 1857—1859. COCHLIOSTEMA. JACOBIANUM коси sr uso. Commelynaceæ. AU GENER. — Vide Сн. Lem. in Ilustr. hort: IV, 217. CHARACT. SPECIF. Se Коси, аат . 522. . Алов, vue hort., M. Т. Ree bard . Chron., s M, 264, mo tab. xylogr. — Си. Len. ЖҮ; mise. 41. — Hic cum præs. tab. ad Bt vi delin. et pi iot DIAGRAMME. eg planche au verso). . Jacobianum : Са/усе à 5 folioles imbri- vies dont а plus grande embrassant les bords eux Co ding à 15 folioles ciliées sur les bords, imbri- « Trouvée par М. G. Wallis dans les foréts qui s'étendent entre la chaine des quées comme les pièces du calyee, mais inver- sement. 5 étamines externes :2 réduites à des sta- minodes bleues, eiliées, opposées aux folioles externes (a) , la 5* placée devant le grand lobe calycinal et ornée de poils jaunes. — Anthère horizontale étamines internes , оррозёез aux pièces de la corolle : one réduite à doen gier etite d ou filet (c), le s deu ées à l'e e. — Anthères vertices 3 reis Wan: de es sortes de corn Ovaire à 5 loges oppo sët ‘aux pièces du cal аке dans toutes les monoc іа E “регіне ( ANDROCÉE Andes et le littoral du Pacifique, dans l'ancien royaume de Quito, aujourd'hui + 1888. DE L'ORTHOGRAPHE DU NOM DE GHIESBREGHT. Que се nom flamand soit difficile à «es noncer et à écrire par une bouche ou une main étrangères, с ee ce Front nous ne dis- convenons as; | voyageu Ee RICHARD, l'Epidendrum Giesbrech- anum, le prouverait à satiété, dit-il (1). > (1) Nous ignorons du reste où ces renseigne- Que notre cher KR em que M. Сшєзввквнт nous est bien connu, qu'il est Bruxellois, на compagnon de par notre entremise, à son pére, Ghiesbreghtianus, le plus beau = perroquets, que notre ami ira certaine- nt voir à son premier voyage a à Gand. L. VH car LINbLEY et REICHENBACH men ats ont été puisés, nom de GHIES: — dans 8 écrivent correctement l€ le toutes leurs citations. T 1889. — n DP uacuum DE не ез DE LA = que, dans ces Arti temps, "rtieulture sest évertu de par onde, « wn las d'à ignares jar diniers, peu acte des. " d E intérêts de la science, » se livrer à croisements indécents à l'aide de ce ху. SUR LE SUJET. | Res кон qui s'en va brouiller les | eartes tant de fleur en fleur | Let d'étres nouveaux, < véritables arlequins, MONSTRA туне bátards, ie stériles, » ete., etc. nouveaux ven en montrant parfois ms _ {емле berceaux de fetus bien autrement nt dérou- tants encore, portent à son apogée Takk Messieurs qui admirent $ la et qui ne songent а pas que, b fassent leur deuil; 5 54 république de l'Équateur » сеце magni- fique plante, introduite par M. Linden, n'est pas, à premiére vue, sans simi- litude apparente, quant au port, avec un Fourcroya gigantea. Ses fleurs pédi- cellées, portées par d'assez longs pé- doneules roses naissant à l'aisselle des COCHLIOSTEMA JACOBIANUM Kocu єт J. Ілхр. feuilles, sont d'un beau bleu d'azur el suavement odorantes ; leur succèdent servent à propager la plante. Aucune grande serre de luxe ne voudra se passer de ce Cochliostema. L. ҮН. soleil protége l'horticulture ornemen- tale au méme titre que le flambeau de la science Durant nos pérégrinations dans l'Amé- rique du Sud, nous nous (e d'histoire naturelle; nou p upions d'objets aimions article Tar "uli é a lecter. col- tait P u^ de | nos spécialités les plus тоган) nous avions, parmi nos preneurs, u erlico- cantieux italien qui prenait plaisirà greffer, entre чиг, des gros-bees sur des bases ne de palmipédes, ete.; notre ar lequinom ы іреп opérait en secret et se montrait heur We | toutes les fois que ses visiteurs admiral COCHLIOSTEMA JACOBIANUM Koch. & Lind. гу і , Ecuador. Serre chaude. $ B a ARISTOLOCHIA ОЧСНААТАЕ! F7 Ard» 5 ‚ {laut Amazone ferre chaud 1840—1841. ARISTOLOCHIA DUCHARTRET вр. aout. Aristolochieæ. " Rd AV СЕМЕҢ. — Vide ОоснавтвЕ, іп DC. ср Oo tenuiore ; limbo late ovato, cordato, margines involuto concavo, intus maculato, extus nervis prominentibus valde no- tato, Maxw. T. MASTERS. Aristolochia (Gymnolobus) Buchartrel E. Ахрв., Mouvement horticole de 1867, р. 61. . M. in Gard. Chron. 1868, mai 16, р. 516, eum icone xylogr. — DUCHARTRE, Ann. Soc. Par 1868, р. 297. — Hic cum tab. ad nat. viv. pict. « Par une singulière coïncidence, cette plante, qui a figuré à l'Exposition uni- verselle de 1867, dans un lot de M. Lin- den, venait d’être nommée et décrite par M. Ed. André dans son Mouvement hor- ticole de 1867 (p. 61), au moment méme oü M. Maxwell T. Masters, le savant ré- dacteur en chef du Gardeners’ Chronicle, son baroque musée; une moue mélancoli- que ridait au contraire son visage quan un mal-appris découvrait ses supercheries. On а beaucoup étudié, surtout dans ces derniers temps, la question de l'influence ıu sujet sur la greffe; mais, jusqu'ici, l'idée paradoxale de l'influence de la greffe м le sujet n'avait, eroyons-nous, préoc- ре personne. C'est pourtant à ce rôle EL o1 et ee puja . des lournira ample matière aux ш- vestigations de la science. i Ç meme, VAbutilon connu sous le nom 4, 10трѕот, et dù à M. Veitch, ayant d e D , , a poe, puis des feuilles développées i ment elles que celles que Пай leur greffe, lAbutilon Thomp- + 1890. DURCISSEMENT DES BOIS. г ! de la Belgique fait connaitre un ui i š , . ` H ech? avait trempé le bois à froid dans gen ution froide de sulfate de cuivre et › Où bien, si le temps pressait, on wils étaient d'abord. — Mais, : tion! qui le croirait? — Ces pousses qui ` s'étaient panachées sous l'influence de ....... қо > wl — > аз “3 E © > ЕРЕ A [1] ” = © e 22 = z — M. Victor Lemoine ; seulement nous n avons ` point appris encore si notre multiplicateur, q d disparition de la panachure du sujet, à été expérimentée ailleurs que dans notre Établissement de Gendbrugge. Voilà de quoi disserter. pour obten ro dans la dissolution d'eau et d ivre. Là est l'idée qui procédé nouveau de tous 1 56 allait en publier, de son cóté, une des- eription et une figure représentant iso- lément Ја fleur avec son analyse et une feuille. Le savant anglais, ayant appris dernier botaniste. consignés dans ces deux deseriptions, l'Aristoloche dont il s'agit a été décou- verte dans les foréts qui bordent la partie supérieure du cours de l'Amazone, par M. Wallis, collecteur pour le compte de M. Linden. C'est un arbuste grim- cylindriques et glauques. Ses grandes feuilles longuement pétiolées sont orbi- ARISTOLOCHIA DUCHARTREI Ер. Axpné. eulaires еп cœur, longuement aeumi- nées, d'un tissu épais, glauques, larges d'environ 0»,15. Ses fleurs sont très- par un limbe formant entonnoir, dont le contour est ovale ou arrondi, échan- eré à la base, prolongé en angle au sommet, large d'environ 0",06, marqué, sur un fond clair, de macules grandes et sinueuses brunes. — Cette nouvelle Aristoloche méritera certainement ше place distinguée dans les serres chaudes où, par son beau feuillage, le nombre et la singularité de ses fleurs, elle pro- duira un curieux effet. > Dre. (l. с.). Т 1891. SUR LES TREMBLEMENTS DE TERRE. Ce qui pourrait faire croire que les trem- blements de terre ont pour origine non mais seulement , incendie. C'était une aurore boréale, con- statée du reste par l'agitation extraordinaire de l'aiguille aimantée des boussoles. ` А onze heures un quart du matin, l'averse diluvienne qui était tombée avait été précédée, durant une minute environ, ue cette succession de ни lieu sous l'influenee de l'électricité, 6€ ; 1 : | de annonçant un état électrique prononce d l'air ambiant. » ы T 1892. FLORAISON DU SPARAXIS PULCHERRIMA W. Hook. Cette belle espèce représentée à la page 169 de notre XVII* volume vient de d breuses, mais leur coloris nous a singuliè- rement désappointé : il est d’un gris clair trés-légèrement bleuissant! Nous avons, dès lors, pris la résolution de n’en plus үйүт et d'indemniser complétement ceux eu la chance d'amener un coloris pareil à celui de notre planche. SE Il est indubitable que cette plante пер puisque le D* J. d'une a et Fitch, de l'autre, dessin foi et ne peuvent se contenter tions. СҰР diih. & Age. гт Morte Vlan Houtteune ONCIDIUM LANCEANUM Lindl. ` Surinam Serre chaude * À uique, toto CHARACT. GENER. — Vide supra, 1, p. 104. CHARACT, SPECIF. — obtusis earnosis cone basi hastato, lobis lateralibus semiovatis, crista 1842—1845. ONCIDIUM LANCEANUM их. Orchidaceæ. triloba carnosa jugoque elevato proclivi, columnæ alis carnosis rotundatis, anthera cristata. ©. Lanceanum Lino. in Hort. Soc. Trans. nouv. sér. vol. II, p. 100, tab. 7. — Linni. in Bot. Reg. t. 1887, et in sn, Folia orchidacea, Onci- dium, по 155. — Reus. in Walp. Ann. ҮІ, 784, n° 155. Originaire de la Guiane hollandaise, cetOncidium, dont l'introduction est due à M. John Henry Lance, fut rapporté par lui de Surinam еп 1854. Il fleurit d'abord dans le célèbre établissement de Messrs Conrad Loddiges et fils, à Hack- пеу, dont on rechercherait vainement aujourd'hui la trace au milieu des in- nombrables bâtisses, des rues nouvelles quisillonnent en tous sens l'emplacement Ou tant de richesses horticoles étaient réunies autrefois, grâce à cette famille mm d'hortieulteurs, aujourd'hui éteinte, à laquelle l'Angleterre a été redevable du plus bel établissement qui ait surgi dans son sein à cette époque. — Hackney, petit village dans le Middlesex, à 5 milles N.N.E. de la cathédrale londonienne de St-Paul, était autrefois la résidence favo- rite des Cockneys fortunés; aujourd'hui tous ees beaux domaines que la villé- giature y avait créés, ont disparu sous la pioche des démolisseurs : des rues spacieuses y sont bordées de magasins T 1893. LES РОВЁТ$ DE L'AUTRICHE. b L'Autriche posséde 46,659 arpents de 015 d'Oliviers, 800 arpents de bois de lauriers et de a us de bois d'arbres à feuillages et d'ar- 5l аа еѕ, par conséquent en tout a ›268 arpents de foréts, oceupant un ts du sol productif, ari toutes les forêts de l'empire, on de m: гш par ап 28 millions de cordes de e» Cont 1 1/2 million seulement de bois construction et d'ouvrage ; tout le reste + 1894. ZYGOPETALUM (PESCATOREA) WALLISH Reus. а" Gardeners Chronicle du 5 juillet, 710, e emt la diagnose destinée à complé- hs dim de la page 17 du présent 3 РЕЗСАТОВЕА Warusu, Lind., Rchb. fil. palis oblon is obtusangulis ; l lellato in basi, callo septem medio, callis approximatis quinis disco ceterum levi; columna an- ce pilosula, ima b asi apiculata. Châtaigniers, 51,466,809. est employé pour le chauffage ou comme charbon. m On vend annuellement 4 millions de ree de tanneurs, pres noix de galle, potasse, 280,000 de 70 millions, cela équivaut à un capital de 1,400 millions portant 5 p. с. €! (Correspondance autrichienne.) cuneato oblonga “ petala subæ- 17, me- ævis eenzech trinque angulata, : uberula ; apiculus in im Nous transcrivons littéralement, tout en réservant nos commentaires. и 58 «ерісегіев; les Chymists у étalent leurs cosmétiques , espèce; les tavernes y pullulent; c'est devenu, en un mot, un quartier res- semblant à tous les autres quartiers populeux de Londres Фой ont fui, et les ombrages épais, et les demeures somp- tueuses qui en faisaient l'un des séjours les e riants, les plus aimés du Middles Le doté survivant des Loddiges (nous ne parlons pas des neveux qui était passionnés pour Yhorticulture, rassemblant, rassemblant sans cesse tout се que les arrivages de toutes les parties du globe apportaient de graines, de plantes | de tous genres à son vaste établissement, dont autrefois nous étions tous tributaires. C'est là qu'a fleuri d'abord l'un des premiers на introduits de l'On- cidium Lancea Peu de asas reis ses fleurs se sont montrées dans les jardins de la Société о de Londres ой Га déerit le D' Lindley. ONCIDIUM LANCEANUM Тахо. L'ensemble de la plante ressemble à ce- lui de l'Óncidium carthaginense : absence de pseudobulbes, longs racèmes aériens pendants; grandes feuilles d'un pied environ de longueur, trés-larges, ovales, extrémement épaisses, presque plates jusqu'à leur extrémité, légérement in- clinées, d'un vert clair, marbrées, mou- chetées de taches brunes. Les fleurs, disposées en panieules droites, sont ra- massées, placées prés à prés et garnis- sent toute la longueur du pédoncule. Elles émettent un aróme ayant quelque сее ауес celui de ГОЕШе. ` Cuzrure.L'Oncidium Lanceanum etant originaire de la Guiane, semblerait de- voir présenter des difficultés de eulture; mais il n'en est rien. Grâce à sa vigou- reuse constitution, il eroit avec la plus grande faeilité, suspendu à un bloe de ois, dans nos serres chaudes humides, dans lesquelles il fleurit chaque année au cœur de l'été. Ses fleurs, en longs épis, durent plus d'un mois. Son pw feuillage constitue déjà à lui seul un bel ornement de serre. L. VH. E ында A EE T 1894, BIBLIOGRAPHIE. Traité général de Botanique par MM. 3. Песлівхе et Емм. Le Maovr (1). Notre XVIF volume, page 129, contient la figure d'un Livistona australis Manr., sous le nom de Corypha austra- . Ce Palmier y est représenté еп jeune exemplair ire de force à orner les cor- beilles, les а de salon. А 1а раде 151, е? le Traité mé urce général de Botanique % MM. J. DECAISNE (1) 2 vol. in-£», Firmin Didot, 56 et Emm. Lemaour, que nous sommes Т. emprunter la belle vignette du en Re oe qui ex ici sous t ge o te que naturelle. Nous р! o ой deg oun cet dien nse recueil, ge cette ceuvre de gigantesque dure be ne contient pas moins 2 5,500 Mag ph toutes dues J; p membre de l'Institut, professeur de си au pub? des Plantes de Paris, etc. e qui lesa fait exécuter, sous sa dire par MM. Steinheil et Riocreux, coup de crayon n'a guére son E nde. i i Б © ; rue Jacob, Paris. > u `` S si + м £ + + ` M. ў т ` 2 ей x — = — >: Za — ¿CS ч Lë ae icr S ke EI - кə eo «г E L. RHAPIS KEES к i e қамынан ғыс d s i linia EE Of бй. & pwt in Horto Па? Jou само. 1844-1845. RHAPHIS FLABELLIFORWIS FOL, AUR.-VAR, Palme. CHARACT. GENER. — Ruarrs Тимм. F. Flores rna crassiora, profun ræ o — Неямағн. Calyæ cu- pularis, trifidus. Corolla tripetala (?). Stamina 6... arium e сагр Из. tribus distinctis... Васса шшіса?... Albumen... Embryo... — Palma т China et Japonia indigena, in hortis nostris solum flores 0: D frondibus terminalibus ей sublateralibus, palmato- nti L'Hérit. Stirp., IL t ae i . 100. Jaeq. E 516, Bot, Mag., t. 1571. Martius, Prog., 8. Ssuno, omo et Soo-Tsiku. Kempf. Amen, exot., 898. (Ехимен. беп, Plant., no 1761.) r P omnibus citatis synonym А "ep A. Jaco. Hort. Schünb., Ш, р. 56, tab. 316. — Wirin, Sp. pl, IV, p. 1095. — Gawr. in Bot. Mag., по 1571. — Ser. Syst. Veg., II, ^ 157 (exel. syn. ) — Bom. et Scnvrr. } y 4 р. 1479. j ; mr, in Sina, unde jam multis abhine annis lanta maseula hortis nostris invecta est. (б, L. LUME, Rumphia, p. Rhaphis flabelliformis (sub Raris) Linn, f. Mee, Алтох, Le type, originaire de la Chine et d'autres contrées voisines, est un vieil habitant de nos serres. L'indieation de son pays natal se décèle par sa rusticité relative. D'un port élégant, d'une phy- Sonome ráàblée, n'atteignant habituelle- теп! que quatre pieds de hauteur, i est le bien venu quand il s'agit des gar- mtures de corbeilles d'appartements ; "d edt les cheminées; il fait partie " орһеев pacifiques sans jamais en ге réduit à faire tapisserie : grâce à sa petite taille, il échappe à cette ignomi- Ше, Ignominie réservée à plus grands ice que les danseurs bousculent, dim ISsent en tourbillonnant étour- E — Pardonnez-leur, Seigneur! е à feuillage rubané doré, е i e À abord par Von Siebold, puis pé ал n Gould Veiteh, ne se propage E. promptement que le vou- échoit 1 ез rares possesseurs auxquels WL ja surveillance du rempotage qui — 2 Ll к consistera pour le compost, еп ип mé- lange de briques concassées et de terre ordinaire, nourriture maigre qui doit obvier à la dépanachure à laquelle ce joli Palmier est enclin. Ses compagnons sont, pro (етроге, les jeunes Licuala et une tribu des Calamus aux élégants feuillages, mais qui, dérivant de pays intertropicaux, ne pourraient, à l'instar du excelsa, cohabiter longtemps ауес les quasi-rustiques Rhaphis. Von Siebold nous a encore doté des В. Kwamwonsik et Sirotsik qui lui res- semblent trop pour que nous ayons à regretter leur rareté. Et puisque nous avons cité le Cha- mærops excelsa, disons, à son endroit, que quel que soit le sort que l'avenir lui réserve, il n'en constitue pas motns lune des introduetions modernes des plus remarquables : son. port est des plus sveltes; sa tige, droite comme une t 1895, LA MINE DE CHARBON LA PLUS PROFONDE CONNUE. L . ігі Morning Post donne des renseigne- Sur, le puits de houille le plus pro- de. Il se trouve aux fond qu'il y ait au mon 01 a] prés de Wigan, et mines de Rose Bridge, 40 flèche, sert de tuteur naturel à ses pétioles rigides, surmontés de frondes gracieusement ondulées. Bien des an- nées se passeront avant que l'espèce пе devienne encombrante; puis, n'a-t-on pas toujours la ressource des échan- ges? Un palmier de sa nature trouve toujours son preneur. Enfin, quand il est adulte, on peut hardiment le livrer à la pleine terre en le casant dans quelque clairière au nord, où sa cime, toujours préservée du soleil par des arbres de haute futaie, sera à l'abri de ses rayons traitreux, dans un pays, surtout, où se succèdent, et les gelées, et les brusques dégels, si meurtriers pour le RHAPHIS FLABELLIFORMIS FOL. AUR.-VAR. parenchyme de tant de végétaux qui vi- vraient en süreté s'ils n'y étaient exposés, Il existe sur les sommets de l'Hima- laya un Cham«arops Martiana WA. (0, au stipe élancé, dénudé, lequel, croyons- nous, a un représentant dans la personne d'un Cham. tomentosa Cn. Моввех@), ont l'exemplaire por- traité vivait à Destel- bergen-lez-Gand, chez défunt M. Heynde- riekx, alors président de la Soc. d'hort. de Fortunei et à laquelle parait ressembler trés- fort celle qui fructifie actuellement dans le midi sous le nom dé Ch. excelsa; y Tertio : le Ch. hum- lis, vieux boudeur qu se hàte trop lentement à croître dans le nord; nos cultures dans lesquelles, compte, trónera toujours, et le pce rops excelsa (sic), et le Rhaphis flabet- liformis 5). L. VH. MEA (4) Waru. Plantæ asiaticæ, 211. (2) Annales du Casino. (5) Nous omettons à dessein de nomme amærops qui ne sont pas en се 0 ressort de l'hortieulture ornementale. l'on vient d'y découvrir tout récemment la couche de charbon, dite d'Atley, qu'on cherchait depuis longtemps et qui a une м ` .. më grande valeur; cette couche est à d profondeur de $810 yards (750 m environ). LO ымы NE ARR E RP o T p d’autres | | | | | moment du 590 GLOXINIA SPECIOSA Vore Zactoe. Houtte.) an (Y 1846. GLOXINIA SPECIOSA, VOIE LACTÉE (Vax Носттк). Les acquéreurs de la Voie lactée qui | de ciel à la circonférence, d'un bleu de jetteront les yeux sur la planche еі-еоп- | roi à l'orifiee du tube qui sert de point tre ne s'éerieront pas d'arrêt à cinq panaches blancs décorés d'un délicieux pointillé qui simule des grains d'argent, vraie, vraie voie lactée, Et pourtant si jamais frais coloris | qui s'étend jusqu'au fond de la corolle. dune fleur а été massacré, c'est bien | Etnos peintres, qu'ont-ils fait aussi de celui-ci, notre Souvenir d Henri (n° 687) (FLORE, ‚ Ce Gloxinia est, peut-être, le plus flo- | XVII, 175), dont la gorge d'un blanc rifére de tous; ses innombrables fleurs, | de егете velouté si pur, si suave, presque complètement érigées, sont | s'étend comme un nuage dans le bleu ges, de forme supérieure, toutes | de roi du limbe? — C'est que, presque blanches à l'extérieur, d'un beau bleu toujours, la nature est inimitable. L. VH. Que toujours la peinture embellit la nature ! et de magnifiques grappes parfaitement empruntons à ses Annales : | conservées avaient, à plus d'une reprise, < Messieurs. Une récente note de votre | attiré notre attention dans nos expositions Comité d'arboriculture rappelant, au pas- | printanières; mais notre société n'avait 4086, quelques procédés signalés par ses | pas encore été appelée à visiter sur place, membres pour la conservation des fruits | non pas un petit nombre d'échantillons Ч particulièrement des raisins, faisait | choisis pour la circonstance, mais la ré- Di à l'expérience de tous ceux de nos | eolte à peu prés entiére de l'un des grands collègues qui pourraient y ajouter des | fournisseurs de Paris et des villes princi- "enseignements utiles. La réponse ne s'est ‘pales de l'Europe. d . Das fait attendre, et resque immédiate- | « Nous n'avons pas besoin de vous dire, ment M. Constant Charmeux, de Thomery, | Messieurs, la place qu'oceupe M. Constant ; iété | Charmeux parmi les cent cinquante pro- * une Commission spéciale, comment il | priétaires , d'importances diverses, qui | encore bien avant dans l'hiver. К | à ум 1 «Cest pour cela que ММ. Thil, Ferdinand | c'est que cette conservation des raisin amin et Buchetet partaient, le 21 janvier, forme une spécialité 1 | Pour le pays renommé du Chasselas, com- | реа exploitée et par cela Š | laquel] trois cette Commission, à | entourée de plus gx een e mysu Cle notre secrétaire général, M. Bou- раг ceux qui en . chard-Huzar d, ainsi que MM. Nallet, Da- | Fhorteittéae — chose toute emi i i avaient bien voulu зе trouve le commercant, à lus Weder "ошер l'autorité de leur concours. | raison derriére le spécialiste ; pig mpra eue n'était pas la première fois qu'il était lucrative attire la concurrence, et les € à notre Société d'examiner les | currents sont m "pone "wn de cette pratique horticole; di- | lors, tant que le ap Los mépris rses de nos expositions d'automne nous ' encore beaucoup Souler Ху. cialiste de renom, M. Constant Charmeux, nous ouvrir à deux battants les portes d'un т que la plupart de ses collégues ferment bien vite devant l'œil indiscret. « eh si done chacun de vous, Messieurs, désire maintenant conserver lui-même et pour tout l'hiver ces merveilleux raisins sur lesquels nous n'avons guére pu jusqu' à présent que jeter des о d'envie, qu'il veuille bien suivre un moment avec nous notre complaisant ye: cela en vaut la peine. « Comme organisation, rien de plus sim- ple. Pas de fruitier proprement dit, ou du moins construit exprés avec toutes les récautions d'usage; pas de sous-sol trop mide: pas de grenier trop froid; une chambre — celles que nous avons vues sont au premier étage ; — un petit poêle en un coin, pour les jours où la tempé- rature voudrait, dans la pièce, s'abaisser au-dessous de zéro; ni doubles portes, ni doubles fenêtres ; des volets ou quoi que ce soit pour obtenir ие condition des plus importantes ; ni lumière done, ni courant d'air, c'est essentiel puis une visite de partout Mae it s'intro- Чите la souris, consommateur conscie cieux mais terrible, et voilà le ие rouvé. e Alors deux sortes d’ agencements sont à faire, d'aprés le but qu'on se propose. Le cultivateur, en opérant sa cueillette, a. fait principalement deux lots: l'un de са тартуу qu'il conservera en laissant sécher la rafle, l'autre, — un choix parmi le hor. la fleur de la récolte, — "dont la rafle se gardera fraiche et les grains bien gonflé és; 1 remiers avee toute leur qualité, йр parfum et leur suere, mais en méme temps, et longue, avec les dedans, tous les charmes du dehors. ous suivons d'abord le premier lot, is raisins à rafle séche. Au centre de la les deux lignes. Pour relier ees poteaux, f | sos des traverses, depuis le bas jusqu'en haut, échelonnées à 60 centimètres l'une is l'autre, les premières non loin du sol; sur les traverses, soit de légéres planches séparées par des intervalles, et, par-dessus, une mince couche de fine paille de seigle bien séche, récoltée depuis un an au moins et qui durera des années; ou bien encore de la fougére; c'est la paille que M. C. Charmeux emploie de préférence ; tout cela constitue 4 ou 5 grands lits superposés, d'une longueur quelconque et d'une largeur de 1»20, séparés l'un de l'autre, nous l'avons dit, par un espace timétres. De chaque cóté de cet ,un autre tout semblable, ainsi que de 60 cen- aménage- des allées n d'une convenable LE permettant de circuler partout à l'ai Telle qu'elle est, l'habitation On introduit les hôtes; on les est prête. épose avec précaution sur la paille, écartés ou non, selon la place disponible, et nous devons ajouter que, sur notre ic an ses de voir des lits entiers où les grappes se touchaient l'une l'autre, M. Constant Charmeux nous a assuré qu'aueun inconvénient ne résultait de ce contact. En ce moment n'est pas encore nécessaire ; au t l'obscyrité contraire, elle serait nuisible, et, quand l'atmosphère ` n'est pas humide, pendant u temps, une quinzaine de jours jusqu’à се que les fruits soient bie n certain peut-être, n ressuy és et la rafle séche, portes et fenétres, 7 reste ouvert. On ferme alors; gr la récolte et enlever avec leurs ciseaux les grains qui tendraient à pourrir, cest une 'opération. La sans rien déranger, sans remuer les grap- , pes. Sans remuer les grappes, aisin pas ceci, Messieurs ` < raisin fané, » dirions-nous presque juger par les recommandations de M harmeux. Tels se les ráisins à rafle sèche; cari 2,000 kilogr. de Chasselas doré a été donné de voir en cet état, qu 1.500 de premie et 500 de les bas et excite le désir (1, oix provenant de l'espalier contre-espalier, de second choix © E aee conserveron nt peu prés qu ‘il nous i réjouit ) les uns | | | i 1 | 1 1 , слацае Пап Ға CAROLINÆ e ы = о = ud а. <4 к- aw ч "3 A А. ES >», x Los e Ж 4 de ЫМ Keel 1847-1848. TAPEINOTES CAROLINE wawa. Gesneriaceæ. ‚ CHARACT. GENER. — Calyx liber, inæqualis, | fertis oblongis oblongo-lanceolatisve acuminatis Š-partitus. Corolla infundibuliformi-subringens, | basi acutis crenato-serralis supra nitidis luride basi postiee gibba, tubo antice interdum grosse ventricoso , - contracto, limbi erecti, labio 2-inferiore 5-lobo. Stamina 4, didynama, udimentum ; «ntheræ cohærentes. Discus ostica en ;apsula ovata, | ntis 2-parieta- amellatis, Semina œ, oblonga. erba basi tuberoso. Folia opposita, peliolata, subdentala. Pedi- і . Ноок. in Bof. СНАВАСТ. SPECIF. — Suffruticosa, foliis соп- Еке giore, tubo inflato latis glabris, ovario hirsuto. Tapeinotes Carolina. Wawra, OEstr. Bot. Zeitschrift, 1862, p. 275, cum ic.; Bot. Ergebn. Reise Maxinil. p. 72, t. 9. А mammaTA Marr. = Tapeinotes bar- TAPIN bata DC. secund. HANSTEIN. ‚ Cette disgracieuse figure, dessinée KE un exemplaire original, n'a rien 6 commun avec la jolie physionomie chée, elle est garnie, depuis la base, de prêts pour la vente, les autres, les moins pressés, qui resteront encore des semaines dans leur paisible demeure. * Nous arrivons à l'autre salle, où nous attendent, dans toute leur beauté, № М orrompre; une seconde e : ейе placée en-dessous soutient ces ; CL aide les maintenir dans 1 ст inclinée. Au milieu de la pièce, € , , . hés, également pleins d ou 6 centimètres d'épaisseur, 3 chaque cylindre loup, : | ra Nous avons assez souvent, du reste, . : PII. ay nos diverses expositions, examine gente n av | 50 | constater ces ingénieux appareils pour qu'il soit inutile de les décrire davantage. Les grap- illi ongueur m avec sollicitude, tout contact, fraiches, veloutées et bp a veille. P enir ]us n iquide, tant Í 'est besoin 'évaporation les su qu appe қ notre Commission ; mais се nes à vous que nous aurons tels du i i so tiles, si une cu a , att раз constamment accompag grandes feuilles bullées trés-luisantes , vernissées, aux revers pourpres. Ces feuilles, trés-briévement pétiolées, por- tent à leurs aisselles, sur de courts pé- doneules, des fleurs blanches comme la neige, couvertes de poils tout blanes comme elles, et ces fleurs, qui se mon- trent à tous les étages, ont la forme de gentilles petites canettes d'une bizarre allure. ; Toute la plante, qui fleurit pendant 6-7 mois, ne s'éléve pas à plus de 20 à 25 centimètres de hauteur; elle ne pro- duit pas de tubercules, mais une sorte de souche qui se repose une partie de l'hiver, époque pendant laquelle elle est dénudée de son feuillage et de toute ap- parence de vie. Ce repos ne dure guère; on la rempote dés son réveil en un compost de vieux terreau et de sable, avec bon drainage. Plusieurs rempotages pendant l'année ne nuisent pas. Serre TAPEINOTES CAROLINÆ wawna. chaude en hiver ; pendant l'été, elle ira rejoindre toute la légion des autres Gesnériacées que nous tenons en serre froide, où elle prospérera et où elle ne demandera aueun soin particulier. On serait étonné sans doute si l'on voyait ee que peut être un Tapeinotes Carolinæ bien cultivé; son feuillage at- teint alors une 15° de centimètres de largeur et une 50° de centimètres de longueur, sans que, pour cela, la plante 5 hauteur; et des fleurs pendant la moitié de l'année, ressource précieuse pour la formation des bouquets. Nous sommes redevable du Tapei- notes Carolina, rapporté du Brésil par le Prinee Maximilien, à la Princesse Charlotte, qui nous le fit expressément adresser de Vienne, en oetobre 1862, par le Dr Wawra. үн. —— ass le fruit sur la treille. Rappeler ici les procédés employés pour la direction des Vignes de Thomery serait sortir de notre cadre; nous vous répéterons toutefois un double avis que nousa donné M. C. Char- meux sur l'effeuillage, d'une part, et sur le cisellement, de l'autre. « En effeuillant la Vigne, il est bon, comme en tout, de ne pas oublier le but qu'on veut atteindre; voulez-vous des Rai- une è rge manière. Voulez-vous plein dans le soleil; alors la peau de chaque grain résistera davantage et en D’après l'un ou cultivateurs de Thomery, de méme que cest généralement au premier système que donnent la préférence ceux de Conflans- Sainte-Honorine et de ses cnvirons, dont nous occupent, et ce n'est méme раз sans plaisir que nous avons entendu M. C. Char- meux avouer, avee une franchise à laquelle n'est pas obligée la concurrence, qua cette époque de l'année — à l'automne — les Raisins de Conflans jouissent sur le mar- ché d'une faveur plus grande que ceux de iouterons que cette faveur côté pour leurs conserves d'hiver, се 27 ne les empécherait pas au préparer en vue de la vente toujours assurée, mais bien moins luc uant au cisellement, indispe бег pour l'obtention de beaux Raisins, ill е core bien davantage pour leur conservati esoin d'automne, rative. nsable femme surtout, ез : diffieultés et de lenteur quon : 'a«trámité dë tenté de le croire, Enlever l'extrémité —a CAMELLIA JAP. Prineesse (of (Rovelli) 2 Semis ilalien, du ded 1849. CAMELLIA PRINCESSE CLOTILDE (overrun. Mis en vente par nos vieux amis, MM. Rovelli, de Pallanza, au lae Majeur, le Camellia Princesse Clotilde dérive du C. tricolor. Ses fleurs, presque pleines, sont le plus souvent imbriquées, par- faites; leurs pétales sont trés-fermes, blanes, barrés de larges rubans ponceau. C'est une belle acquisition. la grappe, c'est ce qui se fait le plus sou- vent; mais cela est bien loin de suffire; i faut que les lames allongées de ciseaux agissent partout où l'air a besoin de cir- ‚ par à le grain mal formé oceuperait une place inutile, aux extré- — mesure qu'il grossit, même lorsqu'il atteint son volume; tout ce qui gêne doit disparaitre : c'est une condition indispen- sable pour la bonne conservation. Dans toutes ces opérations de retranchement et de destruction auxquelles se livre Phor- üeulture , il faut un peu que le cœur sendureisse et que le jardinier sarme fortement de ce courage qui faiblit trop souvent devant les soupirs du propriétaire et les regards inquiets de la maitresse de maison, « Les soins à donner sur la treille même et ceux à continuer au fruitier ne suffiront pas encore; entre savoir préparer les Rai- SINS et savoir les conserver, il est un point Important — mieux que cela, indispen- sb — : savoir les cueillir. Les Raisins, à l'inverse d'autres fruits, n'ont guère plus à compter sur le fruitier pour obtenir une maturité plus complète; ils ont besoin de че entièrement sur place et de n'étre détachés qu'alors, pas plus tôt, pas plus lard; là est le point essentiel. Dans les annees ordinaires, la cueillette, à Thomery, кш. c ence en octobre, puis s'échelonne TP LI - D H uvant l'état du Raisin; mais rien n'est absolu 2010 à cet égard et la température de la сота une grande voix au chapitre. p que les grandes chaleurs de l'été ы ont obligé M. C. Charmeux à la ам псег déjà vers le 9 septembre; elle T néanmoins se prolonger jusquau vembre, époque des premières gelées; Mode d'effeuillage, il ne faut pas lou- le blier, peut contribuer à en avancer ou à en reculer le terme. « Voilà, Messieurs, les instructions que issi rtées de son , ` nées; si elairs que soient les préeeptes et si de main, се je пе sais quoi qu'on ne peut définir et qui fait que, tout en opérant tous les deux de la méme maniere, Tomé, plein de hardiesse et sur de lui-méme, prenti, hésitant et craintif, ose à peine se féliciter d'une réussite qu'il espérait plus tion des Raisins, et nous espérons qua ce moins quelque utilité. Quant à nous, en avons retiré de plus une cane pra i es de tique, et nous nous somm > ee de toutes les espéces 1 ‘né itiers construits ` fruits en général, les fruitier ré = les 5005-5015 merce, no | la vente déjà lucrative des beaux à гайе sèche, lesquels, mi ` at s'aequiérent, dés l'époqu vous le savez, ne e actuelle, quà un 46 MISCELLANÉES. prix déjà élevé, les Raisins à rafle verte, ces jolis Chasselas а aux сов duve- eux et bien four magnifiques Frankenthal, aussi ris qas en septembre, vont commencer sous peu à passer au prix de 5 et 6 fr. le demi-kilog., entre les mains de fournisseurs qui — Мз és-probablement' les revendront sans perte, jusqu'à ce que, vers la mi-avril et parfois plus tard encore, ce méme demi-kilog. se trouve réclamé, moyennant 20 fr., par le luxe ou | | | malgré les chaleurs exceptionnelles de l'été éfav par la vanité qui sait toujours bien payer ses jouissances. «C'est emballés dans de petites boîtes con- tenant chacune un n kilogramme et garnies intérieurement de papier blanc, que sont expédiés les Raisins, placés ауес précaution les uns auprès des autres légèrement serrés froid , ouate, et à mesure que la saison avance, des boites de un demi-kilog. seulement Eb pour se mettre davantage à a portée des bourse « Nous n'avons pas à parler ici des jardins de M. Constant Charmeux, ni de ses vignes chauffées que nous avons apercues dans tout l'éclat de leur ode et dont les nombreuses grappes, déjà fortement accu- T 1897. PAPIER FABRIQUE Il y a trois ou quatre ans, des Améri- cains ont établi, en Pensylvanie, une vaste bois pour la fabrication du papier(1). La substance ligneuse est traitée au moyen d'un alcali et, aprés chaque cuisson, on retire par évaporati on 85 pour 100 de l'aleali emplo AI llemagne, plus de trente ue emploient la pulpe de bois et il n’est pas un journal dont le papier ne contienne une plus ou moins grande quantité de cette matière. Le bambou est EE par les Chinois AD Une pios a Me usine de ce к existe, uis une dizaine d'années, en Belgi à Poix province de Luxembour ment 5 à 4000 | ilog. ajo être mélangée avec des matières plus En on nS y pour être ensuite employée à la e n du papier. er sées, orneront, dans trois mois d'ici, les tables et les étalages de luxe; il est temps de nous résumer, aprés ce long Rapport е vous nous pardonnerez peut-être d'avoir converti en étude à peu prés com ее қ — А En somme donc, Messieurs, nous nous за de] l'appel que nous а fait M. Con- armeux; nous félicitons lui- méme d'avoir pu, grâce à ses soins i | nuels, obtenir de si rema dernier et l'humidité non moins ble de ces derniers mois, et nous le re- mercions d'avoir généreusemgnt livré à notre investigation les détails de ces pro- cédés ingénieux ainsi que ces utiles еоп- seils, desquels, largement répandus par la notre Journal, mettront nos col- lègues a tous ceux qui cultivent les Rai- sins de table à même de prolonger long- с remerciments que nous avons tous adressés, en quittant Thomery, à notre habile et dévoué collègue. » BucHeTET. AVEC DIVERS VÉGÉTAUX. pour faire du papier commun. А la fin de 1865, le New-York Daily Tribune fut imprimé sur du papier de ‘bambou, fabri- qué à N ew-Jersey, par le procédé suivant : Le bois est soumis à une haute pression dans des chaudières à vapeur, où la sili est dissoute et les fibres désagrégées; il est ensuite bouilli en vase ouvert avec des a ed PM de déchets d'autres in- dus tri = риг ifié et blanchi à la ma- niére E | docteur Моне, de Victoria, sest occupé, à la requéte du secrétaire des colonies, de recherches sur les substances tale propres à faire du papier; vingt- uit qualités de papier ont été Е nées par lui sans aucune addition de chi fons. Onze d'entre elles, obtenues ап oyen d'éeorces, prineipalement t de SE calyptus, constituent de bon prr d'imprt merie ou d'emballage. (Cosmos). Off Lih. & pict. in Horto van Ho tteano j DEUTZIA CRENATA FLORE ALBO PLENO //2/ Houtte) a сапататауипа. 5 «ели» Gand. Kustique. 1850. DEUTZIA CRENATA FLORE ALBO PLENO, Saxifrageæ, CHARACT. GENER. кт SPECIF. vide supra, XVII, p. 149. Nous avons consigné dans les pages | Post-scriptum. Au moment de mettre 149, 150 et 151 le résumé de tout ce | sous presse nous recevons l'Anzeiger de que nous savions du Deutzia crenata | Thalacker: | et de ses variétés; aujourd'hui, à eette| Et disons done aussi candidissima série d'arbustes si décoratifs, nous joi- | puisqu'on qualifie ainsi, avec juste rai- gnons la présente nouvelle venue, à | son, une plante que Гоп dit être tout fleurs bien doubles et exclusivement | à fait identique à la nôtre que déjà blanches. Nous la devons aux semis | nous avons offerte et vendue l'an der- persévérants de l'un de nos chefs, M. Fr. | nier sous le premier de ces noms, tout Desbois, auquel notre Etablissementétait | modeste, et qui avait été gagnée par déjà redevable de la plupart de ces | notre chef M. Francois Desbois (Prix Weigelia dont les jardins se sont empa- | е” 150-151, page 245) qui n'en est раз rés avec empressement, et qui justifient | à ses premiers succès en ce genre. Bou- si bien leur puissant apport de beaux | tons et fleurs épanouies, tout est de la feuillages unis à une si grande profusion | blancheur de la neige, sans addition efleurs. Nous renvoyons le lecteur aux | aucune -de ces revers rouges que pré- pages ci-dessus désignées pour les soins | sente la variété qui a déjà paru dans la de eulture, ete. L. VH. Flore (XVII, 149-151). L. VH. О... = t 1898. OEILLETS. — TUTEURAGE, ATTACHES. Simple histoire, simple comme bonjour: | tuteur. J'ai remarqué cette я d procé- — êu lieu de liens, un simple anneau dis- | der en visitant les jardins d'Erfurt. Joint dont les deux bouts sont légèrement J.J. Pressés, insérés dans la pellicule d'un 1899. BRIEF-POST. GENT IN BELGIEN. — GENT BEI NYMEGEN IN GELDERLAND (HOLLAND). , Unsere werthen Kunden ersuche, auf | ren, nach Gent einem er and) ihre Briefe an uns, ausser Gent noch Bel- | bei Nymegen 1 Gelderland ( ene (im zu setzen, da es sonst vorkommen | gehen, was eine Verzögerung von ES dass Briefe, welche die holländische | Tagen zur Folge haben kann. renze streifen oder durch Zufall passi- T 1900. VIOLETTE MARIE-LOUISE. : D'un bien grand mérite! — Odorante | sant; ses pédoneules ge -— гам ей Comme pas une, abondante à l'excès, | des, et se prêtent tout à =н i rande, très-grande, très-double, brillante | tion de bouquets qui : De Pur à trés-distinete de coloris : mi-partie blane | chés, très-distingués, étant d'une phy le Centre, mi-partie bleu lavande vers | nomie toute nouvelle. Mérieur, Son feuillage est beau, lui- MISCELLANÉES. T hes LILIUM TIGRINUM LENDENS (Max Гасвт- ES Dans notre XVIIe volume, tige, largeur, épaisseur, vi- hors ligne que l'Établisse- ment Van Houtte vient de ettre en vente et don RE le grand lilio- hile. Cette année, nous en vons fait. dessiner une tige leur dont nous montrons ei-contre le sommet. L'env oi ue nous en avons fait à Pun des Meetings de la Société d'hortieulture de Londres, y a produit sensation, et il y avait de quoi! L. VH. t 1902. CARILLON. Extrait d'un ordre : « Envoyez-moi six beaux ognons Camellias © trois Caladium Dicis! » Pour copie conforme : 1. үн. ) D Es 3 = > ©: = =. Fe "e 5 721. Sen = ©, г. 8 © “©, 9 S = Ki қ “- S Ki => , £ (Gb Үз ar, „эш; PO an ў; 3 4. wa . өзе Эе мя tifex А Án r SPIRÆA PALMATA /ZAmunb ф Japon. Rustigue. 1851. SPIRÆA PALMATA vuan Rosaceæ. serratis, floribus eymoso-umbellatis, albis v. ubris, sepalis parvis reflexis obtusis, petalis orbiulatis, stylis brevibus recurvis, carpellis 45 pilosis ‚ CHARACT. GENER. — Vide supra, vol. II, janv. 1846, pl. 2. OHARACT. SPECIF. — $. glaberrima, ramis get Ec palmatim | 5-7-lobis, lobis ovato- саа fadt Fl J 212 ceolatis acuminatis argute duplicato- i spires palmata 10025 Tr сарту P ы. а s DC. Prodr., v. 2, p. 544. — Hoox. Bol. Мод. e validis superne glandulosis v. minute fo- < їз, stipulis dimidiato-lanceolatis glanduloso- | 5726. Espéce trés-rustique, montrant des panaches rouges à l'instar des panaches blanes qui décorent le Spiræa japonica € Ce Spiræa l'emporte sur toutes les espèces herbacées du genre intro- (шев jusqu'ici, > nous dit M. Hooker, «et c'est l'une des plantes vivaces les | (Hoteia); tiges et pétioles rouges. plus méritantes parmi celles importées | Introduite l'an dernier du Japon, et dns les jardins. » Tel est le passe-| par Von Siebold, et par Rob’ Fortune. port que lui délivre le rédacteur du | Multiplication par la division du pied. Botanical Magazine, habituellement so- к bre d'éloges, comme on зай. TA + 1903. LES COLEUS. SIGNALEMENT DE QUELQUES VARIÉTÉS. — #" APERÇU: E B. Nous ferons connaitre ultérieu- | brure marginale mi-verte, mi-marron ; ment nos appréciati "utili _ | trés-beau. : ions sur l'utilité res- | três- - pctive des Coleus, sur leur degré de 4. Batemani, un peu urs nie E pour le plein air, les variétés à | Hero, feuillage moins large € Minen: ete crénelé. dee | 5. Bausei, de grand effet, Qe gero са loris, mais moins fonce; ge tenant, pour la nuance centrale, | pour le co'oris, E : се :. | forme de bordure; feuillage plan ipe et Perfection, se Var ие. . Beaut ж couleu inférieure : е; large marge verte marbrée E très-beau. қ lent; inconstants, Verts, „<. aromaticus, son feuillage vert a pré- Perilla. c» Wood, 4 jet üsément la senteur de la солей (8. 67. Beauty of = s sa a i Б, d 5. Baroness Rothschild > coloris ayant | caractérise» pepe ý areille à celle du ss apport avec celui du Queen Victoria, recouvert лче п 315 marbré, vers le centre du limbe, de Princess Lows ^ SET ды fondé que Marron сгатоіѕі, marbrure qui se réper- 7. Bentley! , ivan bien di sinl à se te jusqu'à la age ‘inférieure qui en est celui du gne is ^u feuillage situé зар bar iolée; feuillage plus allongé quoi- caractériser ; д A elit di ед arge, plus acuminé; magnifique mar- | € с вые toujours verte о Ca сие" eu (йе plante nous fait l'effet d'une vieille Pme; elle nous parait identique à l'ancien | forme. Mie tham IM crassifolius, Bexru., Wall. (que Ben-| 9, plumei, vert clair; бы. ГРОМ depuis au genre Coleus, C. aroma" |, i = Re © = Ф. “2 ° = e = = © EEN = Ф — =. ы” s 5 Ф = i du Jage genre de celui d enu. de couleur uni- marron roux au xvn. 50 MISCELLANÉES. 10. E e noirâtre, large marge 1f: С eebe, Ge marron, vert и plan, velours a ue bords Clarkei, parait sortir du т mais à feuillage plus grand, fortement crénelé, tout ondulé et tout marbré p vert. 15. Crimson Бү vert, large tache ЖЕШ. promet Duke of Edinburgh, trés-beau feuil- ed plan bordé vert, coloris scintillant se 18. Elector et Murrayi sont des cou- sins germains. 20. Empress, genre Spangle, feuillage plus plan, coloris moins foncé. 21. Excellent, feuille de chêne, vert veiné bordé pensée noire. 22. Gaiety, pie beau vert, centre du s" virant au n wworm, erection! admirable ашо, grand, plan, magnifique créne- lure, belle couleur plus foncée que celle du Verschaffelti. 7. Grandeur, non caraetérisé, feuil- lage vert; les feuilles naissantes paraissent virer vers Mode ; - Hendersoni, trés-constant, coloris plus de que celui du Saundersi, virant Махацаре vers le marron foncé, belle marge v 30. Her Ma ajesty, extra! il a de aa rapports avec Duke о beau, Mastersi, beaucou Vie 55. a Toh que le Ve echa up “fortement crénelé et mar- 37. Mods coloris du refulgens, large- é vert 58. Murrayi, qud dériver du nigri- cans, tout comme arkei avec lequel il a des rapports, sauf que son feuillage est plus plan, aic crénelé et que le noir marbré y ne. Murrayi et Elector, Elector et Murrayi sont des cousins germains, plus foncés que Chancellor ; bords verts. . nigricans, presque noir, feuillage plan. 41. Perfection et Beauty, Beauty et Perfection se valent; inconstants, verts, tachetés nuance Perilla. 6. Prince Arthur, non caractérisé, feuillage d'un vert clair jaunâtre, ponctué violet sombre. 47. Prince Léopold, nuance plus cuivrée que celle du Queen he , bords verts. 48. Prince of Wales, feuillage plan, UT crénelé, rement bordé vert; coloris du E mais plus clair, nuance feu و‎ plus vive; le plus beau dans son gen 42. ылғалын Beatrice , impossibla de le juger : nous avons, sous ce nom, un feuil- age vert non caractérisé aux revers d'un beau pourpre en a la forme, la beauté du port, mais son coloris, dix fois plus clair, est d'une autre nuance ама un peu vers la couleur сап- nelle je 45. "Prise ncess Louisa, nuance plus déci- dée que celle di Prince Léopold, très-jolie marge marbrée de vert, très-définie, belle me © B = hh. ` Princess Royal, coloris plus vif que celui du Queen Victoria, extra-beau. rovost, genre Gaich y, la marge verte tiis large 50. Queen Victoria, son coloris se um che de celui du Prince of Wales; so feuillage trés-plan, crénelé, est bordé marbré de vert. 51. Reevesi, e e i vert marbré sur les bords, tout le de la couleur du Moorei, nuancé de. no 52. refulgens, Greter foncée; magui- fique, large feuillage plan de toute beauté; véritable perfection. ` 94. Ru dus , vient aprés Batemani comme couleur foncée; trés-constant, peu crénelé. 68. Saisoni, vert à large tache centrale chocolat, parfois panaché blanc et rose. 56. Saundersi, feuillage aussi foncé que celui du refulgens, — trés- régulièrement marginé de у vif. 4 et 57. Scotti, vert orné un ou viol = ACTINIOPTERIS RADIATA Zant 4 Jndes 4 Чегге femperee. ACTIMOPTENIS RADIATA o ЕШеез. CHARACT. GENER. et SPECIF. Link. Fil. ACROSTICHUM picHOTOMUM Forsk., Flor. ægyp. sp. Ber., 80. . Arab. ACROPTERIS He die Gen. Fil. 77. ASPLENIUM RADIATUM SW BLECHNUM RADIATUM м Pre t. Pter. penu RADIATUM Koenig, Ms. Ртев1; napiaTA Metten, Fi. e? 54. TRALE Vahl., Symb. à Actiniopteris radiata Moore, Index filicum, 6. On dirait un Palmier lilliputien aux | peltata qu'il éclipse en originalité. Il dé- frondes sveltes ne s'élevant qu'à quel- | rive de l'Inde orientale, de Ceylan, ete., ques pouces de longueur et équidistantes | et se cultive parfaitement en serre tem- entre elles. Aueune Fougère | ne. lui DP prés du verre. ressemble, si ce n'est le | L. VH. 4 presque noir Пеле eei dessiné | 64. Verschaffelti, l'un des plus beaux sur toutes les feuilles; trés-const de la collection, quand il vient, comme 58. Spangle, grand feuillage бада; notre beau specimen, d'un rouge feu tout très-crénelé, de а оша du Moorei, large- glacé de velours marron noir; crénelé, ment bordé de v rarement accidenté de vert sur la marge. 60. Telfordi CH -e presque | 66. Wilsoni, plus foncé que Mastersi, jaune, macule rousse à crénelures trés-aigués ornementées de 62. Van Houttei, noir "partit, pen vert; cette bordure très-vivante tranche constant, marginé nettement de vert vif. | sur le beau eeu de tout le limbe. L. VH. 65. Veitchi, feuillage dà Van Houttei, (Plus tard la suit mais plus grand. i 1904. ETIQUETTES DE JARDINS. Prenez des fiches blanches en os d'un | là-dessus, et vous avez un w ri ie jeu de boston; percez-les avec une petite | pre, élégant m se z é Ville, puis traversez-les d'un petit fil de DR des sa laiton pour les suspendre. Ja = ensuite avec une encre composée меб réussi ; fil d comme suit : laiton, J 'emploi dim i e pic t plu 10 са é nier est inaltéra ee n 9 u distillée, bobine qui coûte quelques cen times, 1 il y a de quoi attacher des centaines ез он Chine pou Be г noircir le mélange et Auzé fréres, de Poi- somme ar brillant De leur cóté, MM. Auzé d й- ущ Eo pour le rendre tiers, en fabriquent en terre evite Sir st dans une bouteille bien bou- | lée. Il s uffit de ta p | 10 cen- chée; remuez et employez par la pluie ou | l'on y veut mettre ees gari L. VH. le vent, le vent ou la pluie : rien ne mord | times pièce, vous $ + 1905. CARILLON, Une plante de 15,000 pieds de hauteur ! ees itu * Que votre Arundinaria falcata vienne| — ES son а très-haut , puissamment haut, je ne le marine! conteste раз; mais ....... 15,000 pieds! > sa station supra- L. VH. 52 MISCELLANÉES. + 1906. Vous souvientil de ce joli diminutif d'Amaryllis, mignon dans toute la force du terme, svelte d'allures, brillant de co- loris : en un mot d’une exquise petite E ee нен que la serre fr ncore ? "Tel est le portrait em Ph ycella corusca figuré à la page 419 1 IVe volume de la cu exaet "quant т 1907. SH Les acquéreurs UNE AMARYLLIDÉE DU CHILI. aux dimensions, mais laissant à désirer sous le rapport du coloris, étincelant comme pas une palette de peintre ne sau- rait le rendre. Donnez-vous un Phycella corusca, le rix ne gåte rien : 5 fr., sous le nom d ree е corusca (pro hortulanis). ү: DICHORISANDRA MOSAICA. > s. << PENES >” ne. A т 77 > а авады PTE № ом S x SS № ree Spy 2А * fr pp, E rr p EU "me #7" de cette plante зе | Nous пе pouvons que leur conseiller de laign plaignent de ce qu’elle est RE ris aux | n'être à son égard ni sobre de charbon, ni soins qu'ils lui donnent : « peine une feuille a-t-elle paru » n « que déjà la précédente se rouille, se frippe, ete. » sobre d'eau. Et sous cloche? Г 1908. LA CHÈVRE DE NUBIE. Suivant les observations de M. Bouteille, tation des Alpes, Chèvre de Nubie aurait :1° un avantage sur la Chèvre indigène en ce que son lait n'au- "5 cette dernié 're; 2° que cette Chévre nu- ue ` Mq. `. nne est trés-prolifique ; qu'elle а des Se dee nous pourrions signaler rait as eg ото pas le goùt caractéristique, désagréable | chaine livraison, si l'un avait l’obligeance de nous en A: l'intérét des amateurs. : che- қ portées de trois et méme de quatre seerétaire-général de la Société d'aeclima- | vre et ue la peau de ces chevreaux dius notre pro- de nos lecteurs dans vH. ау lith & n 1 1 р“ BEGONIA ROS ÆFLORA Jl Hook . D D Serre temp eret. , его. 9 T 1855. BEGONIA ROSÆFLORA nook. Begoniaceæ. SH GENER. — Vide supra, vol. Ш, ‚ СНАКАСТ. SPECIF. — (5 Huszia) acaulis, fo- liis omnibus radicalibus crasse petiolatis orbicu- lari-reniformibus basi profunde 2 avis, marginibus recurvis ] bulatis dentatis ciliolati rubro-marginatis, supra nervi lanti res- eonnaissions, Son feuillage réniforme, profondément nervuré, bullé; ses pé- tioles rouges comme ses pédoncules et ses fleurs d'un rose foncé, grandes , ra- massées : tout lui donne un eachet bien tranché; et ce qui n'amoindrit pas son villosis rubris sub-5-floris, bracteis bracteolisque late oblongis obtusis, floribus amplis breviuscule placentis tylis 5 2-fur- mérite, c'est l'extréme altitude où l'im- portateur l'a trouvée : une douzaine de mille pieds, c’est-à-dire dans les ré- gions froides des Andes. Le Begonia Veitchi, son alter ego, produit des fleurs d'un rouge de Saturne inimitable au pinceau. L. VH. T 1909. GREFFE DE LA VIGNE. 1 Ж uet Vote sur un procédé particulier pour greffer Av [a vigne par approche des parties herbacées, par M. Dossy, ocat-Général à la Cour d'Appel de Gand Àu mois de juin, on choisit pour greffe eg pousse vigoureuse de l'année, d'une ongueur de 4 à 5 décimètres, à laquelle fi А H . H , Eom aux principes enseignés par udi, on réunit les deux pousses her- і : : а ni 1 moyen d'un fil de caoutchouc d'un l Тізеге "épaisseur. а vie du scion est d'abord entretenue au dépens de l'eau, mais il ne tarde pas à se souder au sujet. ; Comme il importe beaucoup que la sève ne soit pas détournée du scion, on con- serve intaets provisoirement tous les Jets latéraux du sujet. a réunion des deux parties s'opère e à qui jours ' s que les finit le plus souvent par 56 rompre ssentiel d'effeuiller les ions jusqu'à une ou tout au plus deux en empécher la trop forte rait manquer l'opération. бен, (OEuv. ровіћ.) 54 MISCELLANÉES. + 1910. LES YEUX D'UNE TARENTULE. le fac-simile Le Hardwicke’s то Е des à venin de cette horrible béte, rési- 'un rax. сова c vue au microscope. L téte de tarentule (Ly- | dent dans son céphalotho XVII vol. de Ја FLORE, pages 26 et Le wen dans ses Lectures on i 61, contient une araignée de ce pun "ep 5 B reb Animals opine que les T 1911. Nous venons d'introduire de nouveaux exemplaires du Sarracenia Drummondi figuré dans notre X* vol. p. 25 re des contrées quasi-tropicales des Etats-Unis, cette belle espèce prospère qui lui convient le m On peut amener toas les Sarracenias à . un haut degré de vigueur, en leur admi- nistrant, 1 > Б © B c ш E e E —- > ғ Із: ue о e A 5 Б un e plonge les pots dans la tannée, prés du v trage d'une bâche où se déploieront, de tout leur luxe, leurs urnes si belles, d'un effet si bizarrement ornemental. Tout le secret de la culture de ces plantes réside dans l'art de les ramene ensuite au repos, au lieu de stimuler la production, à contre-saison, de pousses LE sind CENIA DRUMMONDI. étiolées qu'elles n'émettront que parce qu'elles y seront contraintes. resque toutes les plantes sont dans cc cas-là : elles ne périssent que parce qu'on leur refuse tout repos. Tous les jours mm se plaint de nos Dionæas : « nous ne ите les conserver > dit-on ; < ils meurent: > — Mais, non! ils ne meurent pas; es petites plantes se mettent à dormir. : gardez leur base et vous verrez qu'elle es à l'état d'engourdissement. — eg 8 rez-vous plus d'asperges lan pro бы rce que vos plantations auront 1a1 choir leur verdure? - e que « de la dépouille de nos s boi L'automne aura jonché la tete, » en conclurez-vous qu'à la € emipagne Б? chaine, le sanglier sera privé de вїап a О acheteurs qui faites payer votre ue au ne vous monté la chrysalide append mur, que lorsque son papillon e « dépouillé de toute enveloppe "Ee eds Par un sublime effort vole vers Zeg RHOD. // у.) Princess of Wales {Maurice Fount 14} 5 Sernis Anglars. изүне Note planche est tout à fait man- U quant au coloris. On le reeon- _ mitra lors de la floraison de Гіпеот- prable Princess of Wales dont nous avons aequis un large stock pour еп 1 854— | 855. IODODENDRON aysa) PRINCESS OF WALES (MAURICE YOUNG) doter les jardins du continent. Sés magnifiques bouquets blanc crème, bordés nettement de riche violet, e en font une variété hors ligne, entiérement rustique. ы | moche ami Lu Carriére écrit ce qui suit dans son Leading article de la p horticol le : - «Dire qu'il n'y a pas et qu'il ne peut y ШЕ de Le К en quoi que ce une de vérités 51 évidentes, " semble inutile de le rappeler. Néan- sont souvent ces sortes de trop ч), а nous croyons qu'il est "jw bon de eler. Toutefois, on ci n que "épaisseur ur que , par conséquent, оса. Souvent aussi, e persistantes, on passe à © caduques, et vice versa. Il en est de : ll nous a été fourni par le Sorbus Hort.; Aria pinnatifida, Nob. пан ous A Pec presque s individus à h feuilles composées, nt semblables au Sorbier des oi- t 1912. PLANTES POLYMORPHES. — RÉVELATIONS. seaux (Sorbus Aucuparia), et d'autres à feuilles plus ou moins découpées ой ou même à peu près entières comme celles du Cratæ- un уі il faut ieri lors méme quil renverse les théories. Ce qu'il y a c'est de changer de aps et au - de soumettre les faits aux théories, ce celles-ci qui dental avec xii. » р a terre et, ue del’ — ar ces nœux que je ne pu Jr r Ti deren m l'un à l'autre — Ver const — entr Ét м aussi nous “avons мб petite <= mâmes des graines d'un Gen simplement — et trés-dróles... | 05 5 Double Gau сіс., comme on e pra Cuire-lez z-Lyon. Mais alors, mystification eut geng? em Pit vole poe iis Zeta Ah! quelle horreu el {chan Comme les miroirs s son ETT LE Horticulteur іе пеген om , p.92), ren- ouveautés, con- « У Chou de Schang-Ton. Autre Chou chi- us dos a réuni les suffrages de plu ait I ч Met grand éloge. M. B., dans nmunieation à la Société аав. h doit ont supporté victorieusement chez ditil, les zime rs de l'hiver « 8 à "degrés de d au-dessous de zéro, et belle жаі же а pas été altérée ! » devait en être ainsi, ear autrement ils tori pporté vi emen 0 de froid, surtout au-dessous de zéro, comme a bien soin de l'ajouter cet ile rta dans sa note insérée au etin Société d'acelimatation , 737; } d Ken pu croire, en effet, | TP s 10 degrés de froid au- es, qui ne portent pas de signa- une lieue la touche du ré- 52 nations qui se servent tre Fahrenheit n'éprouvent dem nui de ees а au-dessus, ni de ces es m» si gentille par son feuillage et | les insérons ici pour n'en кы! qae | lies fleurs; mais la place pour y caser | botanistes. urs. S. E. le maréchal Vaillant T 1913. ONCIDIUM LIMMINGHEI Ер. Morr. 15 de notre XVII* volume | les vg dont nous a gratifié le D" Rei- t 1914. LE THERMOMÉTRE DE FAHRENHEIT. Nous n'avons pas souvent à amp p Б E. nfin, Fahr send en "départ de di echte ascendante Ж re si ce genet sions жн rades qui équivalent à Allemagne, patrie de are où Se r аа lument à s'inquiéter que du chiffre 0 des ce qui est au-dessous, c'est du Thermo métre PEE m le seul qui soit en usage en Angl eter : Quoiqu'il en soit, et malgré eier? on n'implan Séien e mal. Rhin, terre classique du peu ded Clos 5 x SE (1) Faunewmerr, Gabriel-Denis, пе а Ms en 1686. EN e aA FORI. t а b 5 v р Me © ze ; AZALEA INDICA Leonte Yan Houtte (Тап Houtte.) ә. ? Jens Gand «бете Бон 1856-1857. : AZALEA INDICA. LÉONIE VAN HOUTTE (Vax Ногтте). Au printemps dernier, nous avons montré nos Azalea de semis à l'Exposi- tion de Bruxelles et nous sommes ren- tré médaillé dans notre Flandre. Nous avons fait reproduire trois de nos gains que nous allons successivement sou- mettre aux yeux de nos lecteurs qui apprécieront, en présence des plantes fleuries, la ponctuelle cn de nos dessins et de nos peintu La variété ici герен il est magni- fique de forme, d'une bonne texture, d'un trés-beau blane accidenté de rares stries roses; une impériale d'un soufre pur relève encore son frais coloris. L. VH. Т 1915. VOLS DE BOUTURES DE PLANTES AUX EXPOSITIONS. MM. James Carter et C° ay үшін dans le Gardeners’ Croke à une for à qui les mettrait sur la trace de u vol d'u une bouture précieuse, . eommis à leur préjudice pendant une ré- cente exposition , MM. F. et A. Smith pren- t texte de ce cri d'appel PE engager administrateurs des expositions en ` général, à faire mieux surveiller les pro- duits que Бон. бай confie à leur solli- citude; en effet, les objets exposés repré- е (1869), époque de la mise en vente e Jetty Lacy dont ils ne possédaient et don ils n'avaient livré que de jeunes de leur Jetty Lais les aide : la source d'où cet exposant а ХҮШ. exemplaire découvrir tiré son anri exemplaire, qui, d'a aprés eux, па pu er à cette taille qu'au bout de trois années au moins 48 culture ; te embarrassante interrogation, faite trés-publiquement, puisqu'elle est con- signée dans le principal i organe Aë horti- culteurs anglais, le Gardeners’ Chronicle, doi ше ° désignent js local (Brighton) une ° fücheuse coincidence pour le үө, une bouture de ce méme Jetty Lacy leur aurait été soustraite, il y a pré- cisément trois ans. C'est tout comme si nous demandions à ce M. F. Gloede, d'Allemagne K поп раз f, | d'Angleterre), comment il se t que le Fraisier Fragaria lucida ait pu qum été vendu par lui un an au moins ayant que Louis Van Houtte, de Gendbrugge-lez- Gand, en ait vendu lui-méme un seul pied ! — La Fıome (XIII, 5 et 9) en a dit assez long à ce sujet; — cest с sint expérimentateur ; nous pourrions die eneore Madame Elise Vil- morin, victime aussi de l'un de ces auda- 8 MISCELLANÉES. cieux qui, du reste, tout sans pour | balai! Ce Spiræa prunifolia flore ues punité dans l'intérét- d — tout dire, ce Fragaria mptent sur l'im- | était cependant une propriété dont nou nfin, pour | nous étions rendu acquéreur; l'édition se а lucida faisait partie composait de deux plantes que nous avions de cette poignée de graines californiennes, | payées, bel et bien, huit mille florins à dont les graines du Wellingtonia gigantea | feu Von Siebold, lesquels 8,000 florins faisaient la base, et que nous avions payées | correspondent à 16 ,951 franes, 21 centimes, douze Rivière ! est-ce qu'une bouture? — Voyon t qu celles qui abondaient sur le pied du Spi- pliquer, comme flétrissure, à n temps, un dad buisson id JES s est revenu plum oh! ura pl m sans plus de branches latérales que n'en Lane un manche à | mille francs à M. Boursier de la | argent de France! Que ‘dire de toutes c ces misères? EA ces miséra- bles qui se servent du e comme d'un paravent, ces vers SEH Non, trer ne lier des кіс а реше es E et A er .. Jamal L. VH: Т 1916. BIBLIOGRAPHIE. ’Art de greffer, L'on ne saurait trop faire ressortir l'uti- lité des traités spéciaux comme Ree? Él pow. exposer à à fond un art ou un e que les ouvrages encyclopé- moins d'étre autant de livres t u г un eu de tout sans rien approfondir, ainsi les écrits dont le cadre n'embrasse qu'un seul objet, sont a у а ceux qui (1) Dans une nm collective comme la Fro qu'il y éerit. Si Ha nous aurions quelques réserves à faire au sujet du role qui est iei assigné aux En- CYCLOPÉDIES, San a ans remonte l'Encyclopédie du siè ; que d'euvres colossales et justement célèbres ont ant i vu le jou ces soixante dernières années, et ont porté la lumiere sur tous les points du globe le Conversations-Lexicon, alle and, tiré en onze éditions successives à x mplaires, le Chamber. lopedia, 45 -49, l'Ency- je rdner, 152 vol. in-80, ces deux der- RCY- Be, ncyclopédie nouvelle, restée malheureusement Ink ME; le Dictionnaire de la sation, 20 уч i on, . in-4», neyel e aura 24 vol. in-4, le Grand dictionnaire universel du XIXe sièele de P. Larousse, actuellement en voie de publication, un vrai ent отті re scibili, к langues, voire méi е inois irages se sont n ves D Ger millions dps, cei res ! N'est-ce à es de Ге РАВ M. Сн. Влітет. désirent bien connaitre et non effleurer un sujet queleonque. . Baltet dont le nom est désormais inséparable de l'arborieulture et de la po- si bien méritée comme publie у vient encore de doter l'horticulture d'un liv pépiniériste, ni le chose concerne exclusivement ; s'adresse sent aux multiplicateurs de végétaux es de livre dont nous saluons le titre et jetons un coup Фей sur son con- tenu. Pas de préface ni d'introduction. — Cest s besoin de s'an- au coin de l'utilité pratique, écrites en un style simple et attrayant comme c'est aussi le cas dans l'ouvrage dont nous allons par- ler, n'en sont-elles pas une assez éloquente préface ? Après avoir donné la définition des mots gra eur, greffage, greffon, greffe, sujet, ete., us entretient du but du greffage, qui n jest pas seulement k multiplier les végé- . Cest par cette opération que Farbo- e moderne est ar rrivée à raccom- | moder, à rapiécer, à restaurer, à équilibrer, e 8, “” Zeng dei чаце Ан des connaissances. | p consolider, voire même à former les arbres fruitiers; les boutons à fruits n'y échappent PLECTOPOMA EUCODONIOIDES /rrumphans (Van Ночь) 5 , , ; р Jenus бат Jerre femperee л = 1858-1859. PLECTOPONA EUCODONIOIDES TRIUMPHANS (vax постто. Gesneriacem. CHARACT. GENER. ET SPECIF. — Vide Ғгове, ХҮП, 67. B i Nous avons déjà montré cette jolie vignette à la 295 de notre Prix-Cou- rant n° 151; pourquoi ne la reproduirions-nous раз ici, en face de son modèle peint +. nature? Ce enant à une , est de la Son port est trapu; ses majestueuses corolles, si larges, sont du plus beau à l'intérieur cheture amarante surmon- citron. C'est une plante extrémement florifère et hors ligne. L. VH. pas. Avec toutes les applications qu'on en et agréable qui développe J] passion cultivateur.» L'auteur nie l'influence directe faits suivants ne viennent-ils pas prouver peut en exister? Cest une simple nous avons sous les u serres à multiplication de l'Établissement de M. Van Houtte, des greffes d'Abutilon тооно ча ont transmis leurs belles mar ech я sujet apparten а une es- pèce différ Contrairetient. À ce qui arrive d'ordi- a, dit franes-de-pied, et il cite à l'appui de 50 dire le sara greffé sur Aubépine. lows avons fait la méme constatation pour la Pavia californica, greffé sur Marronnier d'Inde. Un point bien intéressant et sur lequel la science n'est pas encore parvenue А éta- blir des lois, c'est l'affinité spécifique. C'est la Pays et l'expérience qui ont encore à dire ісі, et personne, mieux que détour de l'Art. de greffer, ne pouvait fournir à ce sujet des documents précieux, 60 fruits d'une longue et continuelle- expé- | vu rience. Toutefois nous ne sommes pas de l'avis ih nt de M. Van Houtte et qui sont obte- nues par g e de rameaux dial sur inn sujets de Cerisier franc, nous font roire le contraire. Nous avons vu aussi, a г-сі par-là, reprendre des écussons de pr sur ов, Den ët: еп- соге mbreux et eurieux exemple de аран еп fait d'affi nité que cite l'auteur, ear? du Poirier qui aree trés- bien, pendant une année ou deux, su Pommier, ана que celui-ci eg de se souder à celui-là. Nous croyons nous rappe- ler que M. Laujoulet, professeur à Toulouse, a obtenu de bons гёз iltats par le greffage du e voie et, ‘pétons, tous les progrès ісі doi- m émaner de la pratique, le flambeau de la science physiologique ne nous кы guére sur се rain. une vigueur Le grande que franches 4 pied, et pé- ч vies a етан aprés ce laps s? Г е condamne les mélanges de sortes г ^H RORIS ЫҚЫ ROS GEN DOM IERI имин ANM м m FEAT PRENONS ЖЖ! | AR! жи: E ж һ An Lj] ar D IIT. неве E С = SERRE Fig. 1. différentes sur le même su nous partageons son avis; mais il es mme dans certaines gebueren MISCELLANÉES. ой Ee variétés, étagées d'une manière rationne duisent bon effet. Il ridicu- lise les des Roses vertes, et autres mystifications ; il a cent fois raison. Il démontre que cer- taines idées du moyen-áge ont survécu aux lumières des temps modernes. Triste vérité, , eulteur censé nt lui avons i monte résultat. Seraitil convaincu aujour- d'hui ? Nous trouvons maints fermiers en Flan- dre qui croient qu'en inoculant une graine de Navet dans une Betterave, ils obtiennent, entre ces deux plantes, une hybride dont jusqu'ici ils se aswara toujours à faire voir le père et la mère. Le Navet blanc plat à feuilles entières serait un autre métis obtenu › mais ici avec linter- ғ e = =. 5 Б с. ° SEH ® с — š = z. e (a: bed 5% оз Pa © un un с >> [<] eg a 5 о toutes ces petites gm on voit que Pau- teur s'es e bref, à ne rien dire ro-greffe, petit АЯ Pes se rapprochant et s'écartant au moyen d'une vis. Le métro- "ilis Fig. 2 jet. En principe, | greffe doit étre de la plus grande utilité ad а pproches, ans les greffages de récision, 5 р aux fabri- placages, ete. Nous le signalons „dg oi Lo DT u —654 A K "< 2 2 PLECTOPOMA NÆGELIOIDES SUAVE RosEuM (Z.V//) 2, Hy br: Etabl. VH. { 7 11 ) Serre temp егес 1860-1861. PLECTOPOMA NÆGELIOIDES SUAVE-ROSEUM (vax постто), Gesneriaceæ. CHARACT. GENER. et SPECIF. — Vide Frons, Les Plectopoma corallinum, aureo- lilacinum , candidum , bicolor et scin- lillans ornent les pages 67, 69, 71, 75 et 75 de notre XVII volume. Voici venir la dernière de cette série de Ges- nériacées formant des pyramides hautes de moins de deux pieds de hauteur dans les plantes adultes, qui se garnissent de grandes corolles étagées régulièrement XVII, 67, depuis la base jusqu'au sommet; Pon ci se succèdent pendant des mois, sans jamais lasser l'œil qui vient se reposer sur ce bel ensemble. Le superbe feuil- lage si diversement coloré et velouté que portent ces plantes , alterne avec leurs fleurs et en rehausse l'éclat Comme la plupart des autres Gesné- riacées, les Plectopoma sont en repos cants d'outils et aux p Il est dà à M. le vicomte de la ye; un des ref- avant ^ Peta c'est le Ped: et. Le livr я cottes élever jusqu'à Га i auquel 1 convient de leur confier une nourrir. Ce temps venu, le sujet subit l'habillage et quelques petits soins de préparation trop suyen! négligés. N tant du choix Lisez les courts e preserit le livre qui est devant nous et n'e dévi iez pas ; ils е force de loi; c’est l'ex- périenee qui, s a pu les formuler et celui qui les diete ic ici peut dire hardiment : ғ” сгейе. chapitre consacré au greffage sous ире d'une serre ad hoc greffer "e ement dit. . Les différents modes de greffer son d'abord classés, puis successivment dé- crits et représentés par des figures prises | e de M. Baltet nous apprend la ; sur le vif; е ees irréprochables de des- sin et de gra C'est le groupe Hd greffes par approche ue l’auteur entame а, comme moyen | de multiplication des espèces revéches et 62 pendant tout l'hiver; dans cette saison, - elles n'existent que dans le souvenir du cultivateur, sans emblaver ses serres qui ne manquent pas d'hótes depuis octobre jusqu'en avril. C'est au printemps seulement qu'elles demandent à ce qu'on s'occupe d'elles. Les soins requis, nous les avons énumérés longuement à la page 71 du X VII° vol.; nous n'avons pas par conséquent à en reparler aujourd'hui. Le suave coloris rose que montre notre présente planche est la nature prise sur le fait, nous som- mes heureux de le dire, comme nous témoignons notre désolation quand un peintre abuse, et de sa palette, et de la confiance que son œuvre devrait tou- jours inspirer L'Etablissement a livré ec printemps PLECTOPOMA NÆGELIOIDES SUAVE-ROSEUM (Van Hours). ees Plectopoma pour la premiére fois; nous engageons les amateurs qui les ont aequis à ne pas briser les stolons bulbi- féres qu'ils possèdent, afin d'en obtenir de beaux exemplaires l'an prochain. Cette recommandation ne s'adresse qu'à eux et non pas à ceux d'entre les hortieul- teurs qui tiennent à propager vite, afin de pouvoir fournir leur clientèle. On eomprendra cependant qu'un Plecto- рота, né d'une section de rhizome, ne peut pas, pendant la méme année, pro- duire de beaux exemplaires, vrais spé- cimens d'exposition. Depuis la Toussaint jusqu'en février, nous fournirons de beaux rhizomes entiers de tous ces Plectopoma, à l'état L. ҮН»: pour la formation et la réparation des ar- bres fruitiers. Il donne quelques modèles trés-gentils d'arbres de fantaisies (fig. et 2), de lettres, etc., et, entre autres, la ALTET, exécutée en Poiriers, le tout par le secours de l'approche. ‚ Viennent maintenant les greffages de côté ауес rameau détaché (fig. 5), recom- mandés pour garnir les vides dans les arbres (Bb et Aa) et pour multiplier certains ar- bustes d'ornement, Houx, Camellia, Erable Jaspé, ete. (fig. 5 C). Le greffage en cou- ronne et ses perfectionnements sont tous et qui ne pourraient jamais s'atteindre sans le secours du rameau d'allonge (C). La figure 4 représente deux cordons horizon- taux soudés par raccordement. de précision, Sous le titre : Greffage | М. Baltet parle de toute une série de pro- cédés ой le métro-greffe sera employé fré- quemment : greffage en placage ordinaire pour Rhododendrons, placage en couronne pour vieux arbres, placage avec lanière. L'épithéte de greffage par incrustation sentend pour ce won appelle d de aussi par emporte-piéce ou en ре Fig. figurés et expliqués avec les détails que eet excellent procédé mérite. La greffe de raccordement (fig. 4) est une invention trés-ingénieuse pour souder entre eux deux membres de charpente don le développement en longueur est arrété -- 4. chèvre. C'est au tour du greffoir Rivière; ser la fois comme gouge, бте 0 ordinaire, et pour tailler d'un trait la greffe en forme de coin, à sortir du néces saire d'outils. Р Pour toutes les améliorations et les sim- ) ГІТ AZALEA INDICA Madame Fis Le Febvre D ER Gand (Van A опе.) ‹ fez Te f Torde 1862—1865. AZALEA INDICA MAD. IRIS LE FEBVRE (Vax Hourre). « Fleurs extrémement doubles, trés, | eneore sur les pétales des rangées infé- très-constantes, orange sombre, genre | rieures qui en sont chargés. 1* ordre. » Rembrandt; trés-large impériale choeo- | Tel est le signalement, pris au prin- at foncé noirâtre, éclairé de violet vif | temps dernier, de cette belle variété, au qui s'étend non-seulement sur les péta- | moment de son expédition au Concours les supérieurs et sur les latéraux, mais | de Bruxelles. VI plifications de l'ancien greffage en fente, | la promptitude d'exécution. Toutes les consultez l'Art de greffer; tout sy trouve | utiles complications y sont aussi : en trait de Jupiter, à cheval (fig. 6) pour Rhodo- dendrons, ete. Les greffages mixtes avec greffe-boutu- res et avec sujet-boutures sont, les pre- у» féres et des Noyers méritent une attention | Speciale. La figure 5 représente les greffes en tête recommandées principalement pour ces essences | nissement des vieux ceps, le remplacement Puis viennent les greffes à l'anglaise, Weep | des mauvais erus ; les seconds, une applica- graft, ainsi nommées, sans doute, à cause de | tion assez importante pour la propagation . 64 MISCELLANEES. de се beau genre de plantes que tout le | produire assez vite pour les demandes, monde choie et ies l'hortieulteur ne peut ст coma les Aucuba = Parm Ж >y “ es nombreux modes de greffage sur edis le plus curieux est ‘celui de l'Zipomea murucoides greffé, par approche, le signalons aux multiplieateurs de plantes rares; on trouve encore dans nos serres et nos jardins tant de végétaux rebelles. s pourrions rapporter à ce groupe le ren ouvellement des vignes par la greffe sous-terre (fig. 7), dont la reprise, pour ce Soe de plantes, est bien plus certaine que par greffage à l'air libre. Linerustation de bouton à fruits est une invention moderne; malgré cela, elle a 5 р sentent. Un long chapitre et une trentaine de figures sont consacrés à ce précieux mode de multiplier la plupart des arbres et arbustes. Le dessin représentant les mains de ыы nous indi ue la facon de ogne. rias allions préparer notre finale en adressant au savant écrivain nos plus sin- ceres félicitations ; en lui offrant un tribut d'éloges bien mérités; en le remerciant en- fin d'avoir, par son livre, enrichi le nombre des bons écrits que le monde hor- ticole lui doit déjà, lorsqu'en tour- nant la page 252, nous y lisons ces lignes : « H ne suffit pas de savoir greffer, il convient encor de sujet qui leur co dene. et par quels procédés on les « Ce chapitre, е eg e ix prin- cipales espéces ligneuses du climat de la France, y répond. · « Les procédés de greffage y sont inserits dans l'ordre de leur im- portance relative. Nous y ajoutons ROSIER ILE- BOURBON ) fjonoret Pponea p "t sid еее ier? Dombrarr „+ ER S 1864. ROSIER ILE BOURBON. RÉV? DOMBRAIN (MancorriN). Lorsque nous fimes prendre le dessin de cette Rose, nous ignorions à quelle célébrité elle était dédiée ; la découverte de l'illustration qui la couvre de son égide nous a véritablement stupéfié ! L'auteur du voyage en Australie, le sagace écrivain qui découvrit la station véritable des Cephalotus (1), méritait bien qu'on lui présentàt une belle Rose et celle-ei est l'un de nos meilleurs В. Це Bourbon m VH. (1) Christmas Gossip ! (For, XVII, p. 50.) de reproduction du sujet et observations dietées par l'expé- Fig. 10. т En effet, сей été là une lacune déplora- е que M. Baltet a bien fait de combler par une revue compléte des principaux arbres et arbustes, envisagés au point de vue qu'il s'est proposé. Ajoutez encore à ceci des observations sur la restauration cédent, et le tout est digne de la sympathie des hommes du métier et des amateurs. Ce ne sera pas parce que nous le disons ; mais l'ouvrage de M. Baltet(!) aura le succès qui lui est marqué d'avance et qu'il mérite à tous les points de vue. Е. Вухн. ——- (1) En vente à Paris, chez Victor Masson et fils, 1 vol. in-18 de 520 pages el 115 gravures. і t 1917. COLORATION ARTIFICIELLE DES BOIS. XVIL. résine, résiste plus longtemps. On lave ensuite à grande eau les objets teints ; on uile et on les ser par qui précipitent un peroxyde | ganèse que la potasse, еп Se dégageant, fixe d'une manière durable. (Cosmos.) JAAS унады Au cimetière de Chelsea, prés de Londres, repose James Veitch, né à Exeter, le 25 mai 1815, mort le 10 septembre 1869. Sa vie n'a donc duré que 5% ans, signalés par une succession d'introductions d'une foule de plantes bien précieuses, dont la nomenclature suffirait à elle seule pour témoigner de la prodigieuse activité de cette nature fébrile, bouillante, sans repos. Tandis que son fils Harry tenait téte, au logis, John Gould par- courait en grande vitesse le Japon, les Philippines, la côte orientale de l'Australie et enrichissait la maison paternelle, au prix de sa vie, aprés que les fréres Lobb, aprés que Pearce et d'autres explorateurs, attachés à ce foyer de richesses, y eurent entassé suffisamment de végétaux pour étonner l'hortieulture de tant de merveilles. D'éclatants témoignages de regrets que cette mort précoce a causés en Angleterre, en Ecosse, en Irlande, сіс., se traduisent, en ce moment, par d'abondantes souscriptions que recueillent des comités qui surgissent de toutes parts dans le but d'honorer la mémoire de cet horticulteur éminent par un souvenir durable : l'institution de prix périodiquement décernés. Peu de maisons ont eu la chance de rivaliser avee la maison Veitch, si- non par la quantité, du moins par la qualité de ces introductions qui ne laissent guère de regrets aux acquéreurs. Citons-en sans ordre et comme elles se présentent à notre ressouvenance, et disposons-en les noms comme autant de victoires remportées sur le désert! Maranta Veitchi, Lapageria flore albo, Collania urceolina, les Alocasia Jen- ningsi, zebrina, Veitchi; les Begonia Pearcei, Veitehi, rosæflora, boliviensis ; Hip- peastrum pardinum, Mutisia decurrens, Berberidopsis corallina, Gymnogramma Pearcei, Lomaria gibba, ciliata; Davallia parvula, Leptopteris superba, les Dracæna regina, Moorei, magnifica, Cooperi et beaucoup d'autres; les Croton maximum, irregulare, interruptum, Mono Hookeri et beaucoup d'autres; Dieffenbachia Pearcei, Primula eortusoides a En fait d'Orchidées : Masdevallia Veitchiana, Odontoglossum coronarium, Krameri; Venda insignis (le vrai), Bensoni; Cypripedium lævigatum, Pearcei; Ærides Huttoni, Dendrobium Bensoni, ин. crassinode; Saccolabium giganteum, "Thunia Bensoniæ. Conifères : Retinospora obtusa, plumosa, ete.; Cryptomeria elegans, Abies Al- cockiana, Picea bracteata, Thuiopsis lætevi irens, Abies firma. Et si nous cherchons plus loin, nous trouverons des Nepenthes, Wellingtonia gigantea, Thuia Lobbi, Dipladenia splendens, Ixora Lobbi, Vanda suavis et tricolor ; Cypri- pedium caudatum, Phalenopsis grandiflora, Rhododendron Veitchianum, Lapageria rosea, Sanchezia nobilis, variegata et beaucoup d'autres. МАҒ AZALEA INDICA Marre Van Houtte. (Van Houtte) i ' Зет Gad Serre froide. " уһ wi 1865—1866. AZALEA INDICA MARIE VAN HOUTTE (Vax Hori, Très-grandes fleurs semi-doubles, | Prix-Courant n° 129, aux pages 151 et blanches, striées, flammées, ponetuées, barrées et mouchetées de rose saumoné eomme un OEillet; ses pétales sont trés- fermes, larges, bien ronds. et Azalea fait partie de la série des huit nouveautés offertes dans notre D — ‚ et qui ont obtenu le 1* prix à Bruxelles, concours spécial des Azalées; l'Azalea Madame Louis Van Houtte а obtenu le 1* prix dans un autre con- cours. L. VH. T 1919. А PRO pour l'impression du grand ouvrage sur l'élargissement du genre Malus, du Dr ^^", refusa notre manuserit dont nous avons aujourd'hui élagué les parties les plus sca- breuses : ез: Le qualificatif qui suit un nom généri- que et qui tient lieu d'un semblant de nom spécifique, est mis iei en italique toutes les ois que nous le croyons d'origine jardi- nique, ou bien quand la plante nous parait être un produit métis dont nous ne pouvons nous aventurer à rechercher la filiation. ‚А la grande satisfaction de nos maitres, es horticulteurs se sont abstenus déjà Impératrice Marie, en attendant le Cocos Général Tottleben ; tout conime nous avons le Gladiolus La Fille du Régiment, de Kre- age, en attendant l'arrivée du Caryophyl- lus г CENE ый bue 1 CL s: ` le Congrès ne parviendra pas ` H à contraindre les Allemands à se servir T 1920. CYPRIPEDIUM SPECTABILE. qui avait disparu de nos collections et dont nous venons de recevoir de beaux pieds de POS DU CONGRÈS. de noms francais, pas plus que les po- mologues allemands n'entendent admet- tre, sans les travestir, les noms que les obtenteurs de fruits d'autres pays leur ont donnés. Émettons un vœu : Cest de voir adopter, pour les dédicaces, un seul nom et le plus court possible, düt-on, à l'aide d'ana- grammes, en multiplier la diversité à Гіп- fini, sans recourir aux Messieurs, aux Mes- ames, aux Mesdemoiselles... etc. ant à 1 nous y conformons respectueusement; nous avons écrit {mantophyllum longtemps aprés avoir écrit cacographiquement Ima- d'Himantophyllum. Vauteur de cet inté- ressant changement, M. Duchartre, ne l'a as méme compris dans son Manuel de plantes, à moins que l'idée d'améliorer се nom ne lui soit survenue depuis (Алл. Soc. impér.). — Ne pourrions-nous раз aussi continuer à écrire Orchidées, en atten- dant que les Orchiées aient été plus génera- lement goütées ? Notre perplexité est le plus souvent à la hauteur de notre insuflisance ; cest notre sort ! L. VH. — LE SABOT DE VENUS DU CANADA. son pays natal. Nous possédons également des Cypripedium | pubescens (FLorE, X, 201), venant de la méme contrée, et des Cypripedium guttatum (Frang, VI, 151), originaires de Sibérie. L. VH. ed YA с жаны EX amm rn же * MISCELLANÉES. Belle panachure qui jette au vent tout ce qui avait paru précédemment. M. Gay, horticulteur à Bollwiller, nous en a envoye vingt feuilles, toutes pareilles, admirable- ment bordées, d'une régularité extrême. En acquérir la propriété, nous ne le pou- vions : la dragée était au-dessus de nos Т 1922. ROCHER ARTIFICIEL « Il faut avoir vu pour savoir imiter. » nos champs de colza, Le comme si l'on chargeait un peintre, qui jamais n'aurait entrevu que le d'Auxerre, d'es- quisser un naufrage en vue de Concar- neau. D'une autre part, des rochers sans végé- tation auraient la figure d'un Ehrrenbreit- œuvre ger des fissures béantes aptes à recevoir _ des plantes alpines qui puissent у prospé- rer | ег. Les fissures horizontales ne s'y prétent \ ére. alpestris (А), le Lychnis Viscaria (B) et le Silene асаш (C), dont les racines sont pivotantes, y viendraient à la rigueur (fig.1), urv rvu qu'elles trouvassent en retrait un h à l'intérieur des fissures ne leur fissent défaut. ‚ Le compost dont on se sert se compose d'argile entremélée de briques concassées et de terreau de feuilles. Dans la seconde figure, nous représen- tons des morceaux de rochers qui n'ont été superposés qu'après y avoir ménagé des interstices à l'aide de déchets de pier- res dures entre lesquels le sol n'est pas 1 cupée par le compost, tandis que les glomérules ` + (991. LIRIODENDRON TULIPIFERUM FOL. LUTEO-MARGINATIS. calculs de vente possible; mais de e l'édition entière nous échappe, saurions nous abstenir de rendre à ce qui n'appartient qu'à lui, et au gain M. Gay justice pour le mérite trane dant qui le distingue! і, чә GARNI DE PLANTES ALPINES. ; de déchets de pierres dures y sont figuré par des hachures obliques. | | Dans les deux figures 5, les fissures sont pourrait, par exception, plaire à un № thochlæna Ma , à un Androsace li- obtenir le requiert. L'art évitera la multiplicité de l'eau de I en J, et privant toute humidité; — c'est l'opposé de се l'on remarquera de K en H. | La figure 4 met en présence un ro“ de l'autre , ure 5 représente des de sommités à fissures verticales. dans le plan N dans lequel le sol est à faire corps avec les accotemem o i qu'il s'y appuie en M, en infléchissan le bas ; ces exemples peuvent déjà p nir les amateurs du beau scénique; € | le danger de confier à des mains inex la construction de parties de TY entre lesquelles des plantes alpine autres auraient des positions à od MISCELLANÉES. SSS N SSS A Silene al S Э Э pestris; В Lychnis Visearia; € Silene acaulis. Fig ROCHER ARTIFICIEL GARNI DE PLANTES ALPINES. =. 1. JI oues. IManvats. f 1923. DES GRAINES PRODUISANT DES PLANTES NAINES ET DES FLEURS DOUBLES, Un hortieulteur me montrait ya quelques mois, des porte-graines de Reséda odorant, dont la végétation et la floraison étaient "splen ndides. "Pour récolter la se- aire usage que des 5 de la floraison, p capsules de l'extrémité sont moins bien formées et moins grosses que les premiéres; que les graines conte- nues dans les diverses capsules de l'épi sont de grosseur différente et renferment des quantités inégales de matière nutritive; lui. faisaient écarter les épis des branches supérieures. H ajouta qu'il im- portail, en outre, pour la bonne levée des semis, de ne se servir que de semences uniformes. Rentré chez moi et дег de comparer la maniére de voir de mon jeune praticien avec celle de ducis théoricien sérieux, je ne tardai pas à avoir tous mes apaise- ments à cet égard, car les principes ci-dessus sont ceux que le pm de Liebig a déve- loppés dans son rage intitulé « Lois naturelles de Batterien $ Pourtant e déductions en conclusions, je m'arrétai brusquement dans la lecture de cet auteur p mences rabougrie arrétées dans leur développement, saut des plantes impar faites... — Le jardinier et le fleuriste connaissent par faitement cette relation naturelle... — dinier sait e de la aspect rabougri, fournissent des Sues à naines et des fleürs d oubles. » Javouerai, sans hon nte, puisque je ne suis pas jardinier, que j'ignorais complé- tement « | que les semences ridées giroflées produisaient des е Kate et des fleurs bles. » Je courus chez mon horticulteur i je trouvai p science également en défaut; il m' assura méme que son pére, qui и un vieux praticien, а du. а de Ad. Scheler, Bruxelles, chez MISCELLANEÉES. | bien doubles. Les résult: semait au petit bonheur, depuis environ. 40 ans, les graines de giroflée et pour lui, le hasard paraissait être la seule cause de la duplicature de ces fleurs. Je fais grâce à mes lecteurs, des ee que je conçus pour résoudre les pourquoi et les paree que des propriétés de ces diver- ses espèces de graines. Je préfère avoir recours aux lumières des collaborateurs et des lecteurs des Annales pour élucider le problème suivant qui me tient à cœur: Pourquoi des en naines donnent-elles des fleurs doubles En attendant, que l'on me permette de recommander les semis des graines ridées des plantes dont l'on désire avoir des fleurs tats de ces essais | EN probablement intéressants à con- "ed mon côté, je me propose, en outre, de faire encore plus d'une excursion dans. le domaine du célèbre savant allemand, et de faire part aux Annales des obser- vations qu'elles me suggéreront. (Annales de horticulture en p? | Rien n'est plus inata au point de vue horticole, que des s aussi rationnel- lement pratiques lise gere qui précédent. Que l'on nous permette de narrer à ce su un pee de notre jeunesse: il est vieux e 35 ans Nous avions, dans ce temps-là, un jeune allemand qui, regardant nos giroflées, no apprit que dans son pays on laissait soujJT' les giroflées fleuries en les privant parfi d'eau. « Ce procédé nous donne, > ditil, « beaucoup de graines produis des fleurs doubles. » — Nous lui l'instant son brevet de directeur-génér de nos giroflées et les confiàmes dés lo : ses $ soins; nous tenions à nous instruire lus zélés, les plus compétents, d les bruxellois de Герое ѕе гарре — L'impitoyable M. Br. nous fit com devant le 2. d'administration qu! amena prés de пов giroflées don feuillage э ы ш pendait le long lantes avaient € rdez, necne » dis PLECTOPOMA NÆGELIOIDES бе (Van Houtte) ^) £ < fezus Gand. детте беулреге l | [ | | ` | 1867—1868. PLECTOPOMA NEGELOIDES COLIBRI (vax ностте). Cette charmante plante, couronnée à exposition de Namur, développe py- ramidalement ses grandes corolles sau- mon, qu'interrompt une substance fari- neuse toute blanche, qui semble asperger l'intérieur des fleurs décorées en outre par un pointillé eitron et amarante. Elle appartient à nos nouveautés si distinetes par les fleurs disposées tout le long des tiges, entremelées d'un joli feuillage. On sera satisfait de Colibri. L. Vif. permis de traiter des plantes de la sorte? Allez à la Grand' Place, vous y verrez des pauvresses qui amènent de superbes giro- Îles, au marché, tandis que nous, ici, à la Société Royale d'Hortieulture de Belgi- que, nous faisons honte à la ville ! » Le Conseil d'administration remonta les degrés et la séance s'ouvrit. Le mome de rendre compte de nos faits et gestes allait venir. Par malheur, ce bon M. Br. nous ayant vu greffer des Camellias, peu de temps auparavant, voulut imiter nos opérations; = = il en greffa à son tour chez lui, et entoura 5а ор > ` aie sa greffe de belle cire à cacheter ministre, Т 1924. NOUVELLE MÉTHODE Jusquà'ce jour, les méthodes employées pour enfoncer les pieux étaient difficiles et couteuses : dans les grandes opérations, le Ingénieurs avaient principalement recours ala vapeur. On vient d'essayer en Amérique un procédé très-expéditif qui remplacera PEURÉILO les engins préconisés par nos de- : il repose sur l'emploi de la pou- à canon. Pour manœuvrer le mouton, Hs „р ane charge de poudre qui élève BEL ede charge le fait tomber; Conçoit dés lors que la force se trouve considérablement augmentée. Avec 4 gram- Ka me 2 tes de poudre, опа pu soulever un mouton toute brülante. Son Camellia tout ridé fut ` porté, par ses ordres, dans notre serre à servir de revanche. Nous lemportámes, le tinmes derriére le dos et nous nous mimes sur la sellette, à la barre du Conseil d'administration. — Les foudres de M. Br. tonnèrent à ébranler les voütes; son speech ayant pris fin, nous sortimes de sa cachette le Camellia qu'il avait si bien arrangé et le présentàmes à l'assemblée comme un échantillon du savoir-faire de notre admi- nistrateur! — Contorsions, егіз, coléres....; la toile tomba et le héros s'évanouit! L. ҮН» POUR ENFONCER LES PIEUX. du poids de 480 kilogrammes; on sait, d'ailleurs, que e'estla charge ordinaire d'un fusil. A la vérité, eette méthode peut pré- senter quelques dan ouche si triste- ment les armées sur les champs de bataille, contribue au b с développement de l'industrie. ` (Science pour tous.) t 1925. EXPOSITIONS EN 1870. Urnecur, 95-27 mars. — бамо, 10-15 avril. — CAEN; 16-19 juin. — FERRARE, mai. Т 1926. TUYAUX DE CHAUFFAGE. Nous montrons ci-contre de combien de sortes de pièces on peut faire emploi dan 2 d'un chauffage au thermosi- Gang . Les 5 sont t des tuyaux recti- lignes. Nds avons, à nos dépens, expéri- menté l'immense perte que l'on subit en commandant même les pièces les plus élé- mentaires dans les fonderies où ce genre de travail n'est pas exécuté par des ouvriers maitres dans l’art de manier la fonte. Il ne s'agit pas seulement dr des coulages bien uniformes d'épaisseur, mais il faut r, encore que celle-ci soit réduite à sa plus “а ° " » КУН on S паг A simple ғына E an pode la trée, et tutti quanti , on se préservera des mécomptes de toute espèce et des insuccès de tout genre, auxquels on pourrait ajouter bien des frais dont on se passerait trés-volon- tiers. — Les n° 4, 5, 6, 7 sont des coudes dont l'emploi est “plus fréquent que celui MISCELLANÉES. des n**8, 9, 9a, 9b, — Les п 10а 15 sont des T diviseurs; les n°16 её 17 des coudeslongs, dont l'usage est aussi bee que celui des bouts de tuy ° 18 à 21 entre-deux à flanches ou à Haa td —Les n* 25 et24, coudes parfaits, servent à unir, aux extré- mités des serres, M up ed sech aux tuyaux d'aller. s n° 25, 26, 27 et 28 divisent un gros р еп Vie tuyaux de moindre dimension dans le but de doubler les moyens de с Kee aux départs n? 29 trouve son appli- cation quand, à hn naissance du а оп йел Жү! n tuyau simple un 0097, И Ат И auxquels | оп adapt te des tuyaux de parcours à l'extrémité desquels vient s'ajuster le n° 29 dont deux tuyaux servent d'aller et un de retour, c'est-à-dire raménent l'eau vers la chaudière. — Les n% 50 ` et 55 ne se justifient pas; ils sont de construction vicieuse ; ils arrêtent, ils étranglent la circulation vi ralentis- sent son mouvement. — Le n° 51 estla Po de la multiplieité da tuyaux e départ sur le faite de la chaudière. — Le n° 59 est la répétition du n°29: ici deux tuyaux d'aller, deux de retour. Nous leur préférons les n 95 etw / superposés autant de fois que Гоп en- tend augmenter la surface n һеш, le nombre de tuyaux. e 55 à 58 sont des pièces d'évitement ВЫ | Wee d'aprés les exigenees des lieux. Le n° 40 est un diviscur qui n€ trouve son emploi que quand la fan- taisie en fait naître 1 Les soit au $ des chaudières dont le dessus se er parfois d'un chapeau dans le style du n°4 qui prend la forme du n° 47 ou du n° quand 1а duh ілі des lieux le réclame. — Les пе 49 et 50 sont des tuyaux mu unis de each valves arrétant la circulation: — Zë et 56 sont des collecteurs Moli tnit à à de vieux sy stémes surannés hors d'usage. — Les n” 54 à 5 pièces destinées à réduire brusquemen diamètre intérieur des ШАР iux. To ces pièces sont fabriquées Jones fils, 6, Bankside obe. à à Londres. L me tes d PRIMULA (ул) INTERMEDIA af 2 Чери Angles. Plein air. M DER 1869. PRIMULA over) INTERMEDIA (иш. Salut à ces petits diamants des Alpes, qu'on revoit si volontiers aprés la fonte des neiges sous lesquelles ces jolis petits étres restent eonfinés pendant tout l'hiver, sans se porter "moins bien pour cela, ou plutót qui y végétent mieux qu'à l'aide des soins inopportuns dont on les cajole dans nos jardins, au détriment de leur bien-étre! Ces primevéres ne ré- clament de nous que la serre la plus froide, une petite place prés des jours, et le toit du bon Dieu, aussitót la venue du premier prn temps. cette condi- à cette condition seulement, mula ciliata, minima, dont notre plante semble étre un produit intermédiaire. T 1927. SUR LA CAUSE L'auteur explique les eourants marins par la différenee de vitesse de rotation des eaux aux divers mn de l'ellipsoide terrestre. « А par e l'équateur terrestre, dit M. Vallés, edi à la latitude ой a lieu le passage du boursouflement e e rota- Mais, au-delà de cette latitude, le liquide de la surfacé aura conservé sa vitesse initiale, et “il serait, par conséquent, indifférent à tout mouvement relatif, s'il n'était appelé in- cessamment vers les cótes occidentales pour combler le déficit causé dans les parties intertropicales de ces cótes par le transport des eaux dans ees parages vers les côtes orientales. > Cette théorie, lès, n explique pas complètement les cou- rants profonds, mais elle fait comprendre la disposition des courants superficiels. Elle rend compte des dénivellements pos- sibles, observés non entre des mers voisines, séparées par des isthmes étroits, comme l'Atlantique et le Pacifique à Pa- nama. M. d'Abbadie ayant demandé si les idées = par М. Vallés expliquent la dif- férence si remarquable de niveau trouvée wi ч I. “Bo urdaloue entre l'Océan à Brest et а Méditerranée près des côtes de France, М. Vallès répond que la Méditerranée doit XVIII. DES COURANTS MARINS. étre examinée à part. Elle se trouve, en effet, dans des circonstances particulières, l'évaporation étant supérieure aux préci- pitations aqueuses et aux apports des fleu- ves, ce qui augmente beaucoup la propor- tion des sels, principalement du chlorure de sodium. M. d'Abbadie fait observer que la quan- tité d'eau enlevée annuellement à la Médi- points est assez des élém an pire à la 50 de la question. Les expériences faites sur le littoral septentrional de la Méditerranée ne permettent de rien préjuger sur ce qui se passe dans sa partie méridionale. Les effets observés dans cette dernière ne se- raient méme probablement pas semblables dans des régions soumises, comm e l'Algérie breuses exp a | enlevée annuellement par évaporation à des marais yet et aux étangs voisins de constaté qu'elle n'est pas ei mètres ou 27,10. Le la de grandes variations dans la rapidité 2% l'évaporation à la surface des — U ALLES. logique de France.) (Société météor 74 MISCELLANÉES. + 1928. CHAUDIÈRES NOUVELLES D'ORMSON. Nous ne reproduisons ici ces dessins que pour montrer jusqu'où s'étend 1а rivalité entre les constructeurs de chaudières. Celles-ci ne le cèdent à aucune autre en bizarrerie de construction. Toutes tendent à allonger le plus possible le parcours de la flamme et à exposer davantage à celle-ci les divers parois multipliées à l'infini. Les voisins de ces constructeurs peuvent re- courir à eux en cas de besoin et se donner à cœur joie de ces curieux appareils qui se fabriquent dans King's Road, Chelsea, Londres. t 1929. LES POMMES DE TERRE EMPLOYEES CONTRE L'INCRUSTATION DES CHAUDIERES. Nil sub sole novi. On sait qu'une pompe puissante amène l'eau fertile de l'Escaut dans notre Etablis- sement; une machine à vapeur en est le moteur. Depuis longtemps, vingt années environ, nous nous servons de pommes de terre contre lincrustation de notre chau- diére en activité de service. Il parait que ` ec procédé n'est pas généralement connu puisqu'on le préconise comme venant d'être découvert. L. VI Nous lisons dans la Science pour tous: « Les inventeurs s'exténuent à prévenir l'incrustation des chaudières à vapeur ? tous les jours un nouvel expédient aboutit | à un nouvel échec. On vient d'essayer en Angleterre une méthode qui a déjà foumi d'excellents résultats dans notre pays. ! soir, des ouvriers s'avisérent de faire еше des pommes de terre dans une chaudière ё vapeur; les tubercules furent oubliés, e quelque temps aprés on s'étonnait beaucoup que la chaudière ne tint pas sur ses parois le dépot caleaire qui s'y produisait ordinal | rement. Un sage en augura que le légume de Parmentier avait produit ce résul mais on n'y prit pas garde, et la pomme Cette vieille recette a été appliquée à lor: dres pendant ces derniéres semaines; | elle а été couronnée d'un succès complet | La chaudiére dans laquelle avait lieu Te | rience travailla réguliérement pendant 5 torze mois de suite. Lorsqu'on exime | l'intérieur de Ja machine, on constata Ф RHOD. ///rór) Ange Vervaet / Fan Houtte) de n к " 2 Semis Swynaarde. Æuskique 1870—1871. RHODODENDRON ven) Nos collections s sépurent chaque an- née davantage; nous exigeons des buis- sons compaetes, de beaux feuillages, des variétés floriféres, de plus beaux bou- quets, des formes meilleures et des coloris bien distinets. Nous rejetons les plantes qui s'élan- cent, les feuillages et les fleurs trop flasques pour se soutenir et qui bai- sent humblement la terre, antiquailles honteuses de se montrer encore et aspirant plus qu арғы le bücher. ANGE VERVAET (vas ность) Et maintenant, Ange Vervaet, mon- tre-toi! — La Pr rincesse de Galles ор- posera ses со i toutes deux Wen ce que sont nos variétés modern Il ne s'agit ee p% mode ici, mais bien de perfectionnements de formes; or, en toutes choses, la loi du siècle est le détrònement perpétuel, méme chez les fleurs. Ange Vervaet est trapu et d' a rus- tieité à toute épreuve. үн. n'y avait aucune trace d'inerustation; les plaques présentaient une apparence noi- râtre et quelque p graisseuse ; les coins, aux jointures, étaient dans 1 dn e état quau moment ой la chaudière avait été construite. Le mécanicien avait obtenu ce résultat en introduisant chaque semaine, dans la chaudière, une dizaine de kilo- grammes de pommes de terre; les tuber- cules malades a TÎ "e n a const arfaitement "leie que les p r aucune facon aux plaques des chaudières. > + 1930, BIBLIOGRAPHIE. Les plante de serre, us le climat de la Belgique (1), PA E. traité théorique et pr Dr de Se culture de toutes les роте qui дета пет и сүрт, Président de la Société des геа Se Arts et des Lettres du Bait Secr taire pi la Société Royale d' Horticulture de Mon! re que nous annoncons a été ac- Le liv cueilli son ‚ dès unaniinité eo ium € le faire ap- 8 spéciaux et à extraire périodiques les plus con- ce et de la Belgique es passages dei appréciations dont t des pu lation sidérables de oici d'abord les conclusions du rapport présenté par M. le vice-président Ахрву а а Société n её centrale d'horticul- a de Fran i қ ді: е пе puis vous donner m analyse plus dé- allée i ca m de M. D uydi ; si | e vou- ais vous e Ca + ir «n $ le considérons comme деи im- po at? SC nous n'avons qu'un our c'est, de « le voir promptement entre les mains de tous « les pe ген et amateurs ; us de ema "pri roi à la 155 riant Patrie. à à E de erre, a juste récom- services que « livre est appelé à pte à tous ceux qui s'uecu- pe ent d'horticu аге. > lore, de Bruxelles, ion de cette и Société royale d'horticulture de Na- es, et ur termine en ces termes; s la signature savant seerétaire du jury M. Ер. Моввех, le ке rendu de sa grande exposition de 1 « Nous eroyons bien iis avant de terminer, n livre que vient de pu ublier қ os er d dë d De Puydt, ini le titre de 3 Plantes de 4D 2 Vol. grand in-18, ensemble Ss 700 pages. — Prix : 6 franes, PP l'auteur. « e. C'est un manuel و‎ pratique « dn at du jardinage; une encyclopédie « de ces mille = gems que та еи г com- trouver quand il veut se ne ке L'extrait oram e ет prunté au Jour- nal de dug cei publié à Paris par M. Bannar. L'art est signé de M. Ер. AwpnÉ, l’habile ж savant dir ecteur des eultures de la ville de Paris, à La Muette. « Il manquait un travail bien fait sur les serres. « M. De Puydt vient de publier la premiere partie « idee traité de cette deest importante de la eulture. Nous n'avons à en dire : « nous l'avons ч Чепх fois, dn commencement à « la fin, sans cesser un instant d'é ntéressé et « charmé. C’est un de ces livres rit vingt fois « surle hm ete. » La Belgique me? l'un des journaux amme ІНІН suit £ us dit souvent : je ferais volontiers de « Phosticolture Dee les plantes et le jardin, « mais je n'y connais rien; ne sauriez-vous m'in- « diquer un livre ой l'on trouve les enseignements « Jusqu'à í heure nous ne savions pe « répondre ; désormais nous répondrons : pren « le livre de M. De be il satisfait et au- Мед à è gitim mes. « M. De Puydt est à ze а savant, littérateur et « horüculteur ; il a 40 années de pratique horti- cole; on livre est dde œuvre consciencieuse, Me » ous est impossible de mentionner tous les recueils périodiques, journaux, revues, etc., à commencer par le Moniteur universel, qui ont fait de l'ouvrag SR sans ege et dont plusieurs en = = HON, de Montpellier, SE ete. , ont félicité l'auteur dans des termes que nous regrettons de n'étre "M autorisés à transerire ici. Voici maintenant des extraits de jour- naux politiques : * La science aimable de horticulture n'avait * point de code; l'art d'élever ces admirables “ végétaux qui, de tous les points lu monde, « w A er nos jardins d'été, nos serres et appartements, ne s'apprenait qu'aprés de « longs t tonnements, et bien du temps bo des * frais insi а а ва > 5 е” E 5 = EC Е e = mo ж 2. о e. о .g est connu à l'étranger aussi bien qu'e en Belgique; e sur les serres froides a été traduit en mand. » * Le nouvel ouvrage de M. De Puydt est une А 532 E 38 MISCELLANÉES. « œuvre considérable, complète, destinée à С ; « venir classique. C'est, au dire d'une des som- « « au appu yée sur de saines notions scienti- « fiqu « n p E dit véi autre savant non Ee « haut plaeé, de reconnaitre que ce ei $ il e geg réunit l « science, à la conscience et au Bi d е « lion. » « Ajoutons que l'auteur possède l'art dificile « ыы i précision et clarté et de donner à ses lecons un attrait de: e une œuvre litté- « raire а See це di dac e Pu n 'ensie mm [ee > e sur la table de tous les amateurs de fleurs, mais « aussi dans la bibliothèque des gens du monde, « qui lui ront une lecture pee autant "utile, » L'Etoile Belge, 21 n La Revue trimestrielle a gen ۸ pages à un compte rendu du livre; nous ей extrayons les lignes qui suivent : « Cor 1damnée N lutter contre toutes les dilli- « vultés et à substituer ан, à la nature, РМ « иа des. serres doit t І àl ^ e = UL c m Er m « au « bonne fin.... En ie 8 ns qu « ouvrage, tel que M. Puydt l'a GEN exé- , répond à un ie réel et € « progrès notable pour la science ma ait mode éunissant à un « TAN et pratiques, la seience « et Tan i T horticulteur SOMMAIRE. {er VOLUME. — 41" partie : Théor : Notions des sciences applicablés à p x ticulture : naturalisation, climatologie- 7 Géographie physique et botanique. — Physiologie végétale, nutrition, rapi — Influence des sols, de la lum e, de A | chaleur, de lhumidité. — "Botanique 9 classifieation. — Théorie pd serres, PJ І siqu ue. — Construction, for matériaux | Chauffage ct conserv vation de Ja chaleur. 1 — Ventilation. — Ombrages. | - шы Cultures de а: gen saison, en serres, orange нис,“ еп Waas d'été et d'hive ad a ut. № ES WA PPP de Ke ее sn Tout 2 «Қатпа \ ) Serre temperet 1872. ACHIMENES BLEU (улх ность) A défaut d'un merle blanc, rara avis, voici un Achimenes bleu! et celui-ci n'est pas du < bleu de jardinier > (sie!) mais ün vrai bleu, franchement bleu! Et afin que l'on ne doute pas de | notre savoir-faire en fait de procréation nous montrerons, dans un de couleurs, l'une de nos prochaines livraisons, autre coloris tout aussi inattendu ! L. VH. aux plantes. — Dépotements, terres, com- osts, pots, corbeilles. — Multi tiplication, hybridation, tage, bouturage, greffage. Inseete maux nuisibles ou utiles. — Maladies des plantes, blessures. — Hy giène des amateurs et des jardiniers. — Esth étique florale. — Sociétés d horticulture, expositions. 2"* VOLUME, — 5те partie : Aide-Mémoire. Description sommaire de toutes les plan- tes 2. еп serre ou sans abri (prés de 2,000 genres). — Synonymies. — Lie de es епапсе. — Familles naturelles. — T 1931. MM. сайи et Edmonds ih ent une chondière entiè- rement sr de macon- Gester comme les précédentes, ct qui consiste en une série + жебе: curvilignes qui for- t dôme, sur Чоц ible ran- gée, ^ s'exposent à la flamme tout comme erait une pièce de tôle d’une pièce. Ils ne disent pas si la зше, еп зе logeant entre ces tuyaux, dét truit pas l'avantage qu'ils 0 ын une longue "ës, nm trés-ingénieux Valeur relative et emploi en horticulture. — Espèces et variétés ке choix. — Trai- tement qu'elles réelamen Cultures уези: Aroidées. — Bro- méliacées. Cactées. — Conifères. Fougères. — Gesnériacées. — Orchidées. — Palmiers et Cycadées, — Plantes aqua- | tiqu 's. Bruyéres, Camellia, | раенах Ве ete. Pour recevoir Steen franco, il suffit d'envoyer à l'auteur 6 franes en un mandat L X | ou en timbres-poste. l CHAUDIÈRES TUBULAIRES EN FER A CHEVAL. MISCELLANÉES. + 1932. LE LYCOPODIUM LEPIDOPHYLLUM Hook. et Gnev. (1). Voici l'une de ces plan- tes, dites de la RÉSURREC- TION, qui, privées d'air et roulent à l'aventure, de droite à gauche, à la merci du vent qui les pousse tantót dans une direction, pede m une autre. r de la Rose de дет, elles sont l'objet d'u erce entre le Mexique et (dé Pérou; dans eur con- ОША leurs proprié- tés hy étriques sont gentilles de port et qu'elles forment naturellement d'é кыш rosaeés très- décorative lles pourraient donc servir, elles aussi, à des expériences très-intéres- santes, trés-instruetives au int de physiologi- sarum gyrans, dont les folioles naissantes se meu- surprise extréme iv visiteurs, des oseilla- | procéder à cett e petite рениш» il АМЕ tions réelles dont l’action ressemble à celle | Plante soit en boutons prêts à s'e n trempe іші de ces ailes qui se mouvaient au sommet cree lines A pendant des mols: e ge, de nos télégraphes d'autrefois; et aussi le | immédiatement en la secouant assez fort pu Pilea callitrichoides , w les boutons à | débarrasse urabondante qui la fleurs produisent, à un moment donné, "querat fune ише Lë % Men à , " oué d'un e irritabili | une miniature de feu d'artificet IN Vale. on moin ien ipa s brusquen ent den tion, écartera la division florale qui lui se Г y дее Dris-Cowront n° 98 (1865-1864) con- | rideau et projettera pum n pollen de езше dan tenait au sujet de ce Pilia callitrichoides la note | rence à mimer l'effet que produit suivante : ; pyrotechnie amusante. Des eed « Le feu d'artifice! Pendant les mois de j Jes et | fleurs munies chacune de quatre ec i juillet, à l'aide de cette petite plante кч ісі lieu de boites à poudre, feront Sim yan muser les visiteurs, les faire assister à Cie leur office " ce feu de mousqueterie E cem véritable feu d'artifice en miniature. you pom — (1) Caul bus pi plurimi cæspitosis bi-tri-pinnatis stellatim чыр siceitate ineurvis s gum vie “mie us, ramis undique foliosis, foliis distichis arctissime imbricatis coriaceo-rigidis late Sir rgine eili argine жанов а ciliatis subtus pallidis rufescentibus, "stipulis fo folio subsimilibus ша сі med м кари nalibus ر‎ triquetris, де — —Ó 106. pidoph Hook. et Grev. suppl. i n Bot. Mise., У-, 9; P Mexique (près ого) Sir ' WnH ке еп pe rar Cé SE nombreux z f fi ig. nche vue en des vue au- dessus; fig. 9 18. D stipule: fig. 5 5 épi fertile; fi ig. ҰЗ неде; ; fig. 7, LE fig. grossies. xS, AUS A EN MISCELLANEES. PL Ë `= H ^ “ас” > Ce => Wëssen ES Ў с Е EE LS < e Tm e E A Z Zem GE BEE E EC % m 555 526» 4 =. Eesen SE > - r ISS 25 ZZ Ç : a d RS Я <5<5 се UN UC — 56222 < << CAI 7 NS Ri v И «qu АЗ” t oe EE SE و‎ SSS or ~ NE ЕР ASE LS ر کے‎ EE SES : шалмалы RSE 222 LL u =“ رک کے‎ = ш e > -— o м e о = = ә <) -— > ds а. о ca e. іш À = — са с a. e ce > =} ; 255. РУ CS re А “© << ЕЕ ETES EP 4p [ Ж” REUS MA Т» ES г y d Vë 7 1 p ر CS "‏ TRES FRE TUS A t 1933. CHIMIE AGRICOLE. É poques d'assimilation des principaux éléments dont les plantes se composent. Au nombre des questions dont la solution importe le plus à agriculteur et à l'horti- eulteur, il convient de citer en première ligne la détermination, sinon пеша ment précise, du moins assez approchée, е l'époque à laquelle chaque plante herbe. | pour sa E егін; les divers éléments qui la constitue Cette Eege permettrait, en effet, de fournir à la plante, en temps opportun, les aliments qui lui $006 nécessaires, ou du moins ceux dont la disposition nous est per- mise, de méme qut nous ее à nos animaux de basse-eour ou ous nous donnons à nous-méme 1а berg dont le dein: se fait к E ution compléte de cette question Семе, découleraient de nombret ses et р conséquences pratiques, parmi lesquelles nous nous bornerons à citer les suivantes : 1° Jusqu'à quelle époque de la vie d'une plante les engrais agissent-ils habituelle- en fournissant à la = partir de quelle phase de la végétation leur 2 directe devient-elle à peu prés nulle ; en d'autres termes, jusqu'à quelle époque la terre peut-elle ener ee recevoir et utiliser fructueusement, au profit d'une récolte, les matières fertili- santes incorporées dans le sol? artir de quelle phase de la végéta- tion la plante parait-elle cesser d'emprunter au sol soit la totalité, soit une partie des éléments qui doivent entrer dans sa com- position ; en d’autres te ermes, jusqu'à quelle époque la plante est-elle épuisante pour le 501 et à quel moment cet épuisement perat il atteindre son maximum d'activité Le moyen qui s'offre tout d' abord , comme le plus кас à éclairer la question, consiste à suivre pas à pas les variations que subit la plante dans son ро total et ее аси ents minéraux; pour découvrir à que MISCELLANÉES. moment cet accroissement s'opère sue plus de rapidité, à partir de quel moment ` il parait se ralentir, et à Se geet ; aped cesser tout à fait. | П résulte d analyses que pour le nie | comme pour le blé, on trouve, dans li plante Lows nu: d la presque alité de la matière organique, et la tota- lité de l'azote et des substances minérales. — botaniques très-éloignées (graminées, ert cifères), il est permis d'admettre que le fait signalé plus haut doit avoir une. certaine, énéralité. П semble done permis de formuler ainsi les conclusions qui découlent des faits éta- is : г Jusqu au moment de lépiage, € 2 jusqu'au moment de la floraison, | wl fluence des engrais peut encore se faire sentir d'une manière énergique A la fin de la floraison, lorsque. la rain est formée, l'influence des engrais ancii ou récents doit étre nulle ou peu 8 sur la récolte. elles sont, du moins, les conséquences des faits observé és dans les conditions de Ж 5 dans les conditions particulières, anor de culture en serre ou en pot? Lex rience seule pourrait en décider. Parmi les conséquences pratiques 4 semblent encore découler tout nature ment des résultats précédents, lune © plus importantes peut se formuler аш x Il n'est pas nécessaire qu'une réco parvenue à maturité pour qu ‘elle a duit sur le sol son effet épuisant; cel - sement est déjà parvenu presque maximum à la fin de la floraison. M Il ressort cependant encore 468 A numériques, que la matière organique зан dite, la matière carbonée, ncore atteint sa limite d’aceroiss nd la provision de matières mi semble déjà compléte. M 3 Se J. Isi. PIERRE: ГАСНЕМА НА LUTEOLA Jacq (ap ° ] А Ae “ге froide 1 | | 1875. LACHENALIA LUTEOLA saco. Liliaceæ 5 Asphodelee 96 Hyacintheæ. СПАКАСТ. GENER. —- Vide supra, vol. XVII, | cis, eum limbo petalorum interiorum patentissimis. p. 161. SCHULT à ET Lachenalia luteola Jaco. CHARACT. SPECIF. — Foliis geminis, elon- | ү, TuÍCOLÓR VAR We galo-lanceolatis, inæqualibus, plerumque immacu- L. : : E S e ert wes QUADRICOLOR LUTEA SIM. 45 ; SCapo erecto ; corollis propendulis, eylindri- L. FLAVA ANDREW. Tout ce que nous avons dit du Lache- | entre eux que par la couleur de leurs nalia pendula tricolor à la page 161 du | fleurs. Pour ne pas nous répéter, nous XVH” volume de la FLorE , s'applique | renvoyons le lecteur à l'article précité. au Lachenalia luteola; ils ne différent ! L. VH. T 1934. DÉTAILS HISTORIQUES SUR LES POIRES D'ORIGINE BELGE, РАВ M. B. C. Dr Мовтиев. dehors du domaine de la science pure, | Germain trouvé dans la forêt de Saint- M. Du Mortier, vient de publier un livre | Germain, le Beurré gris, le Doyenné et le d'un grand intérêt, auquel il a donné le | Colmar ауее la Bergamote. Les Poires cas- D D % te Justifié parce que cet ouvrage renferme | constituaient une très-rare exception. » la description des variétés de Poiriers qui, Nicolas Hardenpont était né à Mons, en ont ance à Tournay. En outre, | Hainaut, jui 5; il y m le savant auteur a fait précéder cette partie | le 51 décembre 1774. Aprés avoir fait ses fondamentale de son travail de deux cha- | études à l'université de Louvain, il entra pitres instructifs dont Pun est intitulé | dans le sacerdoce et devint prêtre séculier Pomologie belge, tandis que l’autre est | dans sa ville natale. П possédait, au pie Sion de rédaction a. pens ; ces chapitres réunissait de nombreux | arrière-neveu ; c'est là qu'il accomplit, avec renseignements historiques dont il serait | un succès merveilleux, ses travaux perse- оп de présenter un relevé aux lecteurs de | vérants en vue d'obtenir de nouvelles се Journal, et elle a décidé que ce relevé, | variétés de fruits et qu'il dota son pays de €n partie analytique, en partie consacré à plusieurs sortes de Poires qui surpasserent, Une reproduction plus ou moins complète | dit M. Du Mortier, tout се que ton conz de divers passages, trouverait place dans | naissait alors et qui depuis: n ont pas e la Reyue bibliographique étrangère. La | détrônées : le Beurre d'Hardenpont, le Belgique et Tournai en particulier ont | Délice d'Hardenpont, le Р asse-Colmar, T ssez puissamment contribué à l'aceroisse- | Beurré de Rance et la Fondante du Pantset. ment de nos richesses pomologiques pour | Du rapprochement de diverses circon- ida Y ait un intérêt réel à savoir au juste | stances, le savant botaniste t * que nous leur devons sous се rapport. iert 9 ре М. Du Mortier fait remonter l'onikine de | ses semis vers l’année 1750, AME les e la pomologie moderne à l'abbé Nicolas pris ses licences, et qu'il en өр? it es denpont. « Avant lui,» dit-il, « on ne | résultats pendant une trentaine quic ossédait qu’un petit nombre de Poires fon- | en moyenne; en effet, diti], une viel n XVIII, б. = © © "о = б = © = © = = Ф un e = = = "3 =. E E --- > "i = > © = Ld Ф ee 5 = © = — > = = e- Lei - e = © un = 22 = = б т "2 > — e 2 B g © 5 S = о | rt eme? les dates de 1758 l'obtention du Passe-Colmar, de 1759 celle M Beurré d'Hardenpont, de 1762 à celle du Beurré de Rance. Plus tard encore venus le Délice d'Hardenpont et la 22 a- intéressant Ra avor par quel moyen Nicolas Hardenpo st parvenu à obtenir ces fruits is qualité out renseigneme ais "M e que l'heureux omologue que ce fut au à l'immortel Linné. Il n'hésite pas à dire: «Le Beurré d'Hardenpont est, à nos yeux, un hybride du Besi de Chaumontel et du Doyenné. 11 a le bois tortueux, la feuille crolée( (1), la ager nous apparait comme u s du Colmar fé- condé par le Kate m a le bois allongé, la tige diffuse, la feuille plate du Colmar, la fleur et le parfum m du Rousselet. Le Beurré de Rance est йй évidemment à un Bon-Chrétien fécondé par un Colmar : bois, feuille, fleur, forme du fruit, pédoncule du Bon-Chrétien, succulenee et chai Colmar. Enfin, le Délice d "Hardenpont est, à nos yeux, le produit d'un Colmar fécon dé par un Beurré gris : bois allongé, feuille, forme du fruit et caducité du premier, chair beurrée et peau fine du second. Les gains de Nicolas Hardenpont ini longtemps à sortir des limites de la Bel- = = ut se L. Noisette, étant venu à Enghien (Belgique) faire des acquisitions de plantes chez Par- mentier, eut occasion de voir en même temps, au château du duc d Aremberg, le Beurré "Hardenpont ainsi que le Passe- Colmar qu'on y cultivait. A son retour . France. H est essentiel d'ajou (1) Nous арори cette expressio familière Es botanistes P n qu: est | uv gique, à peu près ce qu'on appelle en nan ondulé. (Note du Rédacteur), | 5 | connus. Le | département de Jemmapes, M. de Conin MISCELLANÉES. à Paris, il rapporta des greffes de ces deux fruits. Malheureusement, si le nom du dernier fut respecté, le mier fut changé en celui de Beurré Zielen qui n'avait aucune raison t qui néanmoins a été généralement pU en ler que ce méme Zeurré d'Hardenpont est beaucou plus souvent nommé, dans les environs de Mons, Glout-morceau, d'où nous ау ons fait, en France, Goulu-morceau. « Ов, > it M. Du Mortier, » le mot glout, gloutte, en Eu signifie friand : glout morceau signifie done friand morceau; goulu, au contraire, si- gnifie mangeur avide, gros mangeur ; ainsi le Beurré d'Hardenpont est devenu, par une étrange altération de son nom, mangeur vorace, au lieu d'un fruit digne d'étre mangé, On a fait méme plus et ona confondu le gain de Nicolas Hardenpont avec le Glout- -mor x de Cambron, Poire entièrement diffé et de second ordre, le tout sans кол фе autres noms qui ont été imposés sans plus de motifs au бш de labbé belge, tels que ceux не Beurr du Kent, Beurré Lombard, ete. Hardenpont eut bientôt des imitateurs en Belgique. En 1787, p eec phar- Mons, gagnait des semis de Calebasse, le Beurré Capiaumont, variété remarquablement producti iye. Vers la méme époque, Dorlin obtenait la Poire de Saint- Comte la ч d'or était gagnée à Oignie 'abbé Bardou obtenait le mé zs Bar riis ou Sege an bg Au commencement de се siècle, l'œuvre commencée par Hardenpont fut continuée à Mons avec egen fruits qu'on y vit apparaitre est le Beurre Liart ou B. Na BC l'une des Poires les plus exquises que nous possédions, et dont le docteur Jahn a dit avec raison : < ell Zem L'histo fruit est racontée e=. Poiteau уре" de [а Soc. d'Hortic. de Paris, ХІУ, 185 p. 564) d'une maniére inex acte, que contre disent doit M. Daras de Naghin. ui fut témoin oculaire de се Kus se passa, et les contemporains que Du Mortier a gain de cet excellent un tel retentissement que le "оті remit, à titre de récompense, une E. MARILANDICA SPIGELIA Rustique . Amér. sptn. 3 1 1874. SPIGELIA MARYLANDICA r. AREE no GENER. — Vide supra, vol. XVII, р. 121. CHARACT. SPECIF. — S. caule erecto simplici quadrangulo glabro, foliis sessilibus ovato-lanceo- latis acutis vel acuminatis , margine nervisque | le DC. той”. Spigelia marylandica Г. Syst. 866. Jolie plante vivace, rustique, de moins d'un pied de hauteur, originaire des parties méridionales des États-Unis ой on la reneontre ornant la lisiére des bois de ses fleurs d'un beau rouge, à sommet jaune, qu'elle montre de juillet en septembre Aimant 1а terre de bruyère et l'om- bre, elle prospérera à la marge des pares de Rhododendron ou dans les plates-bandes fraiches, réservées aux Cypripedium, Trillium, Swertia, ete. Sa multiplication s'opére r3 gent au printemps. nue d'or à l'obtenteur. Celui-ei tenait à ce а Poire portàt son propre nom, mais le préfet la baptisa Beurré Napoléon. Le fait de la Pre donnée à Liart a fait donner à son s le Hainaut, le nom de Médaille. temps aprés, l'abbé Duquesne fit n tour un gain excellent dans la Poire d il nomma Harie- Louise, fruit qu'on a So: à tort attribué à Van Mons ; puis, 1817, D ен obtint le Beur ré possa nies, fruit excellent et trop peu қажы qu'on a aussi fausse- ment attribué à à Van Mons e son côté, Enghien compte deux gains précieux, lOrpheline et la Fort tunée. La première fut obtenue par l'abbé Deschamps, directeur du couvent des orphelins ФЕ ghien. Van Mons la débaptisée et l'a répandue dans le Brabant sous le nom de Beurré d'Aremberg. La Fortunée est due, non à Parmentier ni à Van Mons, e eri оп Га dit, mais à M. Fortuné de Raism C'est encore d'Enghien qu 'est sorti M. Chà- tillon n qui, s'étant fixé à Alost, y a obtenu la Fondante des bois, 0 u Bosch- peer, l'un es fruits les plus Pom | e Brabant et la Flandre impériale ont is naitre aussi quelques fruits précieux qui раа de la fin du siècle dernier et dont е est resté inconnu. Telle est үзі out la Zergamote et Pentecôte ou oyenné d'hiver, que Van Mons nous apprend avoir été gagnée Weis le jardin , dan Va de de Jess, et qui fut. ré- des capucins dans les villes ой ils ocn Sege de Pâques ; ps; à Ter- litz C'est he à la fin du siècle dernier que le Beurré des Trois-Tours (dry-torren) à l'ancien château du lèbre il avait été propagé deeg tous les environs de Vilvorde. Van Mons ayant eu des greffes de cette variété, а débaptisa sans motif et lui donna le nom de Beurré Diel, sous lequel il la déerivit en 1819. = derniére dénomination a prévalu; mais n Brabant c'est toujours le Beurré des Tr os -Tou n. fin sie actuel que doivent. remonte es bois et le жай "Msn hiver. La ière, faussement gos àVan Mons, d'Alost et nommée Boe" Poire des bois. La rte en fut due à M. Chátillon, hortieulteur distingué, de qui elle reçut son nom. « C'est certainement, » dit Du Mortier, «l'un des fruits les n précieux et les plus dignes d'étre cultivé. › Quant au Zeurré blanc d'hiver, excellen t fruit de j janvier, il provient de Lierre en Brabant, е s en existe encore un arbre âgé = à 80 ans. L'obtenteur en est inco Malines fut eneore un centre important de production pour la pomologie. C'est à cour de cette Pur qu'on doit le Colmar Nélis ou dicus de Malines, variété НЫ Avec А Malines appartient encore le major Esperen, à qui l'on doit beaucoup de bons fruits, entre autres les suivants : : cassante, ا‎ зне de Bavay, Beurré Bre- tonneau, e L'hom "ion qui a donné la plus vive im- pulsion à la pomologie est Van Mo ons, à qui on doit, dit M. Du Mortier, l'activité qui a régné en Belgique GE son époque. Van Mons avait fondé à débris à Louvain, et gagna une infinité de fruits nouveaux dont un très-grand nombre ne fut pas méme nommé. Son gain trans- cendant fut son Nec plus ultra, connu sous le nom de Nec plus Mos. dont on a fait : vait seulement et par abréviation, nec IM еп ajoutant à ces deux mots le nom de son Jardinier Meuris. Ce qui a fait не ме 1а о de се grand pomologue, c'est, d'un côté, sa théorie du semis, de l'autre la бот des bonnes variétés nées en Belgique, qu'il répandait трт toute l'Eu- торе, mais presque toujours en en chan- geant les noms. Sa “Ұқ du semis consi- stait à soutenir qu'en ressemant sans cesse les Poires nouvellement gagnées, on arri- MISCELLANÉES, verait à ne produire que de bons fruits i manière à п’ауо plus besoin de greffer les Poiriers. Cette théorie a acquis une véritable célébrité et elle a fait école dans le Brabant. « Certainement, » ajoute M. Du Mortier, «il y a du vrai dans la théorie de Van ‘Mons. surtout au double point de vue de la rapidité de la mise à fruit et de la disparition des qualités ere, et sau- vages de beaucoup de Poires de semis; mais aussi, en opérant Ae à sorte, si l'on obtient une plus grande quantité de fruit mangeables, on finit par n'obtenir que des fruits trés-petits её de qualité médiocre. C'est се qui explique comment re Mons et ceux qui l'ont Set avoir tant semé, ont laissé si peu de Poir dun mérite réel, des Poires кырс. mais absence de sucre et de sa C'est surtout. dans le: вери Wallon ue cette théorie a fait école. M. Bivort, continuant l'œuvre de Van Mons, а re cueilli ses pépinières et obtenu quelques bonnes nouveautés. a été suivi par MM. Bouvier, Berckmans, Grégoire, Beau- man, Nélis ct de Jonghe, ‹ qui om mis dans le commerce une quantité beaucoup trop grande, selon notre auteur, de Poires de semis. Enfin Tournay est venu, de son cóté, enrichir considérablement les listes pomo- logiques. « En Belgique, » dit M. Du Mortier, «si Gand est la capitale du royaume 9 Flore, Tournay est la capitale de celui de Pomone. Cela est dû à un sol argileux el calcaire, exceptionnellement favorable t goût et au parfum des fruits, et puis ше | au soin religieux qu'on y a pr is de ne um 2 tiver que les variétés les plus exquises | les mieux épr ouvées. On 1 nombre, mais à la qualité, | impitoyablement toute Poire d'un me secondaire. » « Dans le siècle dei nier, queque puc avoir été obtenues à Tourna; i Calebasse, la Mansuète de Tournay, oire David et la Calebasse à la Reme. , » AU € Mar quise d Hem avait été x Ce 1 ` et on sacrifié ‘pite TE ge du siècle dernier et a de celui-ci, MM. Joseph de et Francois de Hove ee: co is af “ent bientôt suivis | à semer; ils furent pes MM. Norbert Bouzin, doyen qe Gabriel Everard, € harles-Louis Durond Joseph ) Florimond Castelain , үу vise pas al f Plein air. 1875—1876. CLEMATIS PATENS JOHN GOULD VEITCH. Exposée à Paris, à Gand, à Londres, elle y a reçu l'accueil que mérite une plante de son importance hors ligne. Ses fleurs, trés-nombreuses, supérieures de forme et réguliérement doubles, me- surent plus de quatre pouces de dia- mètre et sont les plus belles du genre; leur couleur, d'un bleu porcelaine, est des plus tendres. Introduite direetement du Japon par notre excellent ami John Gould Veiteh, elle porte son nom, célèbre désormais, et eher à l'hortieulture reconnaissante. Bien que les Clématites soient habi- tuellement eonduites sur treillis, nous ne saurions assez insister pour qu'on en laisse ramper simplement sur le sol qu'elles tapisseront admirablement. Plan- tées isolément entre d'autres arbustes, elles encadrent ceux-ci de parures nou- velles et forment un ornement perpé- tuel jusqu'à ce qu'arrive la triste saison des gelées, L. ҮН, Isidore Dubuisson , Pringalle , Daras de Харц, etc., à qui l'on doit d'excellents gains = Société 1 royale d' puer de Tour- encouragea vivement ces travaux, et м. Du Mortier n 'hésite | pas à dire que toutes lesP en Be elgique , durant ce ` siecle, figurent parmi celles pour lesquelles elle a décerné ses médailles. < C'est ЈА seulement, > dit-il, Beurré dire » Done Colmar tier, b Beurré de Ghelin, 1 а с Zodi w Beurré Pr te ete., les suivent de pré our compléter son bietorique, M. Du Mortier АҒЫ дең la liste des Poiriers obte- nus en Belgique, en les classant d’après les semeurs à qui on les doit. ден гергофи- | = rons cette liste en la simplifian 1° Poiriers obtenus par VAN “Mons. E Alexandrine-Hélie Arbre courbé. Arlequin musqué. — Beurré Colmar. — Beurré Curtet. —- Beurré Deconinck. — Beurré Du Mortier (son vrai nom, sous lequel M. Du Mor ег Га recu de l'obtenteur, 5s est Verte Du Mortier). — Beurré Gens. — | urp | Mons. — Tout Beurré Sterckmans. — Bois Napoléon. — Charles Durieux. — Charles Smet. — harles Van Mons. — Colmar d'Aremberg. — Colmar de Meester. — Colmar Josse Smet. 'olorée d'août. — Comte de Flandre. — Gegen à la cour. — Corps lic prodique. — oye Nec plus ultra, Meuris. — Nouveau Toto, — diete Va an | Mons. -— Retour de Rom dore Van asse Meuris. — t il faut. — Vert Du Mor- tier (voyez Beurré e Mortier). ме Rosa. سے 9e Poiriers obtenu 4. -- Ber они Esperen. — езі Esperen. — Во d Gustave. — Charlotte de Browwer. — ible Rousselet. — mar assii: — Pas cesse Charlotte. — e Marianne. — — Soldat Laboureur. — . — Vineuse C E: if . Ву Zap — elle 86 dame Elisa. — Mgr Affre. — Pie IX. Prévost. — Prince Albert. — Willermoz. Ar Poiriers obtenus par M. Brnckwaws. — Alexandre Bivort. — Beurré de Wet- teren. — Emilie d Heyst. 5° rid obtenu par M. І.сірохт. — — égi 6^ Potier obtenus par M. Simon BOUVIER. e Ас ^. — Souvenir d'Es- en. — Triomphe de Jodoigne. 7° Poirier obtenu par M. BEAUMAN. — Bergamote Hertrick. 8° Poiriers oblenus par M. De Joxcur. MISCELLANÉES. — Délicat. — Bronzé d'Enghien. — Col- mar Marnix. — Duc Alfred de Croy. — La n Î igue. — Prince Camille. — Robert Т 9» сағы obtenus par М. GREGOIRE. м Grégoire. — Anna №5. — Avocat llard. — Avocat Nélis. — Bergamote de —— Jodoigne. — Beurré Delfosse. — Colmar Delahaut. Emilie Minot. — Gérardine, — Gilain J. J. — Hélène Grégoire. — Henri Grégoire. — we Ledocte. — Iris Grégoire. — Incon- able de Beauraing. — La cité Gomand. — Mathilde Go- жала. — Ито Tan > r bour. — Nouvelle Aglaé Grégoire. — Nou- vel ulvie. — Précoce de Jodoigne. — l Président Muller. — Président Royer. — Prince impérial. — Professeur Heng, — Rousselet Vanderveken. -- Sénateur Mosselman. — Soldat Bouvier. — Sou- venir de Léopold Iv. — Souve e la Reine des Belges. Bouvier. — Thérèse Kumps. — Transyl- vanienne. — Vice-pr ee Delehaye. i XX V® anniversaire de L phyrin Grégoire. — о indi (Ann. de la Soc. Imp. de Paris). t 1935. RAPPORT SUR LA 14° SESSION DU CONGRÈS POMOLOGIQUE DE FRANCE, Tenue à Lyon, en septembre 1869. — Rapporteur , M. Миснемх, délégué au Congrès. Messieurs, Le Congrés pomologique de ae e s'est réuni, le 15 septembre dernier, à Lyon, où, il y a 14 années, il avait pris naissance. Délégué par M. le Président pour aller prendre part aux travaux de cette session je m'y suis trouvé compagnie de MM. Jamin pére et Charollois, nos collè- gues, i tous deux appartiennent à cette associa H Les Ee res venus, comme toujours, de (utes. les parties de la France, se sont trouvés réunis au nombre de soixante- dix : ils ont éprouvé le vif regret de n'étre pas reçus, dans cette partie du Congrés, par M. le олай Réveil, leur vénérable et aimé Président, que. 16 mauvais état de за santé avait tenu éloi Néa anmoins, Pocta abii à l'ouverture e z LN on, M. Réveil, par acclamation, nommé Président. d honneur et M. Po reher, l'honorable Président de la Société d'Hortieulture d'Orléans a été élu à l'effet de diriger les travaux de l'Assem- blée qui, une fois de plus, a mis à l'épreuve son savoir-faire et sa bienveillante affa- bilité. Au bureau, € du Président, - rent des Pomologues dont la renommee à fait connaitre Le p» des MM. Mas, de Mortillet, Willermoz, ce esae à titre de Secretaire- général. M. Est enne, Vice-Président de la Société de Lyon, sur ses instances pres santes, n'a occupé que la place de 1% Vice- Président du Congrès; enfin, M. Reverchon a été maintenu dans ses fonctions de Tréso- rier, dans lesquelles il a rendu à l'Associa- tion des services qui sont bien appréciés par ses Membres. jait Le programme de la 44° session M oen d'abord S ve fruits mis à pie ено: er opér: et confiée fruits à pepins, dont M. Mas fut et dont j'eus l'honneur d'être le Send fruits à noyau é rable M et au ge? zm laquelle M Boucoiran, de Nime pet enfin, les chargé de tenir la plume; vaux pré parés par les Commis : chaque jour arrétés dans les ers générales dont les procès-verbaux; S + ЦЕЛЬ: IMANTOPHYLLUM CYRTANTHIFLORUM Lindl. % Gand. Serre temperee қа” 1877. DIANTOPHYLLUN (луі) CYRTANTHIFIORUM. a. vu АшагуШ асе». CHARACT. GENER. — Vide supra, vol. IX p.257. L'un de nos fidèles vieux chefs de seeuon, M. Charles Raes, auquel nous devons nos. meilleures Gesnériacées, s'est avisé un | de féconder des Imantophyllum nobile par des 4. minia- ; Фой sont nés les hybrides que nous avons nommés Í. cyrtanthiflorum. L'un de nos meilleurs botanistes au- quel un acquéreur avait présenté cet hybride sans lui faire connaitre [а source d'où il l'avait tiré, en a fait une espèce nouvelle et lui a procuré les premiers honneurs de la publieité. | HYBR. : ex Zmantophyllo nobili et Г. miniato ata. ` |. Le beau feuillage de cette noble plante décore à lui seul la serre qui l'héberge; il est persistant et ne s'embarrasse pas des hampes multiflores qui naissent et se succèdent sans cesse autour de lui. eut avancer que l'Zmantophyllum eyrtanthiflorum est perpétuellement fleuri, tant est longue la durée de ses fleurs qui ressemblent assez bien à. celles des Cyrtanthus. П va de soi que la serre tempérée est son élément, tout eomme celui de ses trés-proches parents. L. ҮЙ: comme d'usage, seront publiés, ne man- queront pas d'offrir de l'intérét. Certains fruits, suffisammentconnus après plusieurs années d'attente, furent admis; d'autres, Jugés sans valeur, furent rejetés; d'autres enfin furent maintenus sur tableau pour être mieux étudiés. , “ette première partie du programme etant remplie, de nouvelles variétés dans chaque sorte furent signalées à l'attention du Congrés. — Quelques-unes parurent pro- mettre des avantages pour la culture et, à се шге, elles furent inscrites pour devenir à leur tour des sujets d'études pour l'asso- ciation. n a souvent objeeté qu'il n'était pas donné assez de publieité aux travaux du Congrès pomologique ; il importe, en effet, eg qu'ils obtiennent toute leur utilité, édition, revue et mise au courant, du cata- logue général de tous les fruits admis. Je crois aller au-devant de vos désirs en vous — » [n] M MM MEME n) ТОБЫЛ ВЕ шу А rendant compte avec quelques détails de tous les fruits dont il a été question. N'oublions pas que ces réunions, qui se tiennent à de grandes distances, présentent une difficulté d'exécution dont on ne peut atténuer les conséquences qu'en retracant le plus fidélement possible les travaux qui s'y accomplissent, travaux dont les absents peuvent faciliter la solution en faisant con - naitre, par des notes, les résultats de leur science ou de leurs épreuves nouvelles, C'est à eondition qu'il en sera ainsi que le Congrés peut étre véritablement une œuvre commune. Les décisions suivantes ont été prises sur les fruits soumis à l'Assemblée : Poires Amélie Leclerc (Léox Ісікке). Excel- lente variété, de moyenne grosseur, muris- sant en octobre, au moment où les bons fruits abondent, mais dont l'arbre délicat et absolument sans vigueur ne pousse pas assez pour qu'il soit avantageux de le cul- uver. Cette Poire peut avoir sa place dans le jardin des amateurs qui tiennent plus à la qualité qu'à la quantité; mais comme elle ne peut appartenir utilement à la culture érale, il gp sient aux principes | s de la mmander. ате Pubs. — -— À Fri t dont la np est inde, et sur l'identité duquel on on peut bien s'entendre. Comme il е die variété mürisant au commencement de septembre, époque à eise les а Sg ne font раз défaut, on а préféré qu'il n'en füt plus question et on Га rayé de la liste. Louise Bonne (Hur). — Autre Poire dont on n'a pas unanimement rendu un compte satisfaisant et, d'autre part, sur e? = оп ne peut se en la voya confondue avee une autre qui aurait nom Die Sr (Встіу). Па paru également P du Congr Ch ме Vo ce nom sur la list "ns en a été retiré, Sénateur Réveil (JoaxNoN). — GE ob- tenu 1 we eue Í de pu passer de la liste sur celle des fü à ne paraissait pas assez méritante pour perpétuer, comme ou l’eût désiré, le nom du Président affectionné, fondateur du Congrè $ Poires déjà | inscrites et maintenues à l'étude sont les suivantes ; je les cite sans “ro magie puisqu'elles reviendront sur et Auguste Ng (GREGOIRE Néus); Ber- OU ; Beurré Тарр’ Canour. den; Enfant Nantais (Gnovsskr); Huntington L ; Jacques Chamaret (Léox ECLERC); Jules d'Airo- les (Léon Lecenc); Madame Bonnefont ; M. Cuissard; M erte; Marie Benoist : Marie Guise ; (Guise); l (La GE); Sœur La Zei (GRÉGOIRE Мень); G ILLÉ DE eques р); s Belges (Grécome Мі); dose : Vice Prési - ent Deleh м $ "E elehaye ығы zeng les noms des p Ë oires mis à l'étude dans la 44° sessi ion : S Souvenir d' Hortolis père. — Petite Poire * MISCELLANÉES. que M. Hortolés, de ao présente comme mürissant en juillet e » COn- venant à la grande culture, ы un as- ресі attrayant, un gout agréable et pouvant être l'objet d'un commerce avantageux pour les marchés. Professeur Hennau (GREGOIRE Ха). Gros fruit de novembre et décembre, de Ir quum suivant M. Willermoz qui l'a indiqué Steven’ 8 Genesee. — чө fruit étranger, assez volumineux, se mangeant en septem- Dre et octobre, se dé par MM. Mas et Willermoz. Do qucd Boisnard (BOISNARD). — Assez grosse Poire de bonne qualité, dont la ma- turité se complète en décembre, signalée par MM. Baltet et Audusson- Hiron : "arbre vigoureux et fertile, produit d'un semis fait par M. Boisnard, 'd'Angers, qui en a récolté les premiers fruits, il y a environ dix ans. Comte Lelieur (Barter). — Assez beau fruit, gain de MM. Baltet, frères, өгізі par ces Messieurs et par la Société impériale et centrale d'Hortieulture de France qui, au mois de septembre des années 1866, 1867 et 1868, en a ое la qualité. Madame Favre. — Des semisde M. Favre, provenant, dit-on, du lirê d'Hardenpont, mais l'arbre est "plus vigoureux que son type et avec des fruits plus hâtifs, с car ils mürissent en août. M. Techeney, pépinié- riste à Bordeaux, déclare en effet que l'arbre а une trés-grande vigueur. Notre Société ayant dégusté cette Poire, non en août, mais les 5 et septembre 1865, Га qua- lifiée de bonn Beurré Tous 204. — Présentation de M. Mas; arbre vigoureux et fertile, donnant, à la fin de septembre, ses fruits qui sont assez gros et ont du rapport pour la qualité avec ceux du Beurré gris. C'est sous le nom de Beurré Delannoy que cette Poire a été présentée, mais la connaissance maine plus parfaite de son origine nous fait espérer qu'on lui restituera, l'an prochain; son vrai nom ss Beurré Dill Корегізс — Forme de Bergamote, maturité fin. Cauke arbre d'une belle végétation et d'une grande fertilité; signa- lée par MM. Mas et de Mortillet. arfumés, mûrissant, dit-on, b depuis re] jusqu'en février. 746. DÉI Lith. depict. in Horto van Houtteano SLOXINIA SPECIOSA Гаа (Van Houtte) À y 1 y 15 * , , Semis бапа. rs tempérée. 1878. GLOXINIA SPECIOSA, IDA (Vax Hori, Majestueuse grande fleur, irrépro- chable de forme, de couleur crème bordé bleu de ciel. Fait partie de nos gains de 1868, annoncés à la page 504 de nos Catal. 150-151 réunis, et peut étre eonsidérée comme la plus belle, la plus noble fleur qui existe dans ce co- loris. L. VH. Ont été admises les Poires suivantes : elle a été jugée favorablement par celles de Beauvais, de Paris et de Lyon; elle est appuyée par MM. Morel, Bruneau et Audusson-Hiron ; sa maturité a lieu en octobre. . La chair est fine, fondante, beurrée, Juteuse, sucrée, d'un bon goût; l'arbre est vigoureux et bien productif. Hélène Grégoire (бкёсоте Nis). — Son ті А nombreux de M. Grégoire Nélis, d oigne, parmi lesquels elle se distingue. Elle est assez grosse, et le 17 octobre 1867, notre Comité d'Arboriculture la déclarait d'une chair fine, fondante, bien juteuse, d'un goüt délicat et un peu amandée. M. Mas et la Société de Paris l'ont recom- mandée, Lucie Audusson (А. Aubusson). — Gain e M. Audusson d' 1869, par votre Comité d'Arboriculture qui l'a qualifié de bon. L'adoption en a été pro- posée par MM.Willermoz et Rouillé-Courbe, ainsi que par vos délégués. Souvenir du Congrès (Moret). — Gain de M. Morel, horticulteur à Lyon. Arbre poussant bien; vos représentants l'ont constaté tant sur le pied-mére que sur des sujets greffés depuis trois ans, et se met- ХҮШ. tant bien à fruit; Poire dont Ја qualité est satisfaisante et qui est remarquable par son volume et son aspeet. Sa maturité, qui se manifeste en aoüt, lui donne un vrai mérite qui l'a fait bien aceueillir par les Sociétés de Lyon, de Beauvais et de Paris. Elle a été admise sur la proposition de MM. le docteur de Bout- teville et Hortolés. Procés-verbal, еп date du 29 aoüt 1867, de votre Comité d'Arboriculture énonee qu hair, blanchátre, moins fine que celle du Bon-Chrétien William, un peu cassante dans certains échantillons, personnes qui n'en aiment pas le goüt musqué. Vous le voyez, Messieurs, gráce à nos travaux del'année et à nos précautions pour en conserver l'analyse, vos délégués n'ont раз été pris au dépourvu et, avec connais- апсе de cause, ils ont pu voter sur l'ad- mission de ces quatre Poires. Pommes. erme. 7252 White Joanneting.— Fruit qui n'a d'autre : м : P étre encore étudiées : 12 90 MISCELLANEES. Marguerite (Early Margaret); Newtown КО бш; Pen dr ÁN 3 E = © м $ S с м ~ s à = =. ` Pomme-Coing ; P.-Poire; Reinette Clo- chard; В. de la Rocheblin ; В. des Carmes ; В. d'Osnabruck; Rose; В. de Benauge; ; t Calville d'Oullins. — Fruit d'une chair très-fine et bon ; très-propre à la conserva- tion et convenable pour le verger. Chailleux. — Pomme Фипе bonne con- servation, saccommodant de la grande culture et faisant l'objet d’un commerce important sur les marchés. On la récolte beaucoup dans les environs de Nantes. La société d'Horticulture de cette ville et celle de Paris en ont apprécié la qualité et ont obtenu son admission. Hughes! Golden Pippin. — Excellent petit fruit d'hiver dont l'arbre peu vigou- reux, il faut le dire, se préte peu à la taille. Il avait été particulièrement recommandé pour за parfaite qualité par la Société de Paris, M. Маз et le docteur Robert Hogg. earmain d'automne. — Variété an- cienne, d'un volume moyen et d'un fort bon goüt, mais qu'i sition de M. Mas. Herefordshire Pearmain. Fruit d'hiver, moyen, trés-bon, produit d'un arbre tré fertile et trés-vigoureux. Il y avait là de bonnes raisons r quil fût admis ; ed Mas et Hortolés l'ont surtout fait va- oir. Pepin gris de Parker. — Beau fruit, gris doré, de la fin d'hiver, assez gros, fort appuyé par M. Baltet qui a signalé l'excellence de la pomme autant que la fertilité de l'arbre. Royal Russet. — Appui de MM. de Bout- teville, Mas, Baltet, Mauduit, Robert Hogg et Morel ; n'y a-t-il pas unanimité en faveur de cette pomme et un fruit pouvait-il entrer dans la Pomologie du Congrès sous de meilleurs auspices ? Ф П est bon de faire observer qu'en France on l'appelle souvent, et à tort, Canada gris, variété cependant distincte et ауес laquelle celle еп question n'a d'analogie ni par le bois ni par la feuille. Péches. J'indiquerai d'abord les Pêches rejetées, qui sont : Grosse jaune de Bordeaux ; Grosse Royale de Piémont ; Impératrice Eugénie (Grain- dorge). Cette dernière, obtenue de semis à Bagnolet, а été sans doute trop facilement mise à l'étude, attendu que, faute d'être connue, elle ne pouvait être recommandée par personne. our mon compte, notre Comité n'ayant jamais été en mesure de l'apprécier malgré la proximité de son pays natal, j'étais hors d'état de faire opposition à sa radiation. n continuera à étudier la péche. Belle impériale. — Gain de notre col- légue M. Chevalier, de Montreuil. La déci- sion est peut-étre due à l'intérét que notre ` Comité Arboriculture témoigne résolü- ment pour се beau et bon fruit, quil а apprécié dans maintes circonstances. Quol- que nous ayons eu de la peine à nous entendre avec nos collègues du Congres sur cette variété méritante, je ne désespere pas qu'un jour, aprés l'avoir eultivée par eux-mémes, ils n'arrivent à en faire autant de cas que nous, tant à cause de la vigueur et de la fertilité de l'arbre qu'en raison de la qualité du fruit, qui se récolte assez tard pour gagner sur ce point un mérite de plus. Pêches mises à l'étude : | Une péche du nom de Belle de Toulouse a été désignée pour étre ultérieurement examinée; je ne sais rien de plus sur son compte. Abricots et Prunes. Les abricots Liabaud et Mexico, gains de M. Liabaud, restent toujours а ge Il en est de méme des Prunes de da^ briand, gain de M. Morel, et Souvemr 4 Me Nicole, obtenue par feu M. Nicole peres | respectable et zélé amateur, membre a Commission de Pomologie de Rouen. : Ces fruits nouveaux n'ont раз encor fait leur chemin. Cerises, J'arrive aux cerises parmi lesquelles à seul été admis le Bigarreau Grand. CYPRIPEDIUM BARBATUM GRANDIFLORUM ` Mont Üphir | | erre chaude . 91 1879. CYPRIPEDIUN BARBATUM GRANDIFLORUM. Orchidaceæ. ea GENER. — Vide supra, vol. Ш, | HH SPECIF. — Vide supra, es Al же ripedium barbatum grandifi Nous avons publié, il y a 25 ans, la figure, la diagnose et la deseription du Cı ypripedium barbatum ; nous ne pouvons que prier nos lecteurs de jeter les yeux sur le type de cette belle plante parue alors, afin de la comparer à la superbe variété que nous con- signons aujourd'hui dans la Front et qui en différe ex toto par la те inusi- (бе du segment supérieur, la beauté , et este toute la plante est plus robuste, les pédoncules plus solides, les fleurs bien plus grandes de toute manière, et ce qui la distin ngue encore du type, c'est la quantité de fleurs qu'elle donne. Le VH. Le Bigarreau Marjolet a été conservé à l'étude ; notre Comité d'Arboriculture a jugé ce dernier bón; tout en ajoutant, pour un. Bigarreau. Les variétés mises à l'étude sont Cerise anglaise hátive; Guigne hative à gros fruits; Guigne luisante à gros fruits hátifs Guigne ronde à gros fruits ; Guigne noire de Tartari te; Guigne à courte queue; Guigne Garcine signalée ar M. de Mor- tillet comme la plus belle et la deife des Guignes. Grande faveur pour les Guignes : je me demande si elles n'ont pas fait oublier quelques-unes de nos délicieuses Cerises. til pas là matière pour quelques recherches de la part des personnes com- Raisins de table as reconnu un mérite à suffisant aux E peri. 8 Bag cette cause, ' on les а rayées du t: Buckland ныша. Сын Hall Mus- (n'étant autre qu'un synonyme de Muscat Gett Diamant Traube; Duc d'Anjou; Dutch Ham burg; Généra Marmora; Ad le impériale ; Semis Antoine Besson 1 nt été maintenus à l'étude les Raisins: Black Prince; Frankenthal blanc; Lady Does Mill Hill кү des 05655 Forest; Précoce de Kie изйет ; Trebbiano (raisin de yc et Че table): Tschaouch Satra Uzum (synonyme : Pare de Meu de la pépiniere du Luxem- Ed Г On a en outre introduit sur la méme --. л E? Muscat Primavis; Muscat Salomon; Sultan sans pepin ; Clairette blanche (cuve et table); Chasselas des Bouches-du-Rhône (Semis n° 511, Веѕѕох, de Marseille) ; Sucré de Marseille (semis n° 515 du même); Souvenir du Congrès (semis n° шеше); Noir itf de Marseille (semis ° 521 du = méme). Un mot, Messieurs, pour vous dire que ces quatre derniéres variétés, accueillies à Lyon par la Com pen Wes aisins aprés dégustation, et ect Besson nous а envoyé des abe à Paris, sont ex- traites d'une collection de trente qui avaient été mises à la disposition du Congrès, en 1868, à Bordeaux. Les Raisins qui exelusivement appar- iennent à de cuve ont leur place dans les études du Congrès. Je me garderais bien de contester l'opportunité 5 cette exten- sion, car, en 1868, j'avais pris la parole série des Raisins de à ces derniers leurs concours, qui peut avoir d'autant plus d'efficacité qu'ils sont exercés aux minutieuses descriptions рс logiques et aux ir giri: sisi dungen qui en sont le MISCELLANÉES. t 1936. NOTE SUR LE CEREUS GIGANTEUS Excezmanx, ЕТ SUR SA DISTRIBUTION GÉOGRAPHIQUE, par M. Marcou (Jures). (Voir Fang, XV, 187 Dans le nouvea qui portait autrefois le no exique, si l'on suit la route ouverte par feu le général Whipple et son expédition, en 1864, expédition faite en vue de la con- struetion d'un chemin de fer pour relier la vallée du Mississipi avec les côtes de l'océan Pacifique, et qui s'est tenue constamment dans le voisinage du 55° de latitude, on arrive à un passage célébre pour les bota- nistes, qui porte sur les cartes le nom de Cactus Pass (passage des Cactus). De là on a devant soi, en regardant le couchant, une belle chaine de montagnes, nommée Cerbat, qui cache complètement la vue du Rio Colorado de Californie, placé derrière. Mais si l'on regarde au sud, оп voit une vallée u territoire d'Arizona, de Nouveau- rétrécissant, en appuyant un peu vers l'est. Si l'on suit cette vallée, on trouve, dans le fond, le lit d'un fleuve d'une grande largeur, mais sans eau; seulement, temps temps, lorsque la vallée se rétrécit mètres, puis se nouveau dans les sables. Cette étrange rivière, dont le lit est aussi grand que celui de la Seine à Paris, est eonnue sous les noms de Bill William Fork ou de Big Sandy River, le plus grand affluent du Rio Colorado, aprés le Rio Gila. ‚А partir de Cactus Pass. j quiu) 1, et pour les Cactus plus spécialement; Jamais moisson plus abondante ne s'est car, en outre d Conter, EchinocactusW islizeni, CereusEngelmanni, puntia chlorotica, Opuntia angustata , Opuntia basilaris, Opuntia Bigelowii, Opuntia acänthocarpa, Opuntia tessellata, Opuntia frutescens, c'est ici que se trouve le Cierge géant par excellence, le célèbre ereus giganteus ENGELM. „aen de plus étrange que cet arbre, si différent de toutes les autres essences ligneuses connues. Il ne forme pàs ee qu'on ‚ Peut appeler de forêt, car on ne le voit quisolé ou par groupes de deux ou trois ensemble, et l'on n'en apercoit jamais plus , fig. et deser. par ENGELMANN. de 60 à 80 dans l'étendue de pays qu'on om monilifera) et de que lons 4 Algarobia glandulosa et de Strom- bocarpa pubescens, qui croissent sur les bords de la riviére méme et là seulement où l'eau coule à la surface, on n'apercoit absolument pas d'autres arbres que ees Cereus giganteus, on peut dire que l'on est en réalité dans une forêt de ces Cactus géants, forét d'un nouveau genre, cela est vrai, et qui renverse toutes nos idées ordinaires, еп méme temps qu'elle donne au paysage l'aspect le plus inattendu et qui ne manque pas d'une certaine gran- deur: en effet on dirait des monolithes ou colonnes vertes, ou bien de gigantesques candélabres plantés dans les roches mémes, sans aucune espéce de sol végétal. Partout des rochers nus, calcinés par des chaleurs torrides ; са et là quelques buissons épineux de Fouquiera splendens et l'infecte plante créosote (Larrea mexicana); puis un de ces Cereus giganteus s'élance tout à coup а des hauteurs de 95 (77,875), 50 (97450) et méme 40 pieds (12,600). Le diamètre, à la Les racines sont et trés-fortes, et elles doivent s'étendre à de petites ramifications, car, dans ces pays, il y à souvent des trombes et des orages des plus violents; et cependant je n'ai pas vu un seul exemple d'un de ces Cactus, mort 4 vivant, qui ait été renversé. Les soldats : : grands efforts А parvenus à le renverser. Cependant la Dë miére impression, lorsqu'on les voit 180168, base minee, est qu'un homme doit pouvoir les jeter bas avec le pied. ài Le docteur Engelmann, de Houf e Missouri, а donné d'excellentes desee tions de ce Cereus, surtout dans te gier volume du Report on the United анн а Mexican. Boundary Survey. p. 42. Ж hington, 1857). Cependant j'ajoutera! т ques notes sur des questions qui ul Y Y CAMPANULA SOLDANELLÆFLORA PLENA. 9 SCH 9 T S Ce Plein alr. 1880. CAMPANULA (©) SOLDANELLÆFLORA PLENA, Nous avons reçu cette fréle реше créature de ММ. Gleichmann d'Arnstadt, Si on en compare la fleur à celle de cet hybride qui a nom Van Houttei, la plus grande fleur connue, on verra que l'une est l'antipode de l'autre. La С.(2) soldanellæflora est rustique comme la plupart de ses congénères ; elle se eontente de tout sol et y forme des touffes compactes, n'atteignant guére au delà de 25 à 50 centimétres de hau- 7 teur. L. VH. échappé, parce qu'il n'en a vu que de Jeunes individus ou des dessins incomplets faits sur les lieux. Pendant les trois ou quatre premières années seulement, le Cereus giganteus а une forme globuleuse ; puis il s'allonge en grossissant graduellement de la base vers le e = с = = z e = = оз = ше = о wi un e “2 = Ф un © = et e un © ES Ke س‎ > © = о SIX pieds, où l'on еп compte jusqu'à vingt, ne Seffacent jamais entièrement, зй sont consistance très-dure, et que les Indiens pieds (57,150) humecter la bouche. U giganteus sont très- rares, et partout où vous en trouvez, il y a à cóté un arbrisseau qui le p de 8 ou 10 pieds, est formé presque entié- été nommée Cercidium [отит Вехтн., a très-peu de feuilles, minces, droites со le feuillage des Gommiers, et l'ombr tectriee qu'elle parait étendre sur les jeunes Cereus giganteus doit ètre extrêmement faible. Mais quelle que soit la nature de la pro- tection de cette е Légumineuse à épines, le Cereus giganteus parait posae ү ée ҮҮ ta car, arrivé à u hauteur de 4 à ieds, il tue be ment son prote J'ai dit que e? KR Cereus giganteus étaient trés-rares ; tenir à plu- sieurs raisons. D'abord la récolte des fruits, d pepla en cg к те ans toute cette région, et vit exclusi- vement de бави де оне espéces d Cactus et des Mesquites ou Acacia, puis la nudité presque absolue du sol où il n'y a pas me de gazon ni de plantes rampantes, fait que presque aucune des graines ne doit échapper à l'avidité T cette jolie Per- drix, qui va par grandes troupes, comme sa voisine la Perdrix ps нан (Calli- pepla californica). Enfin d'autres oiseaux X e aux Indiens. Comme ces grands Cereus ne constituent pas, à proprement parler, de E ainsi que je l'ai dit précédem on compre venus à en recueillir 10 ou 12 ее pouvant avoir de 9 à 4 ап ыы SG n juge d'aprés celle que je possède depuis 15 années, et qui n'a crü que de 32 cent. pendant ce laps de temps(l), puis жалды Виа. (1) Qu гужа H "at recueilli d Mass giganteus, a r 1854, il n'avait qu centimètres rich à Salins (8 mois) ; de Salins à Bo de Boston à Salins (une ston (4 ans) ; à Paris (quatre seis s). année et demie) ; de Salins MISCELLANÉES. aussi d’après Іа grande rareté des jeunes, l'isolément des spécimens disséminés cà et là, et d'après la grande pureté de l'air de cette région, la plus sèche de toute l'Amé- rique du N h Nord, je suis conduit à regarder comme très-anciens les plus gros Cereus giganteus; je ne serais pas étonné si ceux qui ont atteint de 45 à 50 (14 mètres à 157,750) pieds de hauteur dataient de mil- liers d'années, comme les Sequoia gigantea, ces autres géants des foréts de la Californie. Les limites géographiques du Cereus gigan- teus sont assez restreintes, du moins autant imite qui n'est pas dépassée certainement, ainsi que 'ai pu m'en assurer par les renseigne- ments que j'ai recus, sur les lieux mémes, des Indiens Mohavies et du voyageur дине Leroux, Hide limite верен RS Fork), п Cereus g ^ зде parait craindre le voisi- nage ; du moins dans la vallée de Bill w iliam River, on ne le trouve ee? auprés du lit e la riviere, ni dans le endroits he où la rivière reparait et eourt toute l'année; puis, lorsque l'on approche de l'embouchure du Bill William, dans le Colorado, il devient de plus en plus rare, et à 8 kilométres Ж Гешһой- chure, on n'en apercoit plus un seul spéci- men. Il rues ч! il en est de méme dans Sé vallée du Rio Gila, ой il disparait plus 20 ki абе avant d'atteindre l'em- Bou hare du Gila dans le Colorado. Mais il occupe toutes les vallées et le pays entre le Bill William River et le Rio Gila. En remon- tant le Rio Colorado, à partir de Bill Wil- iam Fork, on n'en trouve pas un seul sur ^s rives du fleuve. Plus bas, en descendant le fleuve vers le fort Yuma, il parait que l'on a vu plusieurs Cereus giganteus, e à fait au sommet des rochers, dans la lée qui se trouve avant d'avoir ege 3 passage de l'Explorateur (Explorer's Pass), à dlométres, avant d'arriver au fort Yuma, dans les montagnes Pourprées s (Pur- ple Hills). Sur le bas Colorado, entre le fort Yuma et l'embouchure dans la mer Vermeille ou golfe de Californie, là. où des rochers arides s'élèvent de temps i à autre TROPÆOLUM Perou TRICOLORUM JARATTI » € р, ге 5 / froide. > с он, Von Houtteund. 95 1881. TROPÆOLUN TRICOLORUN er Tropæolaceæ. СНАВАСТ. GENER. — Vi ТА vier 1846, pl. Ill. Vide supra, vol. IT, jan- Les Pajaritos, petits oiseaux chiliens, sont toujours revus avec plaisir, quand revient l'époque de leur floraison. Mais pour les revoir, il faut s'y prendre en temps, mettre leurs petits tubereules en terre, et le premier printemps est la sai- son propice à cette opération. Faire voyager des Tropæolum tout poussés est toujours aventureux; aussi ne saurions- nous assez engager les amateurs à se |) СНАВАСТ. SPECIF. — Vide supra, vol. 1V, 569` proeurer dés maintenant les petites Ca- pueines tricolores et l'espèce à fleurs bleues (Tropæolum tricolorum et T. azu- reum, Prix-Courants n° 126, page 25 et n° 128, p. 145). La ЕьовЕ, vol. IV, p. 568 et XII, р. 800, contient des détails relalifs à la eulture de ees plantes, ete. L. VH. au-dessus des plaines désertes de sables, on trouve le Cereus giganteus. Jusqu'à présent, on ne sait pas avec certitude s'il traverse le Rio Colorado, et s'il existe sur la rive droite de ce fleuve, ni s'il descend 8 la Basse-Californie. Seulement, on alt quil descend depuis le Rio Gila jus- qu'aux environs de Ја ville de Hermo- sillo, en Sonora. ы est, le Cereus giganteus a été trouvé sur les montagnes qui bordent le Rio Gila е à l'embouchure du Rio San-Francisco кен, par le 55° 2 nord et le 110" 8 c gitude à l'ouest du méridien de юр iei Il se maintient suivant ce mé- аша n descendant en Sonora, ой on ve sa limite entre Cocospera et Zmuriz, ans les montagnes qui existent entre les > que le D* Engelmann a d bd a: de Cereus Thurberi, et il est prende m leur similitude ait pu les faire teurs n un pour l'autre par des observa- facile on botanistes ; cela est d'autant plus noni О: les Mexieains et les Indiens саза pes indistinetement les fruits de ces ы 22 — du nom de Pitajaya. L'un ou autre de ees deux Cereus se trouve dans l'État de Chilmalma, autour de Las Casas grandes et de Janos, à l'est de la Sierra Madre. Le Cereus giganteus ne s'élève pas beau- сопр au-dessus du niveau de la mer, et, dans toutes les montagnes de la région où on le rencontre, il ne dépasse pas 2000 pieds anglais (650 métres) au-dessus du niveau de la mer Vermeille. Enfin le climat de tout le pays ой on le trouve est des plus ehauds et des plus sees surtout; il ne pleut que trés-rarement dans les vallées du Bill Wil- Gila. Та moyenne annuelle de la température de 1 i e + 16° cent.). Pendant le mois de janvier, le froid y est assez vif et le thermomètre pour trouver semblables à celles que et à Pimos, moyenne qui s'élève jusqu'à 959 Fahrenheit (+ 27 1/9 cent.) pour le mois de juillet. Malgré quelques contestations que l'on a pu élever, le premier qui ait découvert le v 1 y Cereus giganteus est le major américain U.-H. Emory, commandant l'avant-garde de l'armée de l'ouest, qui était chargée de conquérir la Californie sur le lexique. Dans son rapport, publié à Washington en Т 1937. EMPLOI DES EAUX . le Secrétaire perpétuel ajoute à une intéressante communication de M. Frey- cinet au sujet des eaux d'égout, les remar- ques suivantes, destinées à la compléter : l'objet d'expériences comparatives à Paris. Le dernier système = soumis à Londres, depuis trois ans, à à un emploi en grand qui mérite la plus sérieuse attention M. Hope, qui dirige cette dernière exploi- que l'équivalent des eaux d'égoüt fournies par Londres en un jour. Les résultats ege jusqu'iei à Edim- bourg et à Lo ont cependant trés- point d vue de lhygiène et méme "d Up seen En effet, l'expérience démontre : 1° que les ади de Rye-Grass absorbent immé- diatement toute l'odeur des liquides qui les arrosent; 2° qu'à 20 ou 25 mètres’ du к ой elles sont rec 5, aprés avoir traversé le sol de la prairie sont rejetées par les tuyaux de drainage à l'état limpide, inodore et insipide; 5° que les végétations spéciales aux eaux d'égout ne S'y manifestent plus et sont remplacées par les plantes ordinaires des eaux cou- rantes; 4° que la végétation du Rye-Grass е incontestable dans les chiffres fournis “le perpétuel par E Frank- lud, qui s'occupe avec un soin extrême de tout ce шы Late la salubrité dia eaux de Londre узен est rapide et rend trés-bien Mm de la prompte désinfeetion du quide. L'expérience séculaire d'Edimbourg dé- montre, en outre : 1° que le sol nes infecte pas; 2° que les plantes cultivées ne pren- nent à la longue aucune qualité nuisible au bétail. MISCELLANÉES. 1848, le major Emory donne plusieurs figures très-reconnaissables de ce mam- mouth des Cactées, et il dit qu'il l'a ren- contré pour la première de sur les bords du Rio Gila, le novem 46.. (Ann. Soc. d'or de Paris.) D'ÉGOUT DANS LES CULTURES. Relativement à la question économique, M. Hope parait n'être pas convaincu que le Rye-Grass puisse donner seul les meilleurs Made au point de vue agricole, e t il mploie les eaux d'égout à des BEN variées comme on l'essaie | à Paris. La question hygiénique est done résolue et s: — agricole le sera bientôt elle- mén En effet ‚ M. Hope compare avee soin les cultures potagères diverses, les céréales, les pommes de terre et les racines féeu- lentes, les betteraves, ete., au Rye-Grass. rience, et ses produits ont obtenu le mier rang dans un concours spécial ouvert à Londres l'an dernier. A Paris, les mêmes études sont en cours d'exécution, et les dispositions gen dans la plaine de Gennevillers permettent de leur consacrer 5,000 mètres subdi pu d'égout par jour. i Peut-être sera-t-on conduit, toutefois, à considérer les prairies de Ry e-Grass comme un moyen de préparer, par l'emploi direct s eaux d'égout, l'herbe nécessaire à la nourriture du bétail, et par le ا‎ de celui-ci l'engrais de ferme nécessaire aux тн récoltes. Les рете formeraient un intermédiaire entre les eaux d'égout et les cultures habituelles de la ufo de labour ou du jardinage, et produiraient, en quel- que sorte, un raffinage de l'engrais d'égout satisfaisant pour l'imagination et très-bien calculé pour la marche des opérations agri- oles TE о 8 Il y a done tout lieu d'espérer que le systeme qui consiste à débarrasser les rivières de la souillure des eaux d'égout € à les mettre au service de l'agriculture prendra bientót définitivement place dans l'économie des pays civilisés ; carune ferme conduite par le procédé qu'on vient d'indi- quer en terminant ne différerait que par 54 fécondité d'une ferme qui aurait pour base des prairies irriguées par un cours d'eau ordinaire. (Académie des Sciences de France. ) , MSA У = иок Уд) BEA ar ALSTROEMERIA TRICOLOR Hook Chili Р/ */ ALSTROEMERIA PALLIDA Graham. Serre froide 300 "d | 1 | 1882. ALSTROEMERIA TRICOLOR поок. „= PALLIDA сплнам. Amaryllidaceæ. CHARACT. GENER. — Vide Fron, vol. 1, p. 98. ithulatis, breviter aeuminatis; stylo e filamentis albis ; antheris flavis; polline stramineo. вв. in Кохтн Emer. V, 769, по 17. Alstroemeria tricolor Hoor. Exot. Flor. t. 65. — Lon». Bot. Cab. t. 1147. Serene. Syst. 11, 80. ALsrROEMERIA PULCHRA Sims. in Bot. Mag. t. 2421. . Toutes les espèces de ce genre appar- tiennent à la Flore de l'Amérique méri- dionale; mais les espèces à tiges volubiles sont presque exelusivement ori- ginaires du Pérou, de la Nouvelle-Gre- nade et de la Guiane brésilienne. Nous en avons pourtant rencontré quelques espèces au Brésil, s'entortillant dans le fourré des bois. Elles croissent généralement dans les sables, et ceux-ci sont parfois d'une e blaneheur telle que nous doutions alors | pour ALSTROEMERIA FLOS MARTINI Gawi. in Bot. Reg. 1.751. — Loes in Hortic. Transact. VI, 82. CHARACT. SPECIF. — А. pallida Gnanaw. Fo- is, angustis ; sepali latis, rotundatis, mueronulatis ; perianthio denti- is 9 superioribus medio avis, rubro-, i Kuntu, Enum. У, 772, n° Alstremeria pallida GRAHAM, l.c. — Ноок. Bot. Mag. t.3040. Hic ad nat. viv. delin. et piet. buleux; ces derniers nous donnèrent même le change, au premier abord : ils avaient un faux air de Pomme de terre; mais, n'ayant pas de gemmes, ils ne constituent que de simples renflements, des réservoirs de nutrition qu'on ne rait détacher impunément, саг ils + 1938. DE L'EAU DE PLUIE ET DE L'EAU les plantes, les engrais, au profit des mem- manque que trop souvent dans d’autres pays, où Гоп suit de préférence une rou- tine aveugle et inexpérimentée. P Au nombre des objets les plus curieux à analyser, doit assurément se présenter en première ligne l'eau at du drai- nage des terres. Ces recherches, toutefois, ne sont pas aussi simples qu'elles le pa- raissent au premier abord; car il ne suffit pas d'analyser l'eau qui vient à couler par les drains, il faut encore porter les inves tigations sur l'analyse chimique du terrain, XVIII. PROVENANT DU DRAINAGE DES TERRES. sur la eomposition et le plus ou moins de solubilité des engrais qu'il a reçus, sur la géologie et la 3 nature, ses propriétés physiques, son aéra- tion, et enfin sur le plus ou moins d facilité avec laquelle il se préte aux opé- rations du drainage. | соста Un semblable travail serait trés-utile i à com- ien le par le drainage peut contribuer à lité de la terre, € T rendement des récoltes. Les réflexions que nous avons faites plus haut ntrent combien est grave et complexe cette ques- i i abord м n EI lr service immense à la fois aux | propriétaires et aux ingénieurs agricoles. 15 ALSTROEMERIA TRICOLOR forment évidemment un vade mecum sine qua non dela plante. Ces corps char- nus différent de ceux que portent les Dahlias en ce que, chez ces derniers, ces renflements fusiformes adhérent, pour ainsi dire au collet, d’où ils partent en s'élargissant subitement, tandis que chez les Alstræmères, les racines, tout en étant charnues, sont filiformes dans toute leur longueur jusqu'à leur quasi-extrémité oü paraissent subitement ces corps char- nus. La section des Alstræmères grim- pantes, les Bomarea Minpgu portent seuls de ces corps charnus de forme sphé- rique. Ils sont non seulement privés de tout gemme, mais ne donnent pas naissance à la moindre radicelle, au moindre chevelu. Leur surface est ru- dans le Gelasine azurea et dans un grand nombre d'Oxalis tuniqués, tandis que, chez l'Oxalis crenata, les tubereules sont munis de gemmes comme dans la ; lout eomme dans le Commelyna tuberosa, le sommet de ees tubereules fait corps avec le collet de la Hook. кт PALLIDA Gnanan. plante; ils sont glabres, chez les Orchis, les Ophrys ete., velus et produisant des radicelles dans le Commelyna, etc. ete. 5 А. psittacina et brasiliensis 2 (monticola ?) sont, dit-on, du Brésil; nous y avons rencontré ГА. plantaginea sur les hauts plateaux des Mines. Nous avons cultivé autrefois ГА. ca- ryophyllea, sous le faux nom ФА. Ligtu; il exigeait la serre chaude. Il nous а été donné cependant de rencontrer се dernier, le véritable Ligtu, dansles serres de M. Barelay à Bury-Hill, prés Dor- king, mais il y a beaux jours quil n'y existe plus! Il serait trop long de raeonter iei l'épisode de notre vie qui se rapporte à la découverte que nous y fimes de cette magique espèce dont nous avions mille fois révé. L'A. caryo- phyllea serait une espéce tropicale; le vrai Ligtu aurait été rapporté de la Con- ception, Chili, par Feuillé (Hers. 92). L'A. peregrina, originaire du Chili, est l'une des plus belles espéces du genre; on le cultive, de préférence, en pots que l'on n'arrose que pendant la eroissance de la plante et que l'on doit oublier en orangerie, pendant son repos. On rempote dés le premier printemps, en ayant soin de п’оссазюппег aucune mm ا ت ت‎ ge H ne faut jamais perdre de vue ce prin- сіре fondamental, à savoir que l'on doit rable que celle qu'elle peut contenir par ature. L'examen géologique de la terre езі ici, comme on le voit, de premiére necessite. l'eau qui, sur chaque la terre labourée et doivent faire connaître si p'us ou moins d'éléments centimétres au- sol. Toute la question est done entre l'eau P emplit les sillons d'un drainage à fleur u sol et l'eau d'un drainage souterrain. L'analyse de ces eaux intéresse au plus haut degré l'agriculture. Des sols nouvellement drainés, et spé- qui est stagnante 5 drainés est préjudiciable à cause des sub- stances vénéneuses qu'elle contient en dis- solution; que cette eau ne se perd раз tout entière par suite de la filtration ; que, dans quelques sols couverts de mousses où ferrugineux, l'eau de drainage est forte- ment colorée pendant les premiers Jours: mais qu'elle finit par perdre entièrement ALSTROEMERIA TRICOLOR Hook. кт PALLIDA балнам. meurtrissure aux racines qui sont mu- nies d'appendiees charnus, oblongs, sem- blables à ceux que nous avons déerits ci-dessus. — Bien que nous ayons parlé de sable pur, nous donnons à ces sortes d'Alstræmères du terreau végétal bien consommé, avec addition d'un peu de à froment. Chaque année les A. peregrina nous donnent des graines qui servent à leur multiplication que lorée dans les environs de Valparaiso; nos jardins en ont produit une magni- fique variété blanche connue sous nom ФА. peregrina albiflora. ГА. tricolor Ноок.(А. pulchra Sins.) est l'espéce iei figurée; il demande le méme traitement que ГА. peregrina. Originaire du Chili, eomme ce der- nier, il y eroit partieuliérement dans les montagnes graveleuses, prés de Con- con, et y fleurit au premier printemps de là-bas, c'est-à-dire en octobre. ГА. Neilli restera peut-être, pendant longtemps encore, à l'état de desidera- tum, bien qu'il ait existé au Jardin bota- nique d'Edimbourg oü jamais il n'avait produit ni graines, ni rejets du pied. 99 Nous en sommes réduit à soupirer et en voyant la jolie fleur dans le 58° vo- lume, n° 5105, du Botanical Magazine, ouvrage qui renferme un grand nombre d'Alstreeméres, illustrées aussi, mais d'une manière moins correcte, dans la Flora peruviana de Ruiz et Pavon, et ailleurs. L'A. aurantiaca, l'un des plus aisés à cultiver en plein air, est originaire de Chiloé et des bords des rivières, aux environs de Valdivia, latitudes qui té- moignent de son degré de rusticité. La longue durée de sa floraison, qui se pro- longe jusqu'aux gelées, le fait accueillir dans tous les jardins. ІІ prospère dans nos sables et y graine abondam- Ë ent. L'A. aurea en serait-il une variété? ses fleurs ne sont pas oranges, mais d'un jaune vrai. Nous ignorons si nous le possédons encore. On le rencontre parfois mélé aux А. aurantiaca que l'on achéte. "A. pallida est la compagne de ГА. tricolor dans la planche ci-Jointe; c'est, comme lui, qui fleurit et graine chaque année dans nos cultures et que nous ne saurions assez recommander. ce caractère quelque temps aprés l'opéra- tion ge. i u draina n sait aussi que sous l'influence d'une longue période de sécheresse, les substan- ces animales, les végétations elles-mémes xhalent une odeur produisent au sein de l'humidité et d'un air pur. 1 Dans tous les cas, il est facile de voir par les observations qui précédent que les différentes parties du sujet qui nous occupe sont liées entre elles par une connexion intime. La science expérimentale ou la ratique unie à la science exige pour chaque cas déterminé une réponse fondée sur l'expérience. | Si les propriétaires ient d 3 : жы ils peuvent influer Š di le Endement des récoltes variées qu on leur confie. HENRI VILLAIN. 100 ALSTROEMERIA TRICOLOR Ноок. кт PALLIDA Gnamnaw. Enfin les Alstræmères que nous avons livrées sous le nom de péru- viennes, appellation que M. Année leur avait octroyée et sous laquelle il nous les a vendues, forment un mélange dis- parate de coloris qui rappellent les psit- lacina, les brasiliensis et les Errem- aulti. Nous n'avons encore rien dit de cet A. Errembaulti, belge de naissance, puisqu'il est né à Tournai, du croi- sement de deux espéces dont nous ne dirons pas les noms, sont pas celles d'un descendant d'un pe- regrina, ni d'un tricolor ; que nos lec- teurs voient le portrait que nous avons publié il y a 25 ans, en attendant que ceux qui voudront bien nous en deman- der des tubereules le voient en fleur dés la premiére année. ; Finissons enfin par les Alstræmères du Chili. Singulier nom donné à une série de variétés, quand tous leurs pro- totypes ont pour ainsi dire ce méme pays pour lieu d'origine! Mais c’est qu'en vérité ces variétés semblent avoir hérité de ei de là d'une partie de ees prototypes. Voilà des années qu'on a pu s'en convaincre, puisque, depuis 1845, c'est-à-dire depuis vingt-cinq ans, nous en disséminons dans toutes les contrées non seulement de l'Europe, mais de l'Amérique du Nord, pays dans lequel on ne les connait que sous le nom de Van Houtte’s Alstræmerias ; il en est de méme en Angleterre où cette dernière appellation а prévalu et où elles sont toujours tenues en honneur, parce qu'elles sont toujours belles, et que, chaque année, on les revoit avec plaisir décorer si gaiment la bâche ou on les détient, sans qu'elles y occasionnent, pour ainsi dire, d'autre embarras qu'une couverture de sciure de bois sèche, te- nue à l'abri des pluies par des volets en bois. — Quant à nous, dans notre sibé- . rienne Belgique (— 14° Réaumur, févr. 1870), nous les abandonnons à la pleine terre, en plein air, en ne les y recou- vrant que de feuilles mortes; leurs ra- cines, que nous plantons à un pied de profondeur dans notre sol sablonneux, sont ainsi à l'abri des atteintes des froids les plus atroces; et en juillet prochain, on les verra toutes émaillées de fleurs. vH. Т 1939, EXTRAIT DES PROCES-VERBAUX DES SÉANCES DE LA SOCIÉTÉ IMPÉRIALE D'HORTICULTURE DE PARIS. — Ala suite du procés-verbal, M. Au- brée rappelle que, à la derniére séance, il té des Poires Doyenné d'hiver venues dans trois situations diffé- rentes, afin de montrer l'influence que la Caux ct Lineous Pippin, afin de faire ressortir les qualités de ces deux fruits. La Reinette de Caux, dit-il, est l'une des bon- nes variétés de Pommes d'hiver et de prin- temps; l'arbre en est vigoureux et productif. Quant à la Pomme anglaise Lineous Pippi qui mürit en décembre et janvier, elle est de premiére qualité; l'arbre en est d'ail- leurs vigoureux et productif. Pour ces | i temperee. & ervrt emnt mS n — Pn сш И d Ruiz N SANGUINEA « T z « z о 5 с a 101 1885-1854. DATURA SANGUINEA кш». „= ravos. (BRUGMANSIA SANGUINEA Dow). Solaneæ. CHARACT. REM. — M چ‎ vol. 2 Brugmansia, Вепхн. — Str nonu Benn. — Dutra, Bernu. = Grant Braun СНАВАСТ. SPECIF. caule erecto, crasso supra ramosissimo, ramis is fra ilibus apice foliosis, foliis faseiculatis petiolatis ovato-lanceolatis utrin- X, p. 9. u i pallidioribus, inferioribus sinuato-angulatis, supe- rioribus integerrimis, pedunculis terminalibus, ca- Originaire du Pérou ой on le ren contre, d'après Humboldt, à une altitude de prés de 7000 pieds, croissant dans les endroits pierreux. Ruiz et Pavon Гу ontobservé dans les provinces de Tarma, Xauxa, Huaroehero, Canta et Huama- lies, ой ses fleurs portent les noms de F loripondio encarnado et Campanillas encarnadas; lès Colombiens ies wg |: l'arbre Bovochevo, 4 aprés un autre au- teur. Le Datura sanguinea, non branchu (1) Ze (Sébald-Justin), lyeibus ovatis pentagonis variegatis, сог olla versico- lor Fe Mr wm. t E ri ica inermi pendula. Donar in Dc. Prodr. bei Datura sanguinea Кох et Pavon, F. lora peru- viana, H, p. 13 (sine icone) — ост. BRUGMANSIA BICOLOR PERS., Cas 1, 216. ia sanguinea Dox in Sweet's Bri- Be Gomm cer Garden, t. 272. jusque vers son sommet ой sa forme est hémisphérique, atteint de 10 à 20 pieds de hauteur. ll passe nos étés dehors те r sh) de préférence, en serre tempér Dans по médecin vid hoe ne^ holla ndais, né à Franeker en 1765, mort à Leyde en 1819. Il remporta le prix sur des questions d'histoire naturelle proposées par r diverses sociétés sa- vantes, fut nommé en 1786 professeur de botanique à Leyde, n ‘histoire naturelle et de chimie. H présida à la rédaction de la pharmacopée vii publiée en 1805, recut du roi illaume, en 1815, le titre d'inspeeteur pus du service de sant é de terre et de mer, t la mission délicate 'de venir en plus estimé est un res G Boerka à la Hollande. dr a laissé divers écrits, dont le divers motifs, cette variété mérite de se г zen en France, où elle est encore peu — M. Weiss, horticulteur à Montreuil- sous-Bois (Seine), présente un pied d'Erica hiemalis superba âgé de trois ans et remarquable pour son développementainsi abon V floraison. rime Pav e SÉ variété de l'Erica Tide est de beaucoup préfé- rable au type quon cultive habituelle- ment; les pieds en sont im vigoureux, à s forts et les fleurs en sont — tenir les ramifications avec de petits tu- leurs, — M. Rivière met également sous les yeux de la Compagnie un tronc de Bruyére il vient de a fait couper us ses yeux sur u ta à quel- gs distance д Philippeville, Ce trone mesure envir m 95 de diamètre à sa base, et exce kde une excellente idée du développement remarquable que peut prendre cette espèce sous le climat de l'Afrique pm Le bois qui le pred "i d'une extréme e dureté. Le jo ләй ou М. А. Riviére montra, en ‘séance, le с d'Erica arborea dont il sagit ici, la eon faite à la hac e était assez te pour qu'on n'y distinguàt point l'indication des cout hes annuelles. 102 Pour les détails de eulture et de mul- tiplication, nous nous en référons à ce qui en a été dit à la page 6 de notre ХИ vo- lume, et Ben sectionnement du genre à [а page 9 de notre X* volume ой sont | énumérées les diagnoses des sous-genres que renferme aujourd'hui le genre Da- tura. Quant au nom de Brugmansia, comme nom générique, nous publions en note, d'après P. Larousse, l'étymologie de S nom écrit de différentes manières et ntil importe que l'orthographe soit bien établie : le double n miran les allemande; les hol- landais et les flamands rev tout ee qui ne prend que la Бы Ы | est uent sales : nous voulons parler du genre Le Datura fastuosa fl. pl. a été Ë à la page 175 du ХІУ" vol. de la Frons; Lep D. humilis, à la page 9 du X* vol.; DATURA SANGUINEA Reis er Paros | grai Le D. meteloides, à la page 165 XII" volume. Ces trois plantes se propageant 46 | nes, per être acquises en tout temps. N Ргіх-Сонғам № 139, page 562, “le encore les D. fastuosa Huberiana et fastuosa violacea fl. pl. к= — le contingent de la série. bee des variétés. du D. fastuosa mentionné à la КЕН du XHI-F vol. du Prodrome ? 545 et 690), nous mentionnerons encore le petit Datura. cornigera Hook. (Bot. Mag. 4259), dont la patrie est inconnue | sous — peruviana de Run et Pi vox (11, 47, 1. 185), dédié ensuite par | Miers à Sir J. Hooker sous le nom de | 2 erm ce "I M. A. sapa ayant p: i cad, arrondie da son ensemble; elle offre une moelle bi. | d à i ii GLOXINIA SPECIOSA Lucie (1 2 Semis Gand. an Houtte) Serre temperee. Шы ы 105 1855. GLOXINIA SPECIOSA, LUCIE (уау uovrTE). C'est la première fleur que nous ayons obtenue dans ce coloris bien re- marquable, que notre planche a saisi avee bonheur. La plante fait рагие de nos gains si heureux de 1868, que l'on trouvera mentionnés aux 305 et 504 de nos Catalogues п” 150-151 réunis. L. VH — M. Rivière montra enfin un long fragment d'une tige de Laurier-rose (Ne- rium Oleander L.), qui a0",15 environ d'épaisseur. Ce Laurier-rose se trouve, en - 2 B Ф tueux, ой une énorme touffe haute de 9 mètres, et comprenant dix tiges semblables. L'eau du torrent a enlevé la terre de laquelle il sortait, de telle manière quil ne tient plus au sol que par une grosse racine, dénudée sur au moins deux mètres de longueur, qui le retient comme une corde. Il en résulte que la touffe, flot- tant Sur l'eau, s'éléve ou s'abaisse au gré des variations de niveau du liquide. - pu Un volume que vient de publier M. le Vice-Président Chatin sous le titre suivant: Lez Т. — M. le Maréchal Vaillant rapporte avoir lu dernièrement dans le Bulletin de la Société d'Agriculture et d' Horticulture de Vaucluse (cahier d'octobre 1869, p. 520), la description d'une méthode de tonte qui, dit l'auteur, а pour résultat de maintenir les haies d'Aubépine touffues, par con- sequent efficacement protectrices, et sur- tout bien garnies à leur partie inférieure où elles ont habituellement l'inconvénient de s'éclaireir à mesure qu'elles s'élèvent et vieillissent. C'est à M. Chiron, propriétaire du département de Vaucluse, qu’ ue cette méthode aussi simple qué Voici en quoi elle consiste : opérer la tonte de ses haies, M. les ant la végétation, lorsque es pousses de l'Aubépine sont encore à l'état herbacé. Au moyen d'une faux bien a il rabat sur leur empâtement tour; quelquefois méme cette tonte en vert est pratiquée une troisième fois. A la de ces opérations, qui réduisent ertes, qui ont été ainsi coupées, peuvent étre aisément enfouies dans le sol, au pied de la haie, 3 (Seine), présente des échantillons en fleur sa variété de lui prouv hiemalis a les surtout moins grandes té. variété | — M. A. Hivière, jardinier-chef au Palais Luxembourg, présente un pied vivant et m,55 à 07,40, du curieux e iganteus. — M. Rivière dit que des observations inté- ressantes sur le lent accroissement de cette ble que M. Chiron n'a emp i la, remplacé sa zc la Belgique ; il eut, sans cea, | пах e de 6 andes cisailles, afin de perfectionner еб ode. Qu'en pensent les touristes qui L, VH. encore за m % ont visité notre Pays: 104 MISCELLANÉES. espèce ont été faites par M. Marcou, dans | résulte que les individus gigantesques, qui les localités peu cope ой elles croit, | produisent un ud Че s plus étranges dans Ñx “- végéter depuis un noi consid de siècles, et méritent certainement d'être River, le plus g erand affluent du Rio Colo- notamment dans la vallée du Big Sandy | le paysage de pays natal, KÉ ado, après Je Rio Gila, dans la partie de | ү DRACÆNA REGINÆ Horr. Vecu. l'Amérique septentrionale qui a été long- | rangés par mi les végétaux les plus anciens SC ésignée sous la dénomination = | qui erit à la surface du globe. ouveau-Mexique. Elles ont prouvé ew naturaliste que le pied de cett — M. Licrval, horticulteur à Кеш E qui se trouve en ce moment sur le қы Е un fort et beau pied A urcau, quoique peu беча encore, compte | Dracæna Liervali; comme terme déjà a ` . 1 nombre d'années d'existence; d’où il | sitse ауес celui-ci, deux jeune D 7 SS بچ‎ ES > ч > oH wÀ m „ий d 4 Шех ique ANTIGONON LEPTOPUS Hook Serre temperee 1886-1887. ANTIGONON LEPTOPUS noor. Polygonaceæ. CHARACT. GENER. — men 5, colorata ; 5 exteriora late cordata v. ovata; 2 in nteriora oblonga. Stami ро a æqualia, filamentis subulatis inferne m subearnosam calycis ere я = o m; styli 'ecurvi, stigmatibus ca itéto-réuiformi- , I п erectum, mieropyle infera marcido ИЕ erto in- › Beete A radieula ECH andentes, ramis angulati olia alterna, petiolata, her bacea, cordata, MD rima petiolis basi amp ira ai | rod oppe siti сағым о quamiforr . Racem ае а ris, br actea отт fette ЖОНИНЕ uid articulatis, — MEISSN RACT. SPECIF. — Foliis ovatis Becr. tisve acuminatis prende cordatis in petiolum haud productis subtus ramisque tomentosis vel demum glabratis racemis folio vix longioribus Antigonon leptopus Hook. сі Ans. Bot. Beech., t 60. р. 508, t. 69. — Вехти. Bot EC ‚рр. 47 et — Mass. т DC. Prod., 84. — Seemann in Garden. Chr. — J. D. Hoo Ki P Bot. Mag., tab. 5816 hie partim iterata. Galeotti nous avait souvent entretenu d'une charmante petite Polygonée, en- guirlandant de ses nombreuses fleurs ro- ses les buissons et les rochers des envi- rons d'Oaxaca, et dont il avait fait ample provision de graines qu'il n'avait plus retrouvées depuis, Cette jolie plante qu'il était réduit à nous montrer en her- ier, а été rencontrée depuis par М. See- | mann et introduite ehez M.William Bull. M. Seemann a rempli de ses éloges une large eolonne du Gardeners? Chro- | nicle, et l'hortieulteur qui en a fait l'acquisition ne s'est pas fait faute de célébrer à grand orchestre sa conquête : on s'enthousiasmerait à moins. Nous nous sommes, de notre côté, empressé —. de Pintroduire dans nos cultures et de la multiplier de manière à être prét à la livrer dés le premier printemps. — printemps, comme tu seras le bien venu! quel t anormal n'avons-nous pas enduré eê des contrées où les Cactées | la neige, que nous tenons en serre pen- dant l'hiver, mais qui vivent parfaite- ment sous notre ciel pendant les но d'été, l'Antigonon ne pourra qu plaire dans ees mémes conditions de température; toutefois < nous le verrons venir » et nous agirons comme le Hol- landais, nous proeéderons piano. - L. VH. pieds de D. stricta grandis, constituant deux formes sensiblement différentes; enfin un e pied de D. Regine (1). ité de Floriculture i дев dever à la 1" classe la prime de 2% elass (D Le а Regine étale i; tcp Det ample. fet E: ses “eus très-larges, со Жайық ‚ Sont toutes vertes mais (Ur son " est ue des plus importantes introductions de notre excellent ami M. John Gould Veiteh. XVIII accordée, le 19 septembre dernier, à Dracæna que celui qui se trouve en ce moment sur le bureau. i On lit une lettre de M. Lierval relative aux beaux Dracæna qu'il a mis aujourd'hui même sous les сете е la Compagnie. — 521 est-il dit, est sie de Paris, en 1807, Wee l 14 106 plante idi entiérement nouvelle. Cette année mém 9, le méme horticulteur anglais l'a envoyée, comme plante de nou- x Expositions inter- = TT Sp e о = un Ер © с GG оз ° D. Ф Г nationales bourg. Ce n'était done pas encore, Ken M. Lierval, une plante ancienne, lorsque assez du faibles eed , le pied étant alors fort jeune, il me füt facile de le distin- guer dans le nombre. Aujourd'hui les ca- ractères de lune et l'autre plante se sont accentués bien davantage, à mesure qu'elles ont pris du développement, comme on peut s'en assurer sans peine par la vue des pieds déposés sur le bureau. Le D. Liervali a les feuilles plus amples, plus larges relative- ment à leur longueur, en méme temps plus retombantes et, au total, d'un bien plus bel effet que celles du D. stricta. — On lit une lettre par laquelle M. Е.-А. Carriére, chef des pépiniéres au Jardin des Plantes de Paris, exprime le désir de voir nommer, par M. le Président, une Commis- sion qui puisse constater les résultats aux- quels il est parvenu dans s es expériences faites en vue de transformer la racine du = comme devan composer la Commission demandée par M. Carriére, MM. Hardy fils, Chatin, Courtois-Gérard, Vavin, Robine. — On lit une lettre par laquelle M. L. Bouchard. Huzard , еа. fait vU à la Socié 6 du 2° "volume de emps, ne perit guére que des constructions rurales proprement dites, ces e de Zara Aen dont la plupart n емеш pas directement horticulture. Le 2* volume a, au contraire, des rapports directs avec celle-ci. Ainsi les horticulteurs X trouveront - bës ls sur les construc- tions devant s а la conservation et à la агат. dei ne. comme les MISCELLANÉES. graineries ou magasins pour les graines, les locaux pour la conservation des légumes, ` les silos, les hangars pour les voitures el pour le dépót des produits. La fruiterie, ou le fruitier, y a été l'objet de longs dévelop- pements, qui n'ont été rédigés qu'aprés l'examen des I er principaux hor- tieulteurs de Paris ` trouve encore la escription, avec ue de loc sécher les plantes et les fruits, spécialement les prunes, les châtaignes, le es glacières pour la conservation aliments, ete. Enfin le volume se termine par des exemples de construction de réser- pis, A de citernes, de vi- , ete., et par des renseignements sur ré lie deselótures, barrières, ponts e aux ren merciements sont аена ied М. le Weer à M.L Bouchard-Huzard. = M. Duchartre croit devoir signaler à la -Compa enie le résumé d'une note qui il lisait dernièrement, au sujet des éféquel fes sur bois, dans le recueil des tra- vaux de la Société silésienne, séante à Breslau. Dans cette note, le général Jacobi, connu des horticulteurs pour ses écrits sur les Agave, recommande comme excellentes les étiquettes sur bois dont on a eu préala- blement la précaution de rendre incor- ruptible la portion I doit être fichée en siste à immerge? cette partie de Гей а, рет 9да | 48 heures, dans une solution d'une partie de sulfate de euivre pour six parties d d usage. Aprés cette préparation, conservent trés-bien, car celles qui ко dans le jardin de М. ji (EN trois année 5, pam "cei пеоге lesquels оп écrit simplement avec un o | ordinaire , aprés en avoir barbouillé 3 blane à l'huile la partie qui doit recevo ГІ inscription. Rivière, de son côté, rapport toujours fort bien — de l'empl étiqu е s'être | oi des | etles еп bo réparées le | sulfate de cuivre. Seulement pour à solution 4% préparer rapidement, il met la DESMODIUM PENDULIFLORUM. 5 Oud Japon à Plein am. 1888—1889. DESMODIUM PENDULIFLORUN oco. Leguminosæ. CHARACT. GEN p ring x E dog yx basi bibrac- | adpresse-pilosa. Flores ирге; solitarii vel per нее д а нш» labio supe- | paria juxta г achidem disposit Suerg ag e secundi SE vedi; i à partito. Cor éi P pilio- | pedicellati, pedicellis fpes ato die urcatis ad- ur do ndo, carina obt n trun- | presse-pilosis, basi eis 1 (i Cp ris) ^d 5 (9 `, nn: ngi oi Stamina Чабар ıa | (in bifloris) lanceolatis scariosis pilosis suffultis Min en e subpersistentibus. Legum alyx basi braeteolatu -adpresse-pilosus, e "we sh as urimis ad itatem Sion gin basi poscis sensim ampliatus, tandem in lim- E gra rines gir e и um 4 issum abiens, laciniis lanceolato- f — Herbæ aut suffrutices ple- giten: vel subulatis, corolla quadruplo bre- 5 x ие аса nune zo ta seu [-juga | vioribus exillum o ovatum br ШЕ, ee ot peut "rre ыны: fend icia diet ad impar | carinalia oblonga, longius аа ев ata, ultimis 4 folioli xod ch eo unifoliata. Ape Иж ad basim | basi (latere externo) іп au icul pro- е ) d EC late ea Racemi ter- ct vexillo dim dio breviores, basi sua iersch Fogi Pedicelli 1 aut sæpius 5 ex | carinæ firmiter adhærentes. Carina subincurva purpurei ares о ог 1-Погі. Flores obtu usa, vexillum magnitudine quans, usque à › Ca : ds albi minores quam in Hedy 2/3 altitudinis in partes suas constituentes, sursum bE ey oribus monographisque valde | denique in unam coalitas, soluta. Stamina dia- Mieter tds l forsan dividendum, se de et. Ovarium stipitatum, eum stylo arcuato Il, p.525. sque indicati non Банн, DC. Pro sericeum pate dme nostra ab SCH Japonicis et ens m CHARACT. SPECIF. — Perennis, frutescens, ibus ramis et гасепи ifloris pendulis, 5-6 pedes : altus. Rami і ami penduli, ad 5 pedes long чы ут pilosi, subtriquetri, sulcati. 2% lia Es a, fo iolis oblongis vel. oblon 1go- lanceolatis, utrin- laber- miri 1 aceæ , xil ares, longi, flaccidi, Жш ? Ka ч pier Lune des plus belles ам japonaises de ces derniers temps. C'est un à Н> ah arbrisseau tout à fait de plein | vrent littéralemen ‚ tout à fait rustique. Les nombreux | pourpres, el. VON Sicporp in Э) ao, 1869 a e Jedo hortum ene prope Lugdunum-Batavorum introduct pen florum ОсрЕМАХ in Neer versa? 8 Pi mia, zu peo racemosum). jets qu il émet chaque année, signent jusqu'à trois mètres d'élévation et se eou- t de milliers de fleurs depuisle mois de juilletj jusqu'à rar see où elles baignent, dans un l'ébullitio қ EIN re, et il la porte presque à sulfatées, өзі ев sont ainsi promptement étiquettes ai a laissé, fichées en terre, des сш d insi préparées qu'il a vues encore n état au bout de douze années; EM observer que la couleur blanehe ment, Pent dy à les barbouille grossière- dé plomb, à у écrire au crayon à mine e 708 isparait ordinairement au bout 8 ans, de telle sorte que l'inserip- illisible. Il est done tion en deviendrait iller et éerire de nou- essentiel de barbou veau que ce procédé on pour les tration de la solution desulfate de cuivre, il sest bien 5% d d au soleil, été, le baquet qui en temps que pd Шын o qun préparer. + 1940. CONSERVE DE Р015. Li | la rns des auteurs qui ont écrit s a ure maraichére, gardent le d 227” Че tirer arti d lant i des plantes — ; 22 . Joigneaux, l'excellent publiciste frar qui a tant contribué au progrès Ges жы et de l'agriculture belges, pendant son séjour dans notre pays, est, 108 l'arrivée des froids; puis tout se flétrit jusqu'au collet, rez-terre, chez les jeunes plantes; tout disparait pour renaitre de plus belle au printemps d'après; chez les plantes adultes, c'est-à-dire assez fortes, on est obligé de couper les tiges pour faire place aux nouvelles. ous ignorons comment il se com- portera dans le sud de l'Europe; mais ici, dès qu'arrivent les premières cha- leurs, les tiges s'allongent et nous les tuteurons. Nous posons des soutiens obliquement, tout autour de la plante, afin que les pousses ne s'enchevétrent pas et forment une gerbe réguliére aux millions de fleurs qui ehoient en tous sens et forment un merveilleux ensemble, dont on ne pouvait avoir une idée avant la venue de cette nouveauté qui est destinée à un bien bel avenir. $ rameaux fasciés se produisent par- fois vers le eentre et trouvent leur pro- pre soutien dans cette forme large et aplatie; ees rameaux semblent méme plus floribonds que les autres et les surmontent. Ainsi que le montre notre planche, le caractère pleureur de ce Desmodium a frappé le Dr Oudemans et Ра porté peut-être à examiner cette espèce que nous eultivions sous le nom de D. race- тозит (DC. Prodr. П, p. 557, n° 115), racemis erectis, et les différences qu'il indique dans sa diagnose l'ont porté à en faire une nouvelle espéce quil nomme D. penduliflorum Ov». Nous la multiplions de boutures, en DESMODIUM PENDULIFLORUM Ov». attendant que le midi nous en dispens par les graines qu'ils ne tardera peut être pas à faire affluer vers les contrées moins fortunées. Avant de finir nous conjurons nos eeteurs de redire aux échos d'alentour que nous avons commis une faute capi- tale dans nos Prix-Courants п" 150-151 reste s bien des amateurs ont conelu et com eluront dans l'avenir que les exemplar res reçus par eux, tout comme Ceux qu'ils recevront encore, sont ue parce qu'ils leur arrivent privés de tiges Les plaintes et les marques de mècon- tentement ne nous ont pas manque a e sujet ; core, dans notre intérêt, à bornent à feuilleter les appendit un jour à l'indicateur de DÉI routes qui se eroisaient et qui №: face à sa сазе: < Et ceux qui ne 500 pas lire, sont priés de s'adresser аш б baret voisin, où toutes les information | , ç ? | les ) nécessaires leur seront donnees p j mettre en bon chemin? » L. ҮН. * ` , . . . 4 noue Connaissance, le seul écrivain qui n'ait pas craint marcher sur les brisées du cuisinier; dans que la culture. Cest un bon exemple à suÿre, car bien des produits sont bannis du jardin 5 1, Ou n'y occupent pas le rang qu'ils méritent, parce quon ne connait pas la manière de s'en servir. mi les produits du potager qu'on conserve eomme provision d'hiver, il n'en est pas un qui, pour les ménages aisés, offre une plus grande ressource T 42 petits pois. Il est une manière Simpi ^. faire amp” peine et sans le st ]е procédé | * | la pratique, j^ | indications sur les meilleures Үй | pois à cultiver pour la conserve, | de la cueillette, ete. M Hors du contact de l'air, il ny Р | fermentation ni de décomposition р at de E HYDRANGEA STELLATA Sieb & Дисс. Japon p 1890. HYDRANGEA STELLATA PROLIFERA nec. Saxifragacee $ Hydrangeæ. CHARACT. GENER. — Vid ; (1847), p. 187. ide supra, vol. Ш atibus, oppositis petig- plis, terminalibus, nudis, floribus numerosis; sepalis flor. radiantium AEN bist aE е vato-v. oblongo-elliptieis, acutiusculis, integer- rimis, pallide cyaneis v. roseis, plerumque 10-15 in quovis flore. CHARACT. VAR. — В. proli, minatis; cymis amplissimis gl floribus subomnibus radiatis e nores similes 1-5 exscrentibus, sepalis roseis. Recez, Gartenflora, XV, 1866, p. 291. Hydrangea stellata prolifera Вес. l. с. fera. — Foliis acu- era. oliis ac obosis densifloris, centro flores mi- Un eapitaine de navire hollandais rapporta un jour à l'un de ses compa- triotes eene. rariteit qu'on lui avait re- commandée d'une manière toute spé- ciale. Son navire venait de Java, de Java que nous avons répudié en 1850 au détriment de nos industries, de Java ой prospère le caféier, la canne à sucre, ete.! Notre brave horticulteur hollandais colloqua son précieux hôte dans sa bâche à ananas. La pauvre plante, pa- reille à une âme en peine qui, souffrant le martyre, élève les mains vers le ciel, implorant sa délivrance, la plante éleva vers le ciel... de la bàche, les Vitres, ses branches étiolées. « Wat wilt S zeggen, » s'exclama notre batave ; y a quelque chose là-dessous! Eh ei yid SE ç c'est qu'elle a 1 ns ee four! » et, d'un cran, | Гетрома dans la broeikas, за serre chaude. ` кы шшш y montra de nou- petes HA du n allongeant outre sait si son TU dus iub <ç E ornac ne Геш pas jetée insignifiante (ce qui, par paren- thés кы | des E arrive encore tous les jours dans ба ni identiques) ! Mais, par miracle, re fut visitée un ancien ar com < ` p д а d'Amsterdam qui, ayant pauvil c au Japon,avait reconnu dans la Horten bo la physionomie du bel a quil y avai iré.-— __ 04 Qui y avait tant admiré. « Heer Jé! hier is een mooi gewas ! dat ik zoo prachtig in Japan gezien heb! » Le cornae faillit tomber en syncope : il allait précisement immoler la malheu- reuse !— < Is dat geen warm land ? (Fait- il chaud dans ee pays-là 2) > — < Wel neen, ^t is er zoo koud als hier ! (Mon Dieu non ! il y fait aussi froid qu'iei). » Cette visite fortuite éclaira le quidam et l'Hortensia fut sauvé et aequis à nos jardins ! Aujourd'hui l'Hortensia com- mun (Hydrangea hortensis) est trés- eonnu ; mais pour l'avoir bien beau, il lui faut une terre fraiche, une exposition à mi-soleil. — Jamais nous ne l'avons vu plus luxueux qu'à l'ombre des hautes futaies du pare grandiose du Due d'Arem- berg à Enghien (Belgique). Là, une bonne terre à oranger lui fournissait sa substance, et l'atmosphère chargée d'hu- midité que les grands arbres empe- chaient de s'évaporer, le maintenait dans ce milieu moite qui parait si bien lui plaire, ear ! lui faut abondanee d'eau pendant les chaleurs. — "H. Otaksa parait destine а faire, dans, l'avenir une rude concurrence а l'ancien Hortensia; il semble être plus rustique que lui et plus ligneux. En il a sur son devancier un se : l'extréme beauté de on grand feuillage d'abord (FLORE , XVII, 55), puis son extreme propension à fleurir tout petit. En effet, des plantules, le rocédé océdé d'Apper la: d'Appert est basé sur ce fait, et ой l'on uns l'exclusion de l'air des vases eut conserver, soit des pois, des fèves, des haricots, soit d'autres légumes verts. On se sert de bouteilles ou bocaux en hautes à peine de quelques centimètres, se disposent déjà à porter de larges cimes qui mettent un peu de temps à se eolorer, mais qui ensuite restent belles pendant près de trois mois. L'H. Otaksa forme un bel arbuste dans son pays et nos jardins s'en pareront tous. LH. paniculata grandiflora (FLORE, XVI, 105)que М. Victor Lemoine a eu la bonne chance Фассарагег, пе s'élèvera guérequ'à un mètre de hauteur; toutes ses branches se eouronnent de trés-grandes eimes, trés-compaetes, de grandes fleurs blanches fort belles ; on dirait un Vibur- num macrocephalum. — Très-rustique. LH. Rosalba (Fiore, XVI, 75, 77) sera une ressource pour ceux qui for- cent, ear elle fleurit blane en hiver et est d'un beau еоеһепШе en été. Nous hébergeons encore d'autres Hy- drangea étiquetés : Lindleyi, à fleurs bleues, mais ayant, d'autre part, un air de proche parenté avec le Rosalba, de méme que le soi-disant japonica cæru- lescens, petit bleu qui ne parait pas plus appartenir à l'espèce japonica que ne lui appartient le Rosalba, que, раг er- reur, nous y avions rattaché, de méme que le soi-disant macrocephala qui n'at- teint guère au-delà de 50 centimètres et qui ne porte pas de grande cime du tout; cest encore un voisin du Rosalba. L'H. pubescens (Pong, IV, 578) est un bon arbuste ligneux, atteignant 2 mètres de hauteur, mais insignifiant sous le rapport des fleurs. | Nous avons acquis, dans le temps, de von Siebold, un Н. étiqueté involucrata vera qui ne se multiplie guère, mais qui parait devoir être beau. Jamais nous n'avons obtenu РИ. in- volucrata fl. pl. (Fiore, Ш, 187), que nous avions aequis de von Siebold ; notre figure en avait été prise, de con- fianee, dans la Flora japonica. 3 LI . VH. paniculata (type) à fleurs larges à la circonférence, n'a pas une physio- HYDRANGEA STELLATA PROLIFERA Rer. - nomie bien attrayante : il parait devoir s'élever fort haut et a l'air sarmenteux. L'H. surnommé Impératrice Eugénie parait appartenir, comme partie des ré- cédents, à des types différents. Il pousse beaucoup, forme de beaux buissons, mais ses fleurs sont d'un coloris peu avenant, du moins iei. On dit pourtant qu'il porte des fleurs bleues dans d'au- tres sols que le nótre. ` L'H. étiqueté sinensis porte une ре tite cime bleue. — 'H. que nous eultivons sous le nom de Thunbergi Элеволю serait ГИ. ser- rata DC., d’après STEUDEL. Enfin notre chef, M. Fr. Desbois, а aequis en Hollande un Л. urticæfoliu qui parait une très-vieille plante qu'il ne sait à quelle espèce rapporter. On connait, de vieille date, ГИ. quer- cifolia de nos jardins, ligneux, à grandes | fleurs blanches à la circonférence. ГН. japonica, dont оп а fait tant de bruit autrefois, 5 Чапсе trop pour être fort recherché, et sa floraison, dans nos pays, est presque constamment contra rice par les derniéres gelées qui frappent ` le sommet de ses branches. | L'H. japonica fol. alb.-var. (Fro, УП, 159) a ses feuilles bien plus belles | la eulture en pot, en serre; lage y parait aux trois quarts blane. А ГИ. glauca (nivea) forme de Joni buissons en pleine terre et son et. i à la munifieen® | de M. Regel VH. stellata prolifera ge | г figure. Махі ` 4 . І 4 "ons 50 à fleurs paraissent. Nous ignoron b degré de rusticité. yR verre solide, à orifice large, et on les rem- plit le plus exactement possible de petits pois, en laissant toutefois l’espace néces- қызм” | i saire pour chasser le bouchon ; e: méme les tasser un peu. Оп ferme * рой, оп bout” teilles en y enfonçant un r hh % pict ' iet і Но" D flore pleno HEMEROCALLIS DISTICHA Plein. air. Japon 9 + 111 1891. HEMEROCALLIS DISTICHA FLORE PLENO, Liliaceæ. IARACT. GENER. — нн осор | 6%, 875. — Алов. Bot. Reposit. 1. 244. — REDOUTÉ Liliae. infundibuliforme, tubo brev mbo sexpartito, | t. 15,1 16 — SWEETS "— болыр ard. t. 98. — Lilio- patente. Stamina 6, fauei TS lamenta Blifor- Asphodelus TouR«Er. Inst. t mia, declinato-adscendentia. Ovarium triloculare. | CHARACT. SPECIF. — Н. foliis linearibus, ca- | ti vula in loeulis plurima, пе horizontalia, | rinatis, dist ee ае: laciniis lanceolatis , Se: Stylus filiformis, cum staminibus adscen- | undulatis, acutis, patentibus, reflexis ; tribus inte- . Stigm à ta] ns. Stigma subcapitatur apsula carnoso-co- | rioribus latioribus L cor petalorum exteriori- ج‎ ген a, trilocularis, loeulicido- | bus ramosis. Sweer (1. с e.). rivalvis. Semina in loculis pauca, angulato-sub- 7 globosa, testa crustacea, atra, hine rhaphe percursa. | __ "finr Mag, 1453 EST е e 5 Embryo axilis, dimidio albumine longior, extremi- Kg tate radieulari umbilicum attingente. Foliis linea- a 4. Are ГЕР wf T er eg ға KÉ ribus и зеаро radicali ramoso , floribus Am HT порох Hort, suburb. p magni avis. ENDL. Aids 1145. — Her æg in Don occidentali et in Asia media | et orientali SE petes Tu ЕЕС in ei Lixx.). ocallis Ілу. Gen. n° 455 excl. sp. Gärdn. merocallis disticha flore ge m И, EOS E Ve heq: rp) vindob. t. 159. — Bot. Mag. t. 19, | et (uen Le. Kuntu. Enum. IV, 588, по 5). L aire géographique de r pues nier auteur aurait confondu Г H. disticha disticha. s'étendrait. depuis le Gossain- | аусе ГИ. fulva qui dériverait. plutôt de Шап du Népaul, 4 aprés Warucn, jus- | notre Orient et qui s'étendrait lui-même 2 qu'au Japon, d’après Тнохвеве. Се der- | jusqu'en Chine. Сеце confusion d'espë- absolument comme s'il s'agissait de vin; | Les pois qui se conservent le mieux sont puis on ficelle solidement. "Cette de rniére | les tardifs et les plus jeunes possible. Ceux recommandation est des plus importantes, à grains vert àla maturité sont é érale- car, sans cette. précaution, il y a toujours | ment prie et avec raison; des boue chons qui sautent avant la fin de la | leure appare ce : l'œil aussi manipulation. Les bouteilles sont ensuite satisfait. On doit toujours faire des semis tardifs destinés particuliérement à à donner au bain-marie, placées debout, les unes | la provision à \ conserver, de manière à ne geant jusqu'à la bague du goulot L'ébul- | courant de коек; | on ne doit guére durer au delà d'un g с quart-d'heure (D; aprés ce laps de temp Nous eultivons, pour - on laisse spontanément refroidir le tout blissement de M. L. Van Houtte, le pois b ; nd. Le vert de t em et, "s le ridé par une simple marmite dont le fond. et | demi-nain К les parois sont garnis de foin ou de paille. | faitement. Les amateurs trouveront toutes ces уа- LU) IL est certains légames d'une contexture | piétés dans les catalogues ей graines de Se А а es da 1: "él "ton рее 4 l'Établissement; ces noms n sy trouvent ger au-delà d'une heure et p^ une température | pas perdus dans une aire infinie. plus élevée que celle de l'eau bouillante ordinaire. | Il en est des pois comme des ; ро ie SK P pie jetant une poignée de SC | poires, ete. : il y a un choix à faire dans les = os sq E npli d'eau, celle-ci ne | centaines de variétés du commerce; nous un re m mettra plus en i allt à 100» centig., mais e grep a à 108 ou om mé la er de sel. ei croyons avoir réuni jusqu'ici la quintes 112 сез est probable de la part de THUNBERG, qui connaissait ГН. fulva avant qu'il eüt quitté l'Europe. La description de son H. fulva se rapporte du reste à ГИ. dis- ticha de Dox. L'Hemerocallis fulva est la forme que l'on rencontre communément dans nos jardins; ГИ. fulva Kwanso en est une variété à fleurs doubles, introduite du Japon par von Siebold, et qui produit fréquemment des feuilles striées de blane. C'est elle qu'on a livrée assez souvent en lieu et place de celle que nous figurons ісі, c'est-à-dire de THe- merocallis disticha fl. pl., introduit en Europe par MM. Veitch, qui en auraient recu des exemplaires du Rev: llis, pro- venant de Mauriee qui n'est certes pas la patrie de cette plante, pas dav antage que Madagasear où elle aurait été envoyée on ne sait d'oü. Son extréme beauté en aura fait un objet de trafie, soit de Chine, soit plutôt de l'Inde an- glaise, des sommets de laquelle elle a di logiquement descendre et continuer а prospérer, car il n'est point établi que son prototype, sa forme à fleurs simples elle-méme, ne ргозрёге mieux dans des contrées moins septentrionales que la nótre. HEMEROCALLIS DISTICHA FLORE PLENO. Toutes les Hémérocalles se divis par le pied : opération qui se pratique, soit à la chute des feuilles, soit au prin- temps, avant la période végétauve. Les Hemerocallis flava et graminea se cultivent de la méme manière, ainsi que ГН. Dumortieri Morr. (1), introduit aussi du Japon par von Siebold. Quant aux Funkia, anciens Hemero- callis à feuilles élargies, pétiolées, aux fleurs moins grandes, réfléchies, irré- gulières, blanches ou bleues, elles se cul- tivent encore de mème. Nous en possé- dons de nombreuses variétés : les F. o cullata, très-ornementales, et le F. gran- diflora (Е.ове, 1,158), dont von Siebold nous vendit l'édition il y a 25 ans. Stan dish nous vendit aussi une espèce très- distincte, introduite par Fortune, et dont le feuillage est tout glauque. Nous avons encore un F. lanceolata ct sa variété, feuillage presque entièrement blane, puis un F. univittata : toutes plantes, al moins jardiniquement, и entre elles. E о 4‏ — — نے МоввЕх, Horticulteur belge, M, p. 193, f. Б. |‏ )1( М — |‏ sence dans les cultures de l'Établisseme nt (1). BE La cueillette des gousses doit se faire de оп matin; on les écosse proe lorsque le tout est bien ressuyé et on introduit immédiatement les petits pois dans ra ases. ы, (1) Nous е a à l'essai variétés, dont eule, Dw pu ا‎ a tardif s we rames) une 12e de warf W. оо Late est admise dans la T 1941. NOTRE DERNIERE TRIPLE LIVRAISON. L Hiis Ze rédacteur : c'est l'inverse du ti п donne, sur le continent, à с" im E l'esprit, car, en deca de la a е nom revient de droit au porte- orte-monnaie), disons m ( | ў ieux, [е toujours aimable rédacteur de ce puissant colonnes à la FLonz, et il l'a traitée telle- Pour l'emploi des pene pois de ooo il faut achever seule fois chaqu bouteille ; quelques heures suffisent DÉI | un vase q | sage; оп se , conten t d pouvoir y fondre du beurre à BEER tech reste пе de e d'explication. . — CD л ШЙ ment en enfant gâté, que nous ne sau € В titade! 7 trop lui en témoigner notre gra En effet, la puissante Angleterre Е artiste | ge et l'éloge flatteur . Masters eut une bonne Гог 2 E qui coùte les yeux de la t Editeur. [== и j à ж [ Le Үй. ° Fan МопПғап > Z, AZALEA IN DICA Maximilien. зс А Semis. Serre froide. 115 1892. AZALEA INDICA MAXIMILIEN, H ne faut pas confondre cet Azalea, que nous avons totalement supprimé, avee le Souvenir du prince Maximilien, que nous recommandons avee tous ceux querenferme notre Prix-Courant n* 129, pages 155 et suivantes. Nous avons élagué de nos collections tout ce qui est inconstant, entre autres, ГА. Maximi- lien, dont nous ne donnons ісі la figure que pour mieux le signaler comme va- riété donnant parfois de belles fleurs, mais n'en donnant qu'aceidentellement. Malheureuse aequisition que nous avions faite №; sa beauté ne fut qu'éphémére, ear il dérivait simplement d'une branehe fixée de l’ancien A. Reine des Belges, qui ne se distingue que par un feuillage toujours jaunàtre et une floraison tar- dive. Mais passons. Dès le mois de janvier, parait l'Azalea vittata, bonne fleur pourle marché, dont on ne saurait trop faire pour le fournir; aujourd'hui, toutefois, son caractère hàtif est le seul qui puisse le recommander. — L'Azalea indica punctulata, que nous en avons obtenu de graines, est toujours trés-voulu, paree que sa forme est, mo- derne; l'A. indica punctulata variegata est dans le méme саз et satisfera pen- dant longtemps encore les aequéreurs. L'A. Souvenir du Prince Albert parait dériver de l'aneien Prince Albert; c’est une bonne plante, mais qui a le dé- faut de ne fleurir naturellement qu'en mai. — Parmi nos Azalea nouveaux, citons ` Marie Van Houtte (Fong, ХҮШ, 67), le plus beau de tous nos frais éclos, et qui dérive de graines fécondées sur un Baron Osy, double rouge qui a fait ses preuves, tout eomme notre gain, qui nous a montré sa constance pendant quatre années consécutives; — 1 ad. Iris Le Febvre dérive d'un Azalea que nous avions obtenu de semis, et qui, par t 1942. ACTINIOPTERIS RADIATA 1лхк. А la page 51 de ce volume XVIII, on trouvera la figure de cette fougére. Nous Гауіопв reprise.de celle que M. John Stan- dish avait publiée. Les plantules que cet ami nous envoya n'ayant pas ai traduits de l'article que M. W. Cross publie dans le Y d M. T. Moore Actiniopteris radiata. recu des Indes deux petites souches séches, dit M. W. Cross, je les empotai, J'en sema mpoter à l'instar des Fougères les 47 plan- | XVIII. épuisée et morte; J А ma | Y lantes formérent | était la cause. > teris. Je résolus alo ment plus humide; le arroser modérément, mais les feuilles con- tinuaient à jaunir et à se dessécher ; enfin la plante elle-même parut entièrement morte. L'autre conserva mieux ses frondes, probablement parce qu'elle avait un peu plus de moitevr, due, peut-étre, à la pré- un petit morceau de 2 « Huit ou quinze jours apres, la plante sans feuilles en émit de nouvelles qui tom- ment; сесі se répéta fois pendant l'hiver. Au KE tai à fai rainçu que mon ignorance de sa eulture en eunes plantes se mirent aussi à mencai à croire que collection bientôt être entierement privee d'Actiniop- , 15 114 lui-méme, n'était pas assez méritant pour être conservé. — Се que c'est que les provenances! — Et que dira-t-on, si nous apprenons à nos lecteurs que nos Azalea indica Marie Le Febvre et Léonie Van Houtte (Fong, ХУШ, p. 57), provien- nent tous deux du Baron Osy, d'ou est aussi issu ГА. Marie Van Houtte ? — On conviendra que les fécondations intelli- gentes jouent un grand róle dans tous ces succès. — Quant au Baron Osy lui- même, il dérive de ГА. Duchesse Adelaide de Nassau, toujours l'un des bons Azalea, de méme que Bernhard Andreas, beau et floribond tout autant que l'Iveriana, le Duc de Nassau, V Etendard de Flandre, la Gloire de Belgique, Pauline Mardner, double à fleurs rose et hàtif, Charles Enke, qui ne perd pas ses feuilles, le vieux Duke of Devonshire, au beau port j honneur ; d. est substitué à notre Alexandre II, que nous avons sup- primé, parce qu'on l'avait dépouillé, avant nous, de toutes les branches qui portaient des fleurs panachées, et que nous lui avions maladroitement laissées ; la Belle Gantoise, ete., ete. — Nous avons supprime tout à fait Louis Hel- AZALEA INDICA MAXIMILIEN. lebuyck, Alexandre et Camille Van Lo genhove, Auguste Delfosse, Ambroise Verschaffelt, e Souvenir de P Exposition aprés une révision qui devait, sans merci, faire disparaitre les moins méri- nts. — Nous avons conservé, au eon- traire, Jean Verschaffelt, Alex. Dal- lière, Chantin, Aug. Van Geert, Jean Van Geert, Princesse Charlotte, Sou- venir de Maximilien, Météore que nous ne saurions assez cultiver, et autres, dont nous parlerons plus tard. Mais lais- sons nos Azalées bien tranquilles ; toutes vont se mettre à pousser, puis à fleurir; nous aurons l’occasion d'y revenir plus ard. Nous avions un poids sur la con- science; nous devions absolument nous débarrasser de la maudite planche er contre et l'oublier ! nous l'avions, hélas! fait peindre trop tót et elle se trouvalt toujours là dans nos cartons ! nous avions à montrer une plante non merr tante! Or que coûte une planche à cha- eun de nos abonnés ? 25 centimes all plus, et bien employés, en tous 645, puisque cette indieation peut les prê- munir contre un mauvais achat. үн = > а tins fut. des plus satisfaisants. А cette déjà 40 mes aux grosseur de pois, en quantité égale, que je mélai à pas mal de um | e 75° Fann. (+ Réaux.). Ceci se passait au mois de мазе depuis lors је ne cessai de les tenir "mi es et Je les seringuai deux ou trois 015 par Jour, en maintenant aussi, avec m» l'humidité entre les pots. J'augmentai i température à une moyenne de 78 à 8 rés 3 i grés (+ 19 — 919 Réaum.), à mesure c que le saison s'avancait, et pendant [еш « Je maintins dans la serre une humi- dité constante en donnant, toutefois, de l'air tous les jours. La division ou se trouvaient ces plantes était lextrémité septentrio- nale d'une serre à deux pentes, expost? plantes de ma nord et sud. Je placai les м les atteignit que niére à се que le soleil ne peu avant son coucher. RK: « Je continuai ce traitement pendant) Be en laissant baisser la température à 68 2 pendant le Jour ы. mesure qu'ils décroissaient. ` t au repos pendan : u émettre leurs frondes, et en mars, Је d rempotai dans des pots de trois Wr anglais à moitié remplis de tessons concassés couverts, comme précédemmen d'un peu de mousse, de charbon, du di bonne partie de sable blanc et d'un pe" Lindi LABIATA CATTLEYA qu. д) - 115 1895—1894. EPIDENDRUM LABIATUM Rens. (АТТИЛА LABIATA ios. Orchidaceæ. ICE GENER. — Vide Rens. in Walp. Ann. ҮІ, 509. ARACT. SPECIF. — Vide ibidem, pages 514 et 515. 2 2i d'entre nous ne conserve dans les : ehives de sa famille de ees vieux por- ay du temps jadis, eensés représen- er l'image d'aieux de l'un ou l'autre siécle! Hélas! nous en sommes là pour iri vieux portraits admis autrefois РА Fiore! Le jardinier porte le оаее ehez le peintre; l'artiste s'en và Папег au soleil du printemps, oubliant Leg p fleur ne dure pas tou- et Tu ure parfois que, « ce que du- A eid roses, l'espace d'un matin ! » П yes ag e pseudo-Redouté de ce We id attend que la fleur soit fa- Kc a w а кыры et, renouvelant le je м” ве rendit coupable envers Fes р superbiens 161) si 'eitchi ошм, оле, XIV, Mie : d 1 mime assez drôlement la pi- Bh dels d'un épagneul harassé, il arbouille l'image du glorieux sa édit se voiler la face, il la sert à so w eur! Cette fois, cependant, coupable reproduction, nous avons le rôle e а nous pouvons rejeter sur le 1850 s Magazine le péché eommis en sec car c'est à ce recueil que nous emprunté la planche susmen- tionnée. Qu'on compare à la planche faite ici d'après nature, cel avorton au nez écrasé que nous publiames il y a près de vingt ans : C'est à l'intrépide firme Hugh Low et C° que nous devons les vrais Cattleya labiata que nous offrons aujourd'hui. Nous en avons acquis toute une légion, et il entrait dans nos vues de n'en rien vendre avant la floraison successive de nos exemplaires. Nourri dans le sé- rai nous savons quil arrive assez fréquemment que dame Nature s'éman- сіре de par delà les mers... le volatil pollen, père d'un fœtus déterminé , peut dériver d'une fleur amorphe sans que l'aspect de l'ensemble de l'individu décéle ce que sera sa fle Originaire du Brésil, espéce епзегге dans son | les Cattleya Mossiæ et autres, et fait г... e в = = ~ > Pa = ` > = = A M^ т M о Š = = 2 = Ë © = eo = = le leeteur, en pente très-douce, jusqu aux — SE cette terre forte, glaiseuse (loam), en parties egales. < En juin, deux de ces plantes paru- | rent à l'exposition de la Société Royale ` d'Horticulture, en parfait état de santé et de vigueur. » 1.1. И. + 1943. VEITCH MEMORIAL. La souscripti : ^ seription, qui 15,000 francs. sera close le 25 mars, s'élève 46) (G à au-delà de £ 600, environ ardeners" Chronicle.) 116 Epidendrum ` vitellinum,; | prismalocar- pum, et jusqu'à notre vieux Broughto- nia sanguinea; puis, comme en un véritable cosmorama mouvant, vous passez par devant le front d'une foule d'épidendres tels que le phaniceum (Fong, IV); et, sautant à travers une trentaine de pages des Annales de Wa- PERS, Vous entendez harmonieusement nommer ГЁр. chondylobolbon de Ri- CHARD, qui nous mène, dix pages plus loin, jusqu'aux Barkeria qui font partie, comme tous les précédents, du genre Epidendrum, dans lequel vous replongez de nouveau sans perdre haleine, bien qu'indifférent envers tout ce monde-là que les herbiers seuls hébergent en ma- jeure partie et n'est pas de notre com- pétence horticole; nous ne connaissions méme pas de nom auparavant les E. du- rum, purum, subpurum,.... ete., qui page 509 à la page 416 (95 pages !) ou brille, sous le nom d'Epi- dendrum Walkerianum, le charmant Cattleya Walkeriana que son gracieux coloris appelle bien à regret à clore la série des ex-vieux jaunets ! € genre suivant, Bletia, n occupe que 28 pages des mêmes Annales. Il introduit d'abord le Lælia superbiens dont les pseudo-bulbes, en vérité, rap- pellent assez ceux des Schomburgkia qui le suivent de prés; viennent ensuite les Cattleya Perrini, intermedia, pumila; puis deux Brassavola (glauca et Dig- byana), suivis du Cattleya crispa, des Lelia purpurata, Schilleriana, grandis, praestans, qui nous conduisent, toujours sous la bannière Bletia cains (autumnalis, furfuracea, majalis, : cinis, trompette E cette dernière espèce, l'auteur clot cette série, €n y placant l'aneien petit Læliopsis do- ——— EPIDENDRUM LABIATUM Всив. 3. mingensis, espèce toute jolie (le Brough- tonia lilacina d'Henfrey, Paxton’s Mag.) que nous possédions encore l'an dernier! Qu'il y ait là dissimilitude de facies, cela n'empéche pas que : < HAEC OMNA PULCHRE DICTA, SED POLLINIA ABSUNT 0(- TONA Rchb. fil. > L'auteur continue, y case les Bras- sola, et termine tous ses Bletia par les espèces terrestres acaules, qui seules formaient autrefois le vieux genre Ble- Lia : les B. florida, verecunda, patula. Terminons ici : l'auteur a parlé; — il est compétent; nous ne sommes qu Hor- ticulteur, habitué à une vieille nomen- clature indispensable à nos rapports avec les amateurs; nous sommes tellement redressements de genres, que ses grou- pements nouveaux sont le fruit de longs travaux basés sur le vrai, en fait d'ap- préciation que nous ne doutons рош que Lindley lui-méme ne s'y ralliàt; — mais de.... nos rapports commerclaux, qu'en pense l'auteur? | Faisons des vœux, pourtant, pour quil ne prenne pas à la lettre nos jérémiades de marchand et qu'il se persuade bien qu'au point de vue de la science pure, nous sommes admirateurs de son деше et que nous serions bien désolé de not aliéner la faveur de ses conseils, de sà science et de son amitié. Il est assez bon Prince pour rire — tout le premier — de notre excursion fantastico-profane à travers son livre. Qu'il nous compare, de compte, à ceux qui sont furieux de se voir à la veille d'étre débarrasses de p. thalers, silbergrosschen, skillings, mar ken, heller, grotes et cop L. VH. ро T 1944. DE L'INFLUENCE DES CHEMINS DE FER SUR LA TEMPÉRATURE. Les feuilles amé que depuis Ja ligne de Califo ricaines font remarquer construction de la grande pu "пе, les sécheresses sont | staté dans le district occidental de H э р “сейтіп 1 ins moins fréquentes dans les distriets p ў Le méme phénoméne parait avoir € Ka сү. № е“ d n "n d ai E ж ' o EUCODONIA NÆGELIOIDES NANA MULTIFLORA. ACHIMENE S. Semis Ga па Serre tem Ach тұзы» 1895 — 1896. ACHIMENES NÆGELIOIDES МАМА MULTIFLORA се. уно EUCODONIA La plus large, tout en étant la plus naine de ses congénères, car elle n'at- teint pas au-delà de 6 à 8 pouces de hauteur, y compris tous ses pédoncules, ses pédicelles et les innombrables fleurs amarante et jaune d'or pointillé de ver- millon qu'elle ‘porte à profusion. Et quelle durée de floraison ! au-delà d'un trimestre, pendant lequel cette char- mante plante étale toute sa beauté! Son NÆGELIOIDES NANA MULTIFLORA. feuillage est riche et participe de celui du Nægelia zebrina splendens. (Cat. n° 150-151 réunis, page 292, n° 752.) Elle sera livrée au commerce ce prin- temps pour la première fois. Les genres Mandirola, Eucodonia et Locheria FUERUNT, d’après l'arrêt récent du D" Нахзтах! Ils rentrent au bercail des Achimenes qui s'enriehissent ainsi de leurs dépouilles. үн. 3 DH ` š Su MET Ohio, où les lignes sont trés-nombreuses. : u sol, comme Te [on aurait pares pour пее se ds dii ten 5. ; il était vrai que les регіре- palpitations d ussent intimement liées aux explication u fluide mystérieux, cette PR edi: tout extraordinaire qu'elle бап. ériterait d'arrêter notre atten- Куыш ие que soient les opinions йаш; “ partagées sur les propriétés aen зын es plantes, on parait étre car je pari ce qui concerne les insectes, Ші. che pas que personne, еп Ап- u moins, se soit donné la peine í à connaitre, d'une maniére Fo Dele, les qualités exactes de la matiére nte que les savants appellent « Phos- Phorescence » < “arte, Coléoptère que je signale à Mes ion est la Mouche luisante d'Ita- » laquelle brille comme les planètes dans ja SC Jamais l'étonnement et la joie que j éprou- va n tiller с Quoi qu'il en soit, ce n'est pas la pre- mière fois que l'on signale des faits de nature à établir l'énergie extraordinaire de l'action de l'homme sur le climat des pays qu'il habite. Les réseaux des lignes de fer répandues à la surface de l'Angle- terre, de la Belgique et de la France ne sont peut-étre pas dénués d'influence sur l'adoueissement signalé dans la tempéra- ture moyenne des hivers par M. Glaisher, d'aprés un demi-siècle d'observations re- cueillies à Greenwich. s un quinconce ou elles semblaient jouir de la beauté du soir, à tour cachant et déployant leur jusqu'à ce que Pair étincelàt d'un feu mé- téorique. Оп eut dit que le beau ciel de l'Italie reflétait sa splendeur sur la terre, et que les étoiles dansaient de joie. Lorsque je m'en retournai, les Mouches-luisantes se 118 MISCELLANEES. poursuivaient dans les rues de la ville; à aide de mon chapeau, j'en attrappai deux que je ren et, malgré e ena de leur prison, leur clarté me suffit pour distinguer l'heure à ma montre pendant la nuit. Ne nous éton- nons plus que les poétes aient chanté les louanges des Lucioles; ceux qui ont visité de ne umiére est vive eie Гіпзесіе m en „е vigueur, mais elle s'éteint à leu Elles Een au coucher du soleil et, pendant une nuit d'été, on ne peut faire un pis, dans quelque direction que ce soit, Figure 1. Figure 9. s les voir voler de cóté et d'autre; elles paraissent ne briller que par inter- valle et leurs rayons lumineux s'augmen- tent en proportion de leurs mouvements, Pendant le jour, elles se E sous e où il est difficile de les tro mouche-luisante d'Italie diffère e essen- hein du ver-luisant,et pour la forme, et pour les habitudes. Les larves se res- semblent beaucoup, mais les deux sexes, ans la mouche-luisante, sont de même sente le pa не 'insecte, la figure 2 est le mále qui v La i d'Italie a la téte noire, les yeux grands, hémisphériques, assez rapprochés l'un de l'autre, surtout en dessous; les antennes sont courtes, COM- posées de 11 articles, filiformes et noirs r élytres sont plus allongés que le corps, elliptiques, noirs ou brun fonce Les ailes sont amples, de teinte bruni- tre et se replient au repos. . Les pattes sont brunes à leur extrémité et la partie supé- rieure en est jaune. Trad. libre du Garden. Chron. 1845, déc. 9, page 860. T 1946. VITIS AMURENSIS. — VIGNE DE LA RIVIÈRE AMOUR. Ce que peut l'influence d'une serre ! Nous avons recu autrefois de M. Regel le Vitis amurensis, petites feuilles qui ne nous prometaient ce merveilles. Le vapeu ende ayant cinglé vers site ой notre cher ami Standish a r sa nouvelle tente. Il avait planté, dans Serre ad hoc, une suite de vignes destinées e à ses fécondations croisées, et parmi © vignes, le Vitis amurensis nous frap euilles avaient tions; elles revétaient aussi des tons m geátres, ete. L'ho унн qui heur de recevoir des n ec? toujours adjoindre à Jui manque pas, le soin de soume "nouveautés à toute espéce qo - s ture expérimentale. a le devrai Ё T 1947. NÉCROLOGIE. ie dun A de la Flandre vient de un de lus puissants protec- teurs par : mort monte de M. Vicron VAN- DEN Hecke pe ТеМВЕ , Président de la Présidence du Conseil de survei ma l'Ecole d'horticulture de l'Etat, fonctio qu'il remplit, jusqu'à sa der avec autant de bienveillance et que de zéle. Nous lui devions ce té ` de bon souvenir et de profond Gef? Rz & Рау. SCABRA ч ос ы = z = с» PP a jan DE lah в: puat in №" 1897—1898. GUNNERA CHILENSIS rau. GUNNERA SCABRA Ruiz вт Pay. Gunneraceæ. CHAR: ACT. GENER. — Gunnera L. Flores тат ferum, uniloculare. Ouulum unicum(?) ex apie loculi pend opu igmata 2, sessilia, срии, plumoso-villosa. Achænium гараве Semen unicum, pendulu mbryo minutus, in in pe um. Embry axi bominis celluloso- -earnosi, radicula umbilico proxima, supera erba succo Ар in Africa el America: australi ie: -tropica non in excelsis Americae “is pr et Archi pelagi Sawdi censis 1 mon- tibus. obser e j oribus in scapo radicali composite spicato, ad ramulos асе, dius spicalis ebracteatis. а Laxx., Gen. n. 1972 à kinda DU DIN. Fora dioici. Perigonii —- Worm à рсн. ad Fre — Dis omene CH ET Sor, — Gunnera ele піса Lax. b) Per iu CSS er duo SÉ эзле abortientes. 405. — Gar Flores a bras e Pe- n- поти нна аг, caduc erpe а dio ; doe, diir: "үп, 495. етш), Gen., 405 Шау re Z ET d AV., Flor. peruv., t. 44, А PL., Nov. gen. et sp., II, Ca и 6. Gauptcu., ad Freyc., 512. Panke Peu, Омо, П, t. 50. Em, Ci HARACT ar — Hermaphrodita : fol. scapo longio orib. нме renifor mi-subro о- undas angulato-lobati 0$ 5 subses ilibus. R. Bn. ik EN ay it It, 100, es era Ruiz ЕТ man Flora peru- же, Y 29, t. 44 fig. a. à Reine des plantes vivaces, en се | portions gigantesques! Tout est gran- sens qu'elle les éerase toutes par ses pro- ! diose, tout est nerveux dans le Gunnera ; T 1948. MEMENTO. Versant une larme sur les trépassés, _ notre кон ami, M. Ed. André, t la rédaction de Diaen tion horticole, ajoute : « Quau moins nous ayons à saluer une aurore nou- velle et (niet si le soleil d'hier s'est touché tristement! On nous annonce Une publieation horticole spéciale au midi de la France; elle s'appelle l Hor- eoa des Alpes ere et ра- eux fois par m tha Revue НЕДЕ dis Bouches P “thé et la Revue des jardins, de ТАН . Mais, ce n'est pas là notre eism pages de son premier numéro, ven completement sous silence ŝa Voisine la Рьове, à l'occasion. d'une pl шев соч. quoique copiée mala- droiteme dinde ses larges feuilles, portées sur d'épais et vigoureux pétioles, acquièrent plus d'un mètre et demi de diamètre. L'ensemble simule, mais dans de vastes proportions, l'effet que ‘produirait un énorme spéci- men de Rhubarbe; mais la feuille du Gunnera est autrement épaisse, bullée, rugueuse; elle a la texture et quatre fois l'ampleur de eelle du Coccoloba pu- hescens ; enfin elle est réniforme. lei, nous ne lui donnons d'autre litiére que celle qui provient de ses propres feuilles. Les visiteurs ont pu mesurer le déve- loppement qu'ont pris nos grands exem- plaires occupant, chacun, au-delà de six mètres de circonférence. Le Gunnera est répandu dans les Andes et se rencontre dans les lieux GUNNERA CHILENSIS Law. paludéens qu'il affectionne; Ruiz et Pavon l'ont rencontré au Pérou et à la Conception du Chili. Nous ignorons d'où l'avait reeu M. Francois Vander Maelen, de Bruxelles, de qui nous en avons acheté l'édition, il y a environ 50 ans; depuis cette époque, la vente n'en a pas cessé; nous l'avons reproduit de graines et nous en avons toujours, de toutes dimensions (voir Catal. п" 150-151 réunis, page 225). Le Gunnera manicata, est également une espèce grandiose dans toutes ses parties, mais nous préférons Је port du Gunnera scabra, bien que la nouvelle venue conserve encore toute sa verdure à lentrée de l'hiver, alors que déjà repos. L. l'espèce ісі décrite s'est préparée au үн. ture, dans nos propres ateliers. — Il s'agit de lAristolochia Duchartrei, que le pre- mier nous avons illustrée en la placant à la page 55 du ХҮШ? volume de la FLone. La mention d'une planche copiée n'eüt certes pas été déplacée, et bien que M. André ne Soit peut-être pas l'auteur principal de l'omission de cette citation, il meùt pas dû, се nous semble, en prendre la responsa- bilité. Ce recueil nous donne comme deuxième planche un Cissus, puis un On cidium Phalaenopsis à fleurs de taille, et clôture sa première livraison par un Ficus aux revers argentés. ' Nous souhaitons néanmoins la bienvenue à notre bon confrère, dés < sa Joyeu лш. » L. VH. t 1949. POIS LAXTON'S ALPHA. ШЕШ un temps ой les variétés de Pois à iges tres-élevées étaient surtout recher- chées; aussi les semeurs s'ingéniaient.ils à "mir de nouvelles variétés, telles qu'elles pussent porter dignement les épithétes de nt, de Mammouth, de Leviathan, ete. Sauf quelques variétés joignant à une grande taille, le mérite d'être trés-tar- ves, ОП est revenu un peu qu'il faut cueillir à l'échelle et qui, malgré de solides et abon ` вайа = Sarment et de fleurs 00 Maille : voilà tout ce qu'il y a à voir pour établir le degré de fertilité d'une ariete, Exami LE i і E Duc irons, à ce multiple point de ` 3 M ^ on. ‚С FOIS Larton's Alpha, qui se trouve sure ci-contre, $ 4 : nts Le Pois Laxton's Alpha а des sarme e eu ramifiés, prenant deux (05568 зі dernier, et s'arrétant à maximum (1) ; anc ou d'Auvergne (Krombek des qui est la souche mère du P. Laxton Wë lific, lequel est intervenu avec la Үй hâtive Advancer pour pro nous décrivons et qui est semis de M. Laxton. La graine en est Ye ridée et d'excellente qualité. Le Pois Laxton's Alpha a encor remarquable qu'il est le premier, p е ceci de armi 165 ; n- : i jum, ре (1) La hauteur des Pois arrive au «ЧЕР ou s années humides, dans les 505 Es ourés. A ['établissem dant les : profondément labor А d M. Van Houtte où je les cultive о culture les terres défoncées en préparation p . variétés des Jacinthes, Tulipes, ete., va éi moyenne. | atteignent une hauteur au-dessus de la шо; MISCELLANÉES. 121 Pois ridés, qui soit réellement précoce; | Pois Laxton's Alpha occupera une Le u que avions jusqu'iei, dans cette | plaee définitive dans la colleetion des varié- catégorie, appartient à la seconde et sur- | tés adoptées par l'Etablissement pour son out à la troisième saison, celles des Pois | commerce de graines, variétés qui se trou- tardifs. | vent classées et décrites dans le Catalogue iim qe ‚ naraitre, et auquel nous №159 qui vient de paraitre; q renvoyons le lecteur. 96 Janvier 1870. Comme il en est de tous les pois ridés, | suceulente que chez les variétés à graine | e x um qui sont plus farineuses et, partant, | pius vite sèches et dures. | | 16 XVIII. MISCELLANÉES. Т 1950. GOBE-MOUCHE. La qualification donnée à l'appareil qui est représenté par la figure, indique аз- sez bien l'usage que Гоп peut faire de cet instrument. On sent, en effet, qu'il est par- ticulièrement destiné à la destruction des mouches, frelons, guépes, ete. Toutefois, il faut étendre eette signification, car ce n'est pas seulement les mouches ou autres insec- les de ee genre qui peuvent étre détruits amais nuisi Ques explications кені le Cole Mou: ne | pourront qu'être utiles au lecteur. ., L'appareil, ainsi qu'on peut le voir par la he к ee Kg d'un corps principal гез-ераі; il forme un hexagone el- arrondi à son sommet qui est muni d'une sorte de bouchon également en verre, renflé à son extrémité qui est sphérique et ereuse. ur trois des faces de l'appareil se trouve un trou cylindrique dans lequel est placé une sorte de tube recourbé forme de un é en cornue, et que, à cause de sa ressemblance avee une mamelle, l'inventeur a nomme D biles et peuvent étre retirés à volonté; ils sont en zine, се qui les rend moins fragiles. Pour faire usage de l'appareil, il suflit, aprés l'avoir placé où il y a des produits à préserver des insectes, de mettre dans le fond des matières susceptibles d'attirer ces derniers. Desfruits, en général, conviennent parfaitement ; de la viande peut aussi, dans certains са, servir d'appát ou d’amorce. Attirés par l'odeur qui se dégage, les insectes s'approchent, entrent par les tubes, et se Jet- tentsur l'appát où ils restent quelque temps, puis cherchent à s'en aller, се qu'ils E es les jardins, il est qu'on le pose sur le sol t aneleonaue, soit qu on que, Se. le suspende à l'aide d'une ficelle ou d'un H de fer que Гоп passe autour du goulot qui se trouveau-dessous du bouchon. Lorsqu 01 veut le nettoyer ou le vider, rien n'est plus facile à placer, soit des dimensions. Ceux qui eurer devront s'adresser à l'inventevo quai de Valmy, ou à son dépôt, 194, bourg Saint-Martin, à Paris. E.-A. CARRIERE: (Revue horticole.) 3 ғ and y wi 3. wÀ ool “зә уф al ” n ҒЗ -. р XANTHOCERAS SORBIFOLIA Bunge | т е Miss Hoshkinmme 125 1899. XANTHOCERAS SORBIFOLIA wa Sapindaccæ. А d Xanthocera d т. pl. 1 «D» gami? Sepala 5 æqualia, æstivatione quincunciali, | (1854); ИВ Date Е ы, nacea, esqua- | I, р. 408. à CHARACT. SPECIF. — X. arbuseula, ramis flava, petalis alterna productus. Stamina 8, hypo- laberri- syna, subæqualia, 5 antheris majoribus, filamentis : elongatis glabris. Ovarium 3-lobum 3-loculare, lo- latis argute serratis, floribus race ` i і 4 : Ve bus majusculis, petalis obovato-spathulatis albis inferne flavidis dein purpureis. ^ ш Xanthoceras sorbifolia Daer РІ. Ching bor., ` Keck septiferis. Semina globosa, testa atra levi. II. — Dexe in mss (Hic). шргуо.... Has. Mongolia orientalis, prov. Jebol (А. Divin). нанын ашасы ы „з: L'introduetion dans nos jardins d'un secrétaire. d'ambassade, M. Pichon, qui arbuste d'ornement rustique est une |a eu la constance de rapporter du fond bonne fortune dont le Muséum est rede- | de la Chine à Paris, et vivants, les pré- vable à l'un des Missionnaires apostoli- | eieux arbustes qui lui avaient été confiés. ques en Chine, M. l'abbé Armand David, continuateur des travaux du В. P. d'In- | objets sur lesquels j'avais particulière- Carville, auquel nous devons l’Ailante, Tabbé le Sophora, la Reine-Marguerite, ete. ; | David; on verra par Г mais le Muséum n'est pas moins rede- | qu'il m'a adressée que mes recomman- Vable de cette introduction à un jeune | dations portaient également sur un arbre T 1951. LES MOUCHES. ША cent fois maudit les mouches? | en faire un grand carnage tandis qu'elles et] nt, à coup sûr, les plus importunes dorment. . diu es moins génées de nos hôtes, ll faut | Nous avons vu quelques RT = eris touchent А tout, qu'elles goûtent à | servir d'un petit appareil p: leu? в «Це laissent. partout. la trace de | par M. Gayot dans son amusant ouvrage : dun Г GE, On les oublie un peu pen- Mouches et vers. liver; mais, dés que reviennent les | Ce sont des plan- eg тайа: oyens ne sont раз tou- efficacité. eureusement, d'une complète «bus Ae mais sils nous permettent de nin Deine au moins d une partie de que choes. oinestiques, c'est déjà quel- Tas le Midi, on emploie un procédé қ imple. Оп suspend pe It faisceau de branehes de saule ou de Es e Quand la nuit vient, les mouches ` ееп par centaines, et l'on peut alors 8 E. = E В е 2 е” e = e = i deux surfaces qui se regardent, et o un vestibule, dans unc | art enfin а portee. Les mouches vien- que p nent en foule recouvrir le „е EE E \ | n suspend l'appareil dans antichambre, quel- s plancheties ; 124 de premiére importance, le Cedrela si- nensis Ар. Juss. appelé, je crois, à rendre de grands services à la sylviculture. Le Xanthoceras sorbifolia cultivé au- jourd'hui au Muséum, est un arbuste d'un métre environ de hauteur; mais je suppose qu'il formera par la suite un petit arbre de la taille du Koelreuteria qui appartient également aux Sapinda- cées et en compagnie duquel on ren- contre le Xanthoceras en Mongolie. Les fleurs et les feuilles de cet arbuste apparaissent en méme temps et naissent а bourgeon écailleux qui termine le rameau ; ces jeunes rameaux portent, à la base, des feuilles réduites à des sortes d'écailles foliacées entières ou pennées à l'extrémité; elles se composent de 7 à 9 paires de folioles lancéolées aiguës, fortement dentées et pliées, sur leur lon- gueur, avant leur épanouissement; la forme générale de ces feuilles justifie parfaitement le nom spécifique imposé par M. Bunge. Les fleurs sont disposées еп grappes dont la longueur dépasse souvent vingt centimétres; ehaque fleur, longuement pédicellée, est accompagnée à la base de bractées et de -bractéoles ovales foliacées; leur forme générale XANTHOCERAS SORBIFOLIA Вхвв. rappelle assez bien celle de certaines Malvacées du genre Sida; les pétales, obovales spatulés, très-chiffonnés avant leur épanouissement, sont remarquables par les changements de coloration que présente leur onglet qui, du jaune, passe au mordoré, puis au violet-pourpre, sur lequel se détachent des anthères d'un jaune brillant. Toutes celles que j'ai eu occasion d'étudier depuis deux ans se sont détachées sans produire de fruits; on sait qu'il en est souvent ainsi pour des arbres de récente introduction; mais j'ai lieu d'espérer qu'à défaut de graines il nous sera possible de multiplier le charmant arbuste qui nous occupe, soit par la greffe sur le Koelreuteria, soit de bouture. Aprés l'avoir conservé depuis deux années en orangerie, le Xanthoceras $ l'automne dernier en pleine que nous venons de traverser (Extrait d'une lettre de М. l'abbé А. Daym adressée 4 M. Decaisne.) C'est en pleine Mongolie que me parvient votre lettre du mois de juin (1866) par laquelle vous avez la bonté de m'annonce la reception des objets que j'avais confiés a M. Pichon. Je suis heureux quil ait eu la leese" еп passant vers le piége, on le ferme brus- quement avec i quand le nombre en est trop considérable. lons, pour mémoire, l'usage des і dange- animaux, soit méme pour les enfants. П est préférable de se servir de ces fio- les à large goulot, à moitié remplies d'eau ou d'huile, et dont l'ouverture est frottée de miel; i mouches et Гоп ne court au : Ce qui vaut mieux encore, c'est l'emploi d'une décoetion de Quassia amara, sub- stance qui n'est mortelle ue pour les m n fait bouillir dix minutes quelques grammes de Quassia amara dans Ü grammes environ d'eau ordinaire ; оп queur ainsi obtenue et on la , D dépose simplement dans un vase quelcon- — gliger : entretenez la dans les chambres, en autant que possible, volets et rideaux. A Deux mots maintenant de 1 m leue de la viande, cette pondeuse ! tigable, qui transforme souvent Rue" que chose de putride et d'infect le ró lequel comptait la ménagére. G Estil gëss de s'en défendre? Owi C'est surtout affaire de soins et de Р tions. П s’agit surtout de posséder d garde-manger métallique, bien e suspendu au frais dans un bon € C'est le meilleur secret. est реб Pour les bouchers, ce moyen n° praticable; aussi la mouche bleu : leur désespoir. П y a deux ec mite conseiller : la première, ce serait ¢ > Beer ` XANTHOCERAS SORBIFOLIA Byer > réellement que c'est une plante délicate et | importée à Pékin. Je n'ai jamais pu, malgré | vos pressantes recommandations, en obte- | nir de bonnes graines. Toutes me parais- | sent avortées ; aussi n'ai-je jamais rencontré | un seul jeune individu sous les vieux qui se trouvent à Pékin ferai me vous Vous savez peut-étre que j'ai passé huit mois de l'année derniére dans l'Ourato. J'y ài dépensé beaucoup d'argent, perdu mon temps et mes peines, car le pays est très- pauvre, bien qu'on m'eut dit le contraire à Pékin; je me suis avancé jusqu'à environ deux cents lieues à l'ouest de cette capitale; cependant. mon herbier est intéressant. La Flore de la chaine de l'Oulachan, où jamais européen n'avait mis les pieds, a un caractére Particulier, Beaucoup d'espéces communes dans les montagnes de Pékin et de Jehol, ne % rencontrent plus ici. Parmi les plus inté- геззатцез, је note une Ancolie à fleurs ver- tes (Aquilegia viridiflora) quì abonde; une h ie Légumineuse à fleurs rouge de sang em); une sorte de Sophora herbacé à Mbreuses fleurs blanches trés-odorantes — 125 feuilles linéaires. C'est là que j'ai tr et à fleurs jaunes pendantes (Clematis fru- ticosa), lautre, un joli petit arbuste à 14 к. erois avoir réuni à peu description à Pékin, sont aujourd'hui. peu prés détruites; quelques vallées situées à l'Ouest présentent encore qu LY arges sam cailleux, quelques Thuias. Deux ou Saules, un Tilleul, un Padus croissant au bord des ruisseaux; mais ni Frêne, ni Mi- coeoulier, ni Sureau, ni Ailante, ni Vitis, tres de Genéve. M. Gayot nous eL е, d’après le récit d'un voyageur, que les bouchers de Genève chassent com- et iu les mouches de leur boutique l'odeur ч, “tes tout simplement par üh € l'huile de laurier. Cette odeur peu forte leur est aussi désagréable que . Michelet, qui est un peu poéte, pré- « Boucher, tu as ша pratique. fournir chez toi. N'hésite e-moi un joli morceau, son langage : Je veux bien me раз, sot avare. Coup et je te rendrai service. Je tuerai tes mouches à tuer. » Mais gué- pes et bouchers = Е sé и: Te il s’en faut; et c'est tant t pas toujours bien, pis pour les bouchers, raison. si M. Michelet а A. DEBRIE. (Gazette du village.) nd x : que la guêpe dit aux bouchers dans 126 . excessivement rare ni Rhododendron; le Chêne lui-même est | serjaniæfolia et p des v euve Jaune au bord duquel co tivement larges. Partout où la culture a été possible, on la voit exercée par les Chi- nois, qui ehassent devant eux les popula- tions mongoles pastorales. Celles-ci, d'iei à peu,set t ; refoulées jusqu'au grand désert de Gobi, dont j'ai pu apercevoir les sables jaunes et mouvants. V ord de la Chine; ces derniers se réduisent à quelques poires, les abricots sont meilleurs; une seule petite cerise est insignifiante; les prunes blanche et rouge ne valent rien. Nos Diospyros (D. Schi-tse) greffés donnent en automne c magnifiques et excellents fruits qu'on mange blets; nous n'avons pas ісі le Kaki, 8 coings. Point de néfliers, mais beaucou d'azeroles sur les marchés; i ainsi que vous erbier, provient d'un arbre lo; sauvage mangeable que Jai envoyé (Vitis amurensis) pourrait bien étre la souche de la plupart des vignes chi- noises; les autres espéces sauvages à fruits bleus et à fruit rouge cerise (Ampelopsis XANTHOCERAS SORBIFOLIA Byer. tré un Tamarix à feuilles rela- humulifolia) s'éloignent igne opéennes; | | excellentes variétés de jujubes; mais il est | probable que le climat de la France ne sera pas assez sec pour la culture de cet arbre. | Je vous envoie ci-inclus de la graine de | Mou-Sou(1) à fleurs bleues, appelé domesti- que par nos Chinois (Medicago sativa) et du Mou-Sou à fleurs jaunes, dit sauvage (Me- icago falcata). Les deux sont cultivés épinards, et ils donnent le nom de Мош Sou à la plupart des Légumineuses herba- cées à trois folioles. Je vous recommande un charmant ar- buste papilionacé qui couvre toutes les eol- lines de la Mongolie, qu'il orne de ses nom- breuses grappes de fleurs roses, inodores et qui se succèdent pendant plusieurs moi (Lespedeza bicolor). » М t me suis adressé à M. l'abbé David pour e de la graine, qui m'a T mais elle nous a aussi appris que cette plante pt te, comme en Europe, deux types : à fleurs bleues (Medicago sativa), fleurs jaunes (Medicago falcata) ; el podes de plus que cette plante fourragère est gc —— T 1952. LES BANANIERS (MUSA). AS Là , H A Pus il est un végétal que le bon Dieu eùt préserver des ouragans, c'est assuré- guere de prise aux meilleure figure; mais Bananals brésiliens, ne sont réellement pas beaux à Ја ps ‘ериоп vous y attendrait. amais la fantaisie ne nous а pris d'aller е . Z №015 herboriser dans la patrie du féroce Neg Caramba ! mais, il nous semble que pieds de hauteur, et aequiert un envergure. C'est le seul qui se propage celles-ci sont encore très-rec exemplaires qui existent. dans les й tg; mais il 40 D D ne tions sont assez clair-semes; nd y ФЧ P kal ^ t M wÀ жа ве tA РАД STA М 8 Lindl. > TER => à TETTE EE ТИ EI DEE PREET de СТАЕ, ИИ Re жал сарала а " ЧЕРЕНКИ ОЛИЧ dé dd SO RN c 1900. LEUK PRÆSTANS vm Orchidaceae. BLETIA PRÆSTANS Вснв., in Walp. Ann., VI, 525 | | Lælia praestans Bon, olim,in К. Коси, Bert. | Allg. Gtzt., 1857, p. 556. Le Lelia præstans, originaire du Brésil, a été décrit e Berliner allgemeine Gartenzeitung de 1857, р. 556, par notre illustre collaborateur, le D' H. G. Reichenbach, aujourd’hui directeur du Jardin botanique de Ham- bourg. Ses fleurs, qui se montrent pen- dant le cours de l'été, sont des plus brillantes et restent, pendant trés-long- temps, fraiches её luxueusement épa- nouies ; leur texture, à nulle autre com- parable, est des plus épaisses, des plus fermes, et cette précieuse qualité expli- que leur longue durée; elles l'empor- tent en beauté sur celles des Lelia pumila, dont il ne faut pourtant pas déprécier le mérite spécial. Le petit Lælia pumila, que l'on fait à tort dériver de l'Essequebo, est origi- naire de la province de Rio de Janeiro, d’où M. Pinel l'a surtout envoyé de la Colonie suisse, installée dans cette chaine de montagnes sises à une quin- zaine de milles au nord de la baie, au lieu connu sous le nom de Morro que- mado, qu'on qualifie ironiquement de Morro pelado. Les Lelia pumila et præstans пе ré- clament aucun soin exceptionnel de cul- ture et fleurissent ehaque année. p Үй; ———n ne pubs bonnes graines qui mürissent dis FE ent dans nos serres, Les jar- каш el ie auxquels M. Barillet est en mpri 1 ois probablement ceux qui froide P. d'abord d'en doter largement la s voli e ou lon singénie mé Bee Der, en les comprenant déjà dans assifs de plein air ou les malheureux, un > - ga Ф vales bi iè i bien tiëdes pour eux, ne laissent pas d Deeg? we 215), aux proportions remar- Log nt sveltes et gréles et qui ne dé- lui, au x quatre pieds de hauteur, trouve, i ntraire, sa place dans chacune de no D . développe méme les plus exigues; il y е, tout i Ge dont les s à son aise, son spadice sur plusiem с Plusieurs rangs, frappent l'oeil par leur brillant coloris du rouge orangé le plus vif; et nos deux introductions, les Musa zebrina et vittata (Рьове, X, 225 et XV, 25 à 27) n'ornent-ils pas, et nos serres, et que l'on peut. distribuer dans ce qu'on ap- pelle des serres d'hiver p i eux des canapés, des tables; ainsi sous les tropiques... au fig | de plantes peuvent vivre Sous leur aile : des Strelitzias, de grandes Marantacées! et, sous leur ombrage, que de plantes en vase rolongeraient leur floraison ` zr А г. VE E AER T goce 128 MISCELLANÉES. t 1953. THERMOSIPHON A TUBES ANGULAIRES. C'est toujours le thermosiphon à eau que lon chauffe à l'aide d'un assemblage de tuyaux exposés à la flamme. L'inventeur a i a ronds; il еп a agencé les extrémités dans des cadres également creux qui les relient et les tiennent un peu distancés entre eux, s'ajuster à volonté, nous remarquons que le cadre supérieur avance moins que les autres, sans doute afin de laisser place à la construction de la voüte; le dessin vu de face démontre cependant le contraire, ce deuxième cadre est aussi long que celui qui se trouve sous lui; peu importe. Le tuyau de départ est unique ; c’est l'un des grands défauts de tous ces appareils de ne laisser que peu d'ouverture à la sortie de l'eau. La pose de la cheminée est élémen- taire; celle-ci doit toujours étre bátie contre le chauffage et non pas à l'autre extrémité de la serre, comme on le faisait sous l'ancien régime : de la fumée qui circule horizon- talement cherche issue partout et remplit % le local d'une insupportable odeur empy- reumatique, aussi fatale aux hommes qui doivent y vivre, qu'aux plantes que cette odeur délétére tue à la longue. Le ІШІ ПІ M == ) 2 74 X Io KONU RUY Kë SYMPHYTUM OFFICINALE foliis luteo -marginatis м I + U n B nididAne nshane LR. ы акан Шан, ілме Б ы, S 1901-1902. SYMPHYTUM OFFICINALE FOL. LUTEO-MARGIMTIS, Boragineæ. CHARACT. GENER. — Vide DC. Prodr., X, р. CHARACT. SPECIF. — Vide ibid. X, 57. 56. Aussi belle que fiére, cette variété ornementale de la grande Consoude, trouvée à l'état sauvage dans une prai- rie par М. J. De Beucker d'Anvers, est conséquemment aussi rustique que vi- e sa panachure. -La grande Consoude se rencontre fréquemment dans nos prés humides; сезі done dansles endroits frais de nos jardins que nous la caserons. Sa multiplication 5 opère facilement par éelats, en automne et au printemps, ou de boutures de raci- пез, en serre, au printemps seulement. L'Eranthemum igneum(? , habituel- (1) Fore, XVII, 19. lement le souffre-douleur du jardinier inintelligent, jalouse la facile beauté de notre Symphytum, qui ne dépend guére,lui, du savoir du jardinier et à qui celui-ci lance, en signe de mépris, le reproche de son origine toute roturiére, toute plébéienne : Onne t'a pas déniché . dans les fissures d'un roeher qui borde un torrent dont les eaux mugissantes se précipitent de la haute Cordillière du Pérou vers un affluent de l'Amazone! » A quoi l'enfant du pàtre répond : « Si tu brillais sans étre utile, r Jour on dirait : Ce n'est qw étoile qui file, Qui file, file... et disparait! > Вен. L. VH. T 1954. POIRES BELGES DÉBAPTISÉES. ao d épendamment des considérations que venons de présenter sur la nomen e m. = B "ә 5 — 5 e E. о 5 >. da 5 Ф Ee e » > LI i “ч le fait de voir nos fruits les plus q x débaptisés à l'étranger. La Belgique ана pe et bien légitimes récla- Sa faire à ce sujet. Croirait-on qu'à our se, i person > | ne ne pouvait aller, Parmentier seul | "ea 0 | XVIII. ' connue sous le nom de en les plantes nouvelles, afin d'en meubler les serres de la Malmaison, séjour de l'impé- ratrice Joséphine. C'était donc chez Par- mentier qu'il fallait venir pour se procurer horticoles. livré au commerce en Егапее sous le nom de Beurré d'Aremberg. Qui fut l'auteur de ce délit? peut-être Noisette, peut-être Par- mentier, qui était intendant du duc d’Arem- berg. Toujours est-il qu'en France le nom falsifié prévalut. Ce n’est pas tout; dans les environs de Mons, cette délicieuse poire est Glout-Morceuu ; de a fait en France : signifie friand; d'où le mot gloutonnerie. , | Glout-Morceau, c'est donc friand morceau ; 16 150 goulu, au contraire, c'est le mangeur. Ainsi, le Beurré d'Hardenpont est devenu un vorace mangeur, au lieu digne d’être mangé. Mais on a fait plus, on a confondu le gain d'Hardenpont avec le Glout-Morceau de Cambron, poire entière- ment différente et de i jusquà dire qu'Hardenpont ne l'avait pas gagnée. Notez que ces prétendues découvertes se font un CA ` ° 2 siecle comme si les gains d'Hardenpont étaient une gêne pour nos voisins? lei encore le nom de l'illustre obtenteur est disparu, et les écrivains français, MM. Decaisne et Hanovrien Archiduc C rles. Assurément la fausse désignation donnée par Van Mons a pu induire momen- tanément en erreur; mais aujourd'hui que cette erreur est reconnue, pourquoi ne pas rétablir le nom véritable? Cest, dit pas confondre 0 Pardon, il y à inconvénient, il y a délit, il y a ingratitude à faire disparaitre de la nomenclature le nom du fondateur de la pomologie. ‚ Tandis qu'on débaptisait ainsi le Délice d Hardenpont, on donnait à Angers ce nom а une poire qui n'a j'amais été cette espèce, _ mais qui avait été envoyée sous ce nom à M. André Leroy d'Angers, en 1852, par Van Mons, et qui est aujourd'hui déerite | SOUS d'un fruit | | nier, mais la figure et la deseription qu'en MISCELLANÉES. et figurée par le savant pomologue francais Délice d’Hardenpont d'Angers. Nous ne connaissons pas ee der- с. © ne M. Leroy dans son remarquable Dictionnaire de Pomologie, nous porte à croire que sa poire n'est e que la Fondante du Panisel d'Hardenpont. Celle-ci à été gardée en original dans la famille du célèbre semeur, à Tournay. L'abbé Nicolas Hardenpont avait à Tournay son neveu, Charles-Bernard Hardenpont, chanoine de la cathédrale de Tournay, mort en 1826, et une nièce mariée au conseiller Macau. Dans le jardin de Macau à Jollain, étaient deux arbres au vent de la Fondante du Panisel, greffés du temps de Nicolas Har- enpont. Ces pieds étant morts de vétusté il y a peu d'années, M. le notaire Macau fait regreffer l'espéce qu'il conserve avec soin. Or, si nous examinons et le type du fruit et la description de l'arbre du Délice d'Hardenpont d'Angers, nous croyons у retrouver la Fondante du Panisel. Ce point au reste est à vérifier. = marquable d'Hardenpont, a et 1 ébaptisé à son tour, ici encore, un siècle aprés, on a voulu lui contester © une vieille poire francaise. Ainsi que nous l'avons dit, ce fruit, lorsqu'il provient un arbre vigoureux et abondant en sève, а 2 un pied arrêté en sève, le goùt rance dis- parait entièrement et fait place à un. exquis. C’est dans le premier état qu сү denpont lui а donné son nom. M. l'ab Charles-Bernard Hardenpont nous à ч vent dit que son oncle avait ainsi e cette poire, parce que, dans l'origine de 5 gain, elle avait un arrière-gout D" mangé © quil y et avec porter au village de ce nom, inventérent non pas la que le village de Rance n'a jam fruit que dans limagination rom H 2 г ж %. SN % ТҮОЖА (hybr) Robert-le-diable 1 2 Semis LVH. 151 1905. ТҮРА (van) ROBERT-LE-DIABLE (1. vu.) Gesneriaceæ. Cest un Tydæa à rhizomes écailleux comme le sont les Achimenes, c'est-à- dire de conservation facile pendant l'hiver, puisque, perdant ses tiges et ses feuilles et ne laissant que ses rhizomes à conserver à l'état sec, il ne sera pas rebuté comme vont l'être bientôt les Tydæa que Гоп était jusqu'ici forcé de mantenir en végétation depuis Гап- tomne jusqu'au printemps pour пе pas les perdre. Le seul avantage qu'offrent les Tydæa dépourvus de vrais rhizomes réside dans leur propriété de prolonger indéfiniment la floraison des Gesnéria- UN саг ils fleurissent pendant tout à BR dernière catégorie rentre 85) еа hypocyrthiflora (FLore, XVII, ini b "as | moment (20 février), nos serres de son riche feuillage si fi е LA ` nement bullé et orné de veinules si caractéristiques, et de ses fleurs si nombreuses, petites boules charmantes, du plus bel écarlate, à petite bouche en étoile. Pour celui-là, aussi, il faut des soins l'hiver; il ne perd pas sa parure et n'émet, à l'instar des fraisiers, que des stolons qui servent à le bouturer. Mais ce rara avis, mais cet Achime- nes bleu (Fong XVIII, 77) que l'on rangera probablement encore parmi les « bleus de jardinier » jusqu'au moment ой ses fleurs seront vues, се qui s'appelle vues, en août prochain, celui-là ne don- nera pas de soucis, ear il est riche en rhizomes écailleux et, tout comme le Туйга Robert-le-Diable, se propagera indéfiniment de bulbilles. L'Achimenes bleu et le Tydæa Robert- le-Diable seront disponibles en mai; quant au Pearcea hypocyrthiflora, il l'est. dès ce moment même. L. Vis Se ды d'une nouvelle espèce. | нь. 0 qu Hardenpont gagna le | apris, da е; ог, voici que cent et sept ans | tulé ени п magnifique ouvrage inti- | іе. enini de Pomologie, M. André | paye sees : illuminé, parvient à днем am ce nest pas un gain d'Har- n 1618 Mus une vieille variété indiquée par Le Lectier sous le nom M. Noisette, qui a débaptisé en 1675 par ‹ à t Yerd. я Beuré d'hyver, estant gros, < eau peu sA TH ovale, et bœuré, d'une c QL evée, et meilleur encor cuit ru 'oilà bien, dit M. André L Cru, > егоу a Шы GER ; У, la description du Beurré rance. Nous disons, nous, que cette description peut s'appliquer à vingt fruits, mais que très-certainement elle ne le peut pas à Ја celles de ` c jardin fruitier de Noisette à : né rupp, Nous avons rapporte du quelques années, cet А а а A = S © 2 > вез hei uw 2. "S = ч ^—- re cuire, ісі est « qui a la chair « beurré ordina « janvier. Sa peau = = = e. D = е» © ° a = Б 5 ^ © — — © Ce » Voilà d est net. D'ailleurs, co peu t-on imaginer qu'un aussi excellent fruit, si remarquable par l'époque bien е еце que le gain lui-méme. C'est itesse, indigne d'une grande sio: veris la France, de vouloir enlev er à la Belgique ses succes en pomologie, et dim nous voyons dénier à Hardenpont e pores succès et faire disparaitre glorieux de la повеете des = mg sommes en droit de nous га pas | oci un petit sentiment de jalousie nationale. Nous con- E cela chez des gens sans étoffe, mais un homme de la valeu ur de M. André T- Depuis, elle a eu vingt autres noms, é mérés dans le Dictionnaire ротову de М. André Leroy, mais celui mieux servi l'humanité, que le plus gr 'and des héros en faisant tuer un million mmes. VOrpheline, cet autre excellent fruit, gagné par l'abbé Deschamps dans le jardin ^ l'hospice des Orphelins à Enghien, dont il était le Directeur, fut aussi débaptisé à son tour. Van Mons le nomma successive- rines Colmar Deschamps et Délice des lins; puis, en 1827, le Bon Hu Zeng désigna na sous le nom de Beurré d'Arein- . Ia xogue de ce manuel horticole e nom dans le Brabant, en sorte a d'Aremberg, si ce n'est parmi les poires débaptisées. Le Con- grés pomologique de Fra qui parait "riga ра, rg l'histoire des fruits bel- А rh ren € cette erreur en désignant Coach ine ue le nom de Beurré d'Arem- MISCELLANEES. Le Seignenr < аа а subi le méme outrage. Non-seulement on a fait disparai- tre de cette See le nom de l'obtenteur, our la nommer Zelle lucrative ou Berga- mote lucrative, mais M. Liron d'Airoles а voulu en enlever la gloire à Esperen, en pré- tentent qu'elle avait été gagnée en France, à Maubeuge, par M. Fiévée. Malheureuse- ment pour ce оар dés 1851, Lindley la déclarait unepoire flamandeet non fran- caise. Quand au nom de Bergamote e tive, ce n'est point là une désignation ( tenteur, mais celle d'un marchand de poi- res. Partout nous voyons done les poires belges débaptisées г à l'étranger et nos CR les plus précieux : attribués à d'autre Mais celui qui a débaptisé le plus $ poi- res, et qui ile faisait par système, est feu notre ami Van Mons. Changer les noms des our lui une démangeaison en substituant aux dénomina- de ses amis et connaissances. C'est en 1819, dans les Ай- nales générales des sciences géie а il inaugura ce regrettable systéme. Le В 4 des Tr ois- Tour s fut d baptisé et Si Ва urré Diel; la Calebasse de Swates, de Linkebecke, ' Calebasse Bosc; la Fondante des bois, Beurré Davi l'Orpheline, Col- mar Deschamps ; rur еніне Beurré Dra pier ou. Beurré Picquery; la Calebasse Се rafon, С Calebasse Уап Мағит, ete, Van Mons s'était constitué le curé g général de la рошооше, rebaptisant sans merci tous les gains belges, au grand détriment de la n no- menclature; et comme son immense le mettait en rapport avec tous les pomo- logues d'Europe à qui il MAS nos fruits, il est en partie laute г de la contu- sion qui a régné dans les sonis des poires belges. : - La conclusion de ce qui précède, de qu'en ب ا‎ cume. en ue ique, © c'est le dro pine de l'obtenteur. Celui qui а €0 cré des années à gagner u droit de lui donner un nom, € a pour lui la priorité, doit étre гөр. n'est que par cette règle qu'on parvi vien hir à éviter la confusion qui menace d'envan la nomenclature pos c. DU MORTIER: оону о " Lar SCH 2 Panis, RNAI, Ve Casterman ; Un vol. rue ho aparte; LEIPZIG, Kittler. 248 pages, avec fig. d [ ^ T A $ 8 ES 4l wn MAM мын, ә" e и” DENDROBIUM TAURINUM Lindl % Manille Serre chaude. 1904. DENDROBIUM TAURINUM ¿asr Orchidaccæ. CHARACT. GENER.— Vide supra, vol. Ш, 226. CHARACT. SPECIF. — ien wie d Seier zi emarginatis, racemo oblongo, sepalis obtu- siuseulis, petalis linearibus contortis duplo wa Importée des Philippines par le vieux Cuming, cette espèce continue à être recherchée à cause de son abondante floraison. Ses tiges atteignent au-delà d'un mètre, et c'est vers leur sommet que se montrent ses nobles racèmes qui sont de si longue durée. Son appellation dérive de la forme de sa fleur dont —— p labello oblongo apice crispo Lie Mu b se vatis intermedia apice flexuosa endrobium taurinum unes Bo = 13 0. ë XXI, 28. l'ensemble mime une téte de taureau. Ce Dendrobium requiert la chaleur humide pendant sa eroissance, un milieu moins chaud et presque see pendant son repos, moment que l'on choisit pour détacher de sa tige les pousses aoutées et enracinées qui ont pu s'y produire. L T 1955. LES GOODYERA MACRANTHA ЕТ VELUTINA; LEUR RUSTICITÉ. (Voir Fong, XVII, 115 et 115). 5 Nog avons ouï dire, en différentes cir- ре o x; wen sont que le portrait dur qu il était difficile de croire que ces mantes plantes résistassent, en pleine enm ее азе» de notre climat , e Мега? € lussent pas plus délicates que ph chidées de pleine terre, à cóté des- SH elles sont eataloguées dans les Prix- ants de M. Louis Van Houtte. Quy atil done là de si étonnant, sont originaires du Japon? e ne s'est-elle pas enrichie de plantes j Japonaises de tout genre t | premier mérite, qui s'accommo- Ech c haie exposée au nord-ouest; on $ plantes, on recouvrit chacune d'elles d'une petite eloche à boutures, puis on ne s'en occupa piss ou du moins fort “Elles passèrent, ainsi oubliées, la fin de l'été et l'automne jusqu'à l'entrée de Г hiver; c'est lorsque les m n е à s'annoncer que Гоп s er juger par. Le ату "feuilles qu'elles avaient émises, elles n'avaient ри mal pro- fité du dubia nien E s'étaient trouvées; leur santé ne laissait rien à désirer. Оп ta eius les cloches dee légère couche de fe milles. sèches, autant pour les préserver contre un brus- a: que pour les r du froid, s abandonna de nouveau à elles- Fin pe était descendu à — était maintenu environ trois $ alors que le Пето i 10° — 11 emaines, £ un état prêtes à riode végétative dés que sera adoucie. lequel elles ` MISCELLANÉES. + 1956. THERMOMÊTRE-AVERTISSEUR, L'invention du thermomètre remonte au e vers la pre- du siècle suivant qu'on est H LA rvenu à le construire d'une manière соп- à savoir : sur [а dilatation et sur la contrac- tion qu'éprouvent les corps dont on se sert, mercure ou alcool, selon lélévation ou l'abaissement de la température. Le thermomètre primitif, ou le plus an- cien, est celui dit à mercure; un autre, dont l'emploi s'est beaucoup généralisé aussi, est le thermomètre à alcool, qui ne diffère du précédent que par la nature du liquide ren- fermé dans le tube. Ce sont les deux ther- mométres les plus répandus en horticulture, Le thermomètre piquet, dont on se sert Fabricant Überkampf, 22, ST Vu en dessus, d'une plate-bande, soit dans le terreau d'une couche dont on désire connaitre la tempé- rature. Nous rappellerons encore, bien mètre à air, destiné à mesurerles moindres les thermo- tous deux gradués sur ordinaire à mercure; le second, d'une extréme sensibilité, ne sert guére que pour mesurer des changements instantanés de température. Lethern:ométre rend d'immenses services Үш en dessous. Thermomeétre-averiisscur, beaucoup dans le jardinage et principale- me ans la culture maraichére, n'est qu une modification dı premier; son tube, au lieu d'étre appliqué sur une planchette est renfermé dans un étui en fer-blanc eu еп zinc percé de petits trous, et pointu à sa partie inférieure, de manière à pouvoir le faire facilement plonger, soit dans la terre à l'horticulteur, quel que soit le genre й culture auquel i Ue culture ape air qu'à la culture pu erre, et c'est surtout pour e que cet instrument est des p t dans h dispensable méme, prineipalemen ois qui saison hivernale, ainsi que dans le i précède et dans les deux mois qu! = Шы. 8 ами PTERIS СВЕТІСА ALBO LINEATA % Чата. Serre chaude ou tempérée. | £50 I 155 1905 — 6. PTERIS CRETICA ALBO-LINEATA, Filices. Oh! non, nous ne sommes plus d'hu- meur à nous ramentevoir de ce passé-là ; ce n'est pas à la vue de cette plante que l'envie nous prendra de chanter : « Potage à la Julienne Qui m'a coûté cinq sous! » L'édition que nous en devions possé- der seul nous а bel et bien coûté des centaines de thalers!.... Cependant la méme plante, précisément dans ce temps-là, se cachait ailleurs, et quand elle eut mis le bout du nez dehors, nous eümes à nous consoler... d'une déception de plus ! ‚ Cest ee qui nous a fait reculer tou- pus son apparition dans les pages de dE Aujourd'hui, on la trouve par- » Car elle s'aecommode des traite- ments les plus barbares : on la fourre ——— sous les gradins, quand on n'en a que faire, on la suspend dans les vestibules, on en orne les jardiniéres des salons, on la met en serre froide ou en serre ehaude, ad libitum, et jamais elle ne refuse d'étre attrayante et belle. D'oü serait-elle venue? М. Blass, d'Elberfeld, qui nous en a vendu l'édi- tion, l'avait-il reçue d'un établissement qui importait habituellement de Java? y aurait-elle été introduite du Japon par ces caboteurs orientaux qui trafiquent de plantes ornementales tout aussi bien que d'étain? Chi lo sa! Notre ami M: T. Moore, si compétent en la matière, lui assigne le Japon pour patrie, assertion qui semble plus fondée que celle qui en fait une plante java- naise. Le қаға, Ce n'est pas sans cause que сы. n du cultivateur de plantes forcées Ps сајан éveillée par la crainte des é- crai adii causer à leurs produits un de fois Au Pro de température. Combien а ра тер, les ardiniers maraichers eie ың ege fleuristes, tous ceux temps es produits n'exigent pas une perature chaude continue et qui n'ont à ue | ; £ Ога Sien de la température du soir ou une heure assez avancée de la nuit durerait j а , : : il It jusqu'au lendemain matin, se sont- lis геро sd ip: ° une fidélité à toute épreuve pou- > disparaitre toute inquiétude de | М ceque viennent de découvrir kampf i th. et Fournier, 22, rue Ober- ; 'ermométre inventé par ces ex- de ceeóté cellents fabricants d'instruments d'optique, et dont nous donnons iei la figure, porte le : e з nom de thermométre-avertisseur. Cest un PEN тырт realli $»Àmoment simple et de construction fort ingénieuse. Nous l'avons vu fonctionner toujours avec une régularité parfaite chez M. A. Pelé, horticulteur, rue de l'Oureine, 151. Nous mpruntons à une notice de M. le docteur Augustin Durant(l) la description de ce thermomètre. < C'est, dit l'auteur, un ther- momètre métallique e omm l'aiguille vient € à | le ër? s'établit et fait mouvoir une son- e à droite, 1 muniqua (1) La médecine et l'hygiène à Exposition mari- time internationale du боге, en 1868. 156 Фе. On se sert de l'un ou de l'autre pour marquer le degré dont on veut connaitre la venue selon le cóté de l'aiguille vers lequel est aps le chiffre qui indique ce degré. e dont on se sert à cette occasion est fort peu coûteuse (environ 8 fr.) e n'exige que peu de soins d'entretien. L'emploi du thermomeétre-avertisseur est done des plus faeiles. Ainsi, si e possesseur de cet instrument a in ntérét étre un lorsque la température de ee? а — An, n'aura qu ‘à placer le curseur sur le chiffre 4 situé au-dessous et à gauche du zéro rs que la température descendra à ce. chiffre 4, se sage en contact avec le cur- seur, la son ‚ qui peut être placée à | une distance EC able du thermomètre | | à l'aide d'un fil conducteur, se fera entendre | aussi longtemps que ce contact aura lieu. Méme remarque pour la personne intéressée | а се que la température d'un local, serre мня lieu, n'excéde pas un nombre limité | de degrés. Supposons, par exemple, que la | température d'une serre ne doive pas dé- | passer 12 degrés; on placera le eurseur de | droite sur ce chiffre, et aussitôt que l'aiguille marqué sur le limbe ou cadran, et l'aiguille, alo В t 1957. FUCHSIA Introduit il y a prés d'un siécle (4 788), | ce Fuchsia, е antiquaille tout récem- ment figurée dans le Botanical Magazine, existe encore in Jardin botanique d'Oxford où nous venons de le repécher pour le ra- jeunir et le ат dans le e commerce. occupait il Уа quelques années, au nord, e la partie du jardin de feu M. Louis Van Lan Rae à Alost, qui à la salle à manger ; tous les étés, le ны là, sans soin, fleurir avec paille, nous nous proposions de nous MISCELLANÉES. l'atteindra, qu'elle sera en un mot en rapport immédiat avec le curseur, la sonnerie l'en de n, à l'aide des deux eurseurs dont ее ther HET est muni, l'hortieulteur pour- rait avoir à volo onté, cela se concoit, une double sécurité, ше; d'un cóté, il sera renseigné sur la mpérature minima, et, de l'autre, sur h d maxima nécessaire aux végétaux qu'il cultive, Point n'est besoin de dire que le thermo- mètre-avertisseur que les auteurs cherchent à rendre plus simple encore, résultat auquel | ils arriveront indubitablement, peut rendre d'éminents services aux arts et à l'industrie; | mais, еп ne le considérant seulement qu'au | point de vue purement horticole, nous le déclarons l'instrument par excellence que devront posséder tôt ou tard tous les hor- | tieulteurs qui se livrent à la culture sous châssis ou sous verre. Ajoutons que son prix est actuellement de 20 fr., et que, dans un avenir prochain, alors que MM. Lemaire et Fournier seront arrivés au but de leurs recherches actuelles, ce méme instrument se vendra à un prix bien or LOT. ( Ne Fea "ticole.) COCCINEA Aur. en donner une botte de boutures, lors- qu'un jour tout fut bouleversé, détruit — et notre vieux eitoyen comme tout le reste; mais le voilà retrouvé ! Depuis се temps-là, l'un de nos chefs à rencontré dans le jardin de M. Heligers, * Beveren, dans le Pays de Waes, un proc voisin de ce Fuchsia coccinea. Dix années passées là-bas à la belle-étoile, sans оте ture aucune, attesteraient déjà sa rusticité; mais l'hiver de 1869-70 ayant été p" mieux Vi шен nous certifions 46 6 que l'un et 1 jecit ont bien pa € 5 пе. Га 0 large feuillage et da p grandes fleu Nous ne les dépouillons de ie vieils tiges qu'au printemps. . VH T 1958. SALVIA INVOLUCRATA DESCHAMPSIANA В. Veror. donné de (dis cette belle sauge dont nous Aa ifié son obtenteur M. Deschamps, de utogne (Seine). Les fleurs en sont réelle- attrayantes : d'un beau Ma E lévre blanche. M. B. Verlot Га dria ep : minutieusement à la page 15^ e la horticole de 1859. iios 157 1907. PELARGONIUN ZONALE MADAME VICTOR LE FEBVRE (Vax Hor, H était сереп: | ue сое t + 4. on, beau Rose Rendatler, quoiqu'à fleurs un peu E ue de ne de rens Ce moins grandes, et moins nain que le CFR е ! y p zin : ей précédent, mais à ombelles énormes; et Bar de Қара Ч i se laisse dis- | Beauté de Suresne, aux grandes fleurs en Коса un ея, ne doit | fortes ombelles, si précieux pour la eul- imd i So ail : ee il en est | ture en pots, ой il se comporte mieux Ente Zeg peu réer бап! “ quil ne le fait en pleine terre; et Rosalba 2E Few. . Es 5 => A Со ^ т nt que °M. H. оно déduit de ses inte- ressantes expérience 1. Dans les уңа = qui viennent d'étre indiquées, les plantes des pelouses et prairies, ainsi que celles des bois l'ont emporté, dans la lutte, sur toutes les autres espèces qui, nombreuses et variées. avaien essayé de s'établir sur le sol des expé- riences. 2. Presque toutes les espèces, au nombre de 107, ont trouvé les conditions les plus essentielles de leur existence (abstraction lans tous ] ar semis sur place état qe: 'elles ont produites. Fort peu d : i elles sont propagées ое v rejets (Talara Rivini, 4gopodium an grar ia, D arvense). с; Ж ráceà ses stolons que le chie ben repens), Pu un des survivants dé constamm du terrain, nt ( e initis e toutes les autres sont : £ indigënes, le Triticum repens, 1е Poa рт tensis, le Potentilla reptans; ai herbes étrangéres ed d'autres du jardin botanique), parviflorus, Euphorbia setum arvense а persisté aussi; CAMPANULA RAINERI Регр. A Italie sup er. Plein ain. CAMPANULA RAINERI rene. Campanulaceæ. CHARACT. GEN oce АЕ T" GENER. Vide supra, vol. III, СНАВАСТ. SPECIF. Caulibus subereetis ramosis, ramis 1-5-floris, foliis subsessilibus ovatis remote serratis, inferioribus minoribus ovatis, tubo calycis ореопісо, lobis calycinis longe acuminatis EM I ei. erectis corolla late infundibuliformi dimidio bre- Mer. Alph. DC. Monogr. des Campanulacées, 5. " PANULA KaiNERI PEnPENTI, in Bibliot. ital. Cam 1817, v. 5, p. 154, c. icon. — Rens. Le. crit. MI, 211. Impossible d'offrir à nos lecteurs une Plante plus naine, dans toutes ses par- les, que la pétiote que nous avons fait dessiner et peindre d'aprés nature, l'an dernier. Ses feuilles presque sessiles et ses fleurs à peine pédoneulées forme- raent un joli petit gazon si l'on pouvait le fouler; mais, quand on pourra s'en procurer à foison, nulle plante ne se Prétera mieux qu'elle à la formation de mignonnes bordures; les С. carpathica et тете les C. turbinata seront congé- diés, pour cause de suppression d'em- loi, au moins dans les jardins lillipu- tiens où les Soldanelles et autres bijous e stature naine seront seuls admis. Notre nouvelle venue s'est mise à fleurir iei, en juillet dernier; ses fleurs, comparativement grandes et d'un beau bleu, étaient entourées de nombreux boutons. Originaire des bords du Lae de Cóme, en Lombardie, elle est rusti- que et se propage par la division des touffes, et aussi de graine. L. VH. = m аяң considérable. Parmi les езрё- Fed il i ont survécu à toutes les Бка « seudo-Platanus et le Cornus de sont sponta nés dans la localité ; unus Padus ne s'y trouve pas. ym ee : de е obstacle, de prairies et de bois; Prairies dans les parties basses où Phu- Midité ne . i lé ne manque pas, de bois sur les 5 plus ou moins élevées. n ы ern, en étouffant et supplantant | répartition air on reconnait que leur | Чё détermi dans les plates-bandes n’a pas mince par les propriétés physiques le вее а es on voit en effet que ouver unif, par exemple, a fini par se plane S m Сее calcaire, de sable,-de terre de e d — Où chi tilla p pour le Pog pratensis et le Poten- ге (ап. Sans | x: е phy NL e doute l'influence phy- | que du sol ne fait pas complè- tement défaut, mais elle n'est que secon- . ` . DH daire. — Relativement à l’action de l'om- brage, l'auteur a reconnu que les plantes ] li issalent t nt. surtout ata, le icum T ; le Роа pratensis, particulièrement le Pru- nus Padus. ; Та survivance définitive de pieds de Triticum, Poa, Aster, Potentilla, etc., est done beaucoup moins due aux circonstances elles s'adaptent au faculté assez dévelop permettre de triompl | s quelles succombent promptement les autr antes. e 4 7. Le motif de la prompte prédominance de ces mêmes plantes consiste dans leur puissant enracinement. Sous ce rapport, on voit aussi, par la comparaison des dp en lutte, qu'un systeme d'organes souter- 140 rains rampant prés de la surfaee du sol est . Fr 3 e fois 5 parmi les espéces dont les racines sont également développées, il en est qui ont cédé la place aux autres, soit parce qu'elles ont геод “ plus de lumiére, soit par une cause in 8. Il аёт ient dés lors évident que si les travaux fréquents qu'on effectue dans les terres cultivées ne détruisaient les espéces douées co Too herbes adventices plus délicates u moins tenaces qu'elles, comme ГА donis colis, le Bluet ou Centaurea Cyanus, V deseo M: qui d'ailleurs sont d'origine étrang nous ont été appor- tées E. les s NER . H est curieux que certaines plantes étrangéres à la localité se soient trouvées au nombre de celles qui ont supplanté MISCELLANÉES. toutes les autres. Elles l'ont dü à leur puissant enracinement, mais du reste n'ont jamais joué qu'un róle sec condaire. Comme, dans la. contrée oü expérim tait M. H. Hoffmann, on voit, en drm localités, des plantes Eer е autres que celles qui ont fini par occuper exelu- sivementle sol de son champ d'expériences, il devient évident que les causes qui, dans la nature, peuvent faire prévaloir telle ou telle espèce sont assez variées pour qui soit fort difficile, probablement méme impossible de les réunir toutes, dans des recherches expérimentales disposées et dirigées au gré d'un observateur, sur une surface de terre peu étendue néanmoins; 8 les expérienees de M. H. Hoffmann n'ont pas résolu ce probléme dans toute sa géné- 'alité, elles ont fourni des données impor- tantes qui préparent fort bien la solution définitive; elles méritent donc toute l'attention des cultivateurs et des botanistes à qui elles donnent de précieuses indications. DTRE. Т 1960. CORRESPONDANCE. D'abord, je vous félicite d'avoir un peu abandonné les longues notices scientifiques et purement botaniques, dans lesquelles certains de vos collaborateurs s'étendent si m ih La Fong n'est pas un ouvrage , A ntifique; c'est et ce doi des savants l'empruntent pour prendre е pour un nom dont ils désirent établir l'antériorité, il n'y a pas grand mal si cela ne revient pas trop souvent et si le mérite d'une bonne figure et des instructions prati- ques en = le eorrectif. — Que, de emps en temps, vous racontiez au publie les mystif ications dont vous avez rendu 1 savants vietimes (page 87), c'est pain bénit. En résumé, à mon point de vue, les deux dernières livraisons me paraissent répondre parfaitement au but que la FLore doit se proposer. Avant tout, ce doit être l'illustra- tion de vos produits, en anticipant parfois en faveur de plantes ed пе peuvent man- quer че chez vous ne 5 manquer l'être goutés des amateurs ort $|р | mettez (pas "al Cependant, il me semble que vous Wier ёте trop souvent = tez parfois — et m E votee fille Flore d'une manière bien e? vere : J'admets que ا‎ s planches er: laissé à désirer, mais il ne faudrait pas қ dire si erüment et surtout le répeter 5 souvent, H vaut mieux laisser ач ils teurs la surprise d'avoir acheté пөй ЧЕ пе supposaient, que de déconsidér r = œuvre qui vous Е les yeux de comme vous ditc zous ai Partis reproché hi de polémique. Je suis presque vous adresser le reproche Шалы 22 os du genre Imantophyllum. Mec ds пе grâce, il est! ardeur enté de à pro ek i) que Гоп ай débaptisé le nom de се ЎТ Moi, je пе l'admets раз du 1 générique doit étre saeré, dés qu en rt déjà été employé antérieurementà ent libre fin. Le pére a été libre, pa arfaitem о SOUS de le er ege comme il aucun iz xo ment Porad; que, par ` logie exigerait une lettre de p moins. Le nom générique es du nom de famille dans Ја $06 trait-on qu'un officier de l'état 1616; , кіші -civil, gra 3 "od > 2 ( орруп ы © = < 1 = о = ла ОЕ ы ЖАР» Б TRIOMPHE ys 7 Py «ХДу- лақ И E G uk УАЛИ ET “ТГ ЛИТР e, 141 Si nous avions eu l'honneur de connaitre M. le comte Léonce de Lam- bertye autrement que de réputation, il ya beaux jours que nous aurions solli- cité de son obligeance qu'il voulut bien nous doter d'un article, écrit de main de maitre, sur les fraisiers dits des Quatre-Saisons en général; nous au- rions pu dés lors colloquer dans la Fiore la planche ci-contre, exécutée dans nos ateliers lors des premières fructifications du fraisier Triomphe de ollande, qui nous parurent bien belles, mais dont le volume paraîtra peut-ètre тт ES aux personnes habituées e de d es Quatre-Saisons que d'après hm в usées de vieillesse et ne pro- (p us que des avortons. а Es soit, la sorte dont il Quatre-Saisons peus Penna à ds йк es plus beaux fruits; elle pr been de M. J. Co на; provenait de Кор, horticulteur d Utrecht. | aujourd'hui le livre spe- _ cl E E M. le comte de Lambertye a 3 е monc DES SE 6 - allons bi de horticole(D, nous suivan « — à 27. Culture de la Quatre-Saisons telle жаа vite en extraire les lignes _ qu'elle ( ү : езі suivie au potager de Versailles. rison a bien voulu me commu- nique 542% quer les détails exaets de la eulture de la ua e 80! 9 i> Ë . р > Saisons, telle qu'elle a été faite et telle pere au potager de Versailles, qu'elle l'est encore par lui. ос S ШІ! е Ға Culture RAISIER, за botanique, son histoire, sa de par le eo ñ ر‎ е, mte Léonce de Lambertye, in-8°, 82. өл») 50% pages, p А САИ Ам, Goin, rue des Ecoles, 1909. FRAISIER TRIOMPHE DE HOLLANDE. (QUATRE-SAISONS.) « Multiplication exclusivement par semis; mais les pieds producteurs sont des coulants issus des pieds provenus des semis. « Semis au commencement de mars sous chássis. « Le plant de semis subit un piquage en pleine terre au commencement de mai, Sur une seule ligne de 20 cent. en 20 cent. « Les eoulants se développent à vo- lonté. Les rosettes provenant de ees eou- lants-là sont également piquées en planche du 13 au 20 août, à 20 cent. en tous sens. « Dans ces deux pépinières, les plan- ehes sont terreautées. Les hampes et les eoulants sont. toujours supprimés dans la pépinière des rosettes. « La plantation définitive a lieu à la mi-octobre. Fumure moyenne ; bon la- bour et hersage. Planche au niveau du sol, à exposition aérée, quatre rayons , distants entre eux de 55 cent.; l'espace co i deux rayons extérieurs d voisines est de 90 cent., A0 cent. en 40 cent. dans le rayon, al- ternant avee le rayon voisin. qui suit la mise еп ssus de la planche est hersé, aillantes hors le feuillag hampes sont 8 plus longues. et sur les fraises les n décidé TT ; ҮС, modifiàt, sous prétexte de mune? ' es noms de famille de sa com- Si je % n LI J€ ne me trompe, le nom Imantophyl- | | и e lum est dà à Hooker. Mais pignore sila donné les caracteres du genre. d'affirmative, JC maintiens haut et wie que nul (pas méme Hooker, 5 il vivait) = ° = 72 « Оп ne peut attendre de bons pro- duits d'une plantation que pendant une campagne et demie. Toute planche est détruite à l'automne de la deuxième année qui suit sa création. « Quand il y a une grande sécheresse dans l'été, оп remarque que, tout en arrosant beaucoup, la récolte diminue sensiblement durant cette époque. Aux approches des gelées, on ne songe pas à prolonger la récolte en couvrant les planches de coffres et de châssis, ear les fruits n'ont plus alors ni couleur ni um. « Interrogé sur les motifs qu'avait M. Grison de ne pas se servir du semis de la Quatre-Saisons, mais seulement des coulants émis par les pieds du semis, j'en ai obtenu l'explication suivante : « Le F. des Quatre-Saisons pousse très-vigoureusement dans le sol du po- tager de Versailles, et les pieds prove- nant direetement du semis étant plus robustes que leurs coulants, ils produi- sent plus de feuilles et moins de ham- pes que ceux-ci; voilà pourquoi nous préférons les eoulants. Cependant, ajou- tait-il, si les pieds de semis utilisés à l'ex- clusion des eoulants paraissent moins pro- _ ductifs, ils donnent de trés-belles fraises. _ < Pratiques diverses. — J'ai dà lire, avant d'entreprendre cet ouvrage, à peu près tout ce qui avait été écrit, du moins en France, sur le fraisier. On trouvera dans le précis historique que je donne de la eulture du fraisier mes apprécia- tions sur les différents articles publiés Sur cette plante dans les Manuels et dans les feuilles horticoles. J'ai remar- Qué bien des redites et peu de faits Pomone francaise; ce- FRAISIER TRIOMPHE DE HOLLANDE (QUATRE SAISONS). < Les jardiniers maraichers, que j'ai en haute estime, peuvent avoir de fort bonnes raisons, je n'en doute point, d'adopter pour leur usage personnel tel et tel procédé. Mais dans nos jardins de propriétaires, dans les jardins bour- geois, comme ils disent, il faut cultiver autrement qu'eux le fraisier. Telle est mon opinion. » Сомте LÉONCE DE РАМВЕВТУЕ. Nos leeteurs peuvent déjà, par ees simples lignes, se faire une idée des matériaux considérables accumulés par l'auteur pour la construction du livre qui les contient. Nous allons en extraire encore le sommaire des chapitres et des pare graphes qui traitent exelusivement des fraisiers des Quatre-Saisons : « La Quatre-Saisons est une variété төр espèce. — Saisons. — Quatre-Saisons améliorée h 4% sélection. — Vaut-il mieux multiplier M Dän Saisons par graine que pt coulants : py conseillée de la Quatre- jaione, ЖЫ à " $ P. 4 — Sélection des graines et reco — Semis en pleine terre à l'air sur couche tiède et sous chi piquage en pépinière. — plantation. — Soins à jer à Deuxième planen en ppp ie aratoires. — Plantation. — 1 1 Des exemplaires dégénérés. — La mise noe — Choix e d i : : u » libre. — Semis ehassis. — m 22% d'au- Soins du printemps et de e Tom Ge, omne. — Та raison de M mM ture de B donnée par l’auteur lui-même. — es SE Quatre-Saisons au potager de Versa autres méthodes. e fructifieation. = 44 à‏ ` سے қ nsacrees‏ Vingt-sept pages Sont Be iers; QU‏ cette seule catégorie de га Б‏ 5 "aud қ L l'on juge des autres ! pendant aucuns ne sauraient lui étre comparés. о DD le droit altérer 3 Press d'altérer ce nom sous prétexte de res ا‎ we rien n'oblige le eréateur enre à lui donner un no i ai TP genr nom qui : ; Бано qui ait une п queleonque — bien des noms | : dont EP as: — pourquoi", de Linné sont dans се cas; 7 Pire jusqu ace le torturer, y ajouter, pre и une allure qu'on lui ait trouvé un sens е егіз и . те a "alc grammaticale? — 81 J€ ^ jnd H wn UO ы“ Di а Т PHALÆNOPSIS Moulmein | LOWII Achb. fil. Serre chaude. ——— O—— Un GENER. — Vide supra, vol. XV, Í SPECIF. — Radice crasse fibrosa, oliis paucis oblongis acutis carnosis, scapo gracili pithamæo 4-5-floro , уз minutis ovatis ict Ens remotis albis superiore late ovato acut 0, petalis bcne cuneatis oseo-tinetis, sepalo деміз oblongis, obtusissimis, labello 1910. PHALÆNOPSIS LOWI ксп. Orchidaceæ. pes longitudine sepalorum lateralium trilobo, obis lateralibus € icm bus reflexis, inter- medio oblongo purpur ato medio carinato apice psu E eristato, ut longe pue cideo. Кснв in Bot. Zeit. 1862, по KAN Phal:enopsis Lowi іп Ноок. Bot. Mag. t. = icon hic iterata. Originaire du Moulmein, pres duquel Га découve rt e Rév. C. S. P. Parish, qui en a dium les exemplaires à MM. dbi Low et С“ dans les | Nous pon nos exemplaires prés du verre, afin de ne pas leur ménager la lumiére; e тн une espéce assez délieate. L. VH. genre nouveau et si j'ai à le айм je ne pourrai pas l'appeler, par exemple, Cor- T Fringi a parce que ce sont des noms Préoccupés en histoire naturelle; mais je pourrai le nommer Abracadabra, et per- sonne n'aura le droit de rec hercher ce que Ізі voulu dire. "i laissons cela, 'ar je me fâche tou- de ds plus n: naturelles. qu * 'aie vues ose d » On n'a pas forcé a couleur өкін рец mure des fler e | dire quel instru- Tro КІН vidis sert de support à ы EM E ит tricolor. Est-ce un Cereus ? terave (1) ? ls D onde de ne pas palisser Vous a Mules, mais de les laisser ramper. Vez mille fois raison. А vos motifs, ES (1) C'est ba: X liers iis quum Зума LT * conique, le tout en fil de jen joindrai un autre ; c'est que les fleurs terre sont plus grandes et a quelques années, j'ai dort pied de la Ge venant contre vu à Huy un patens; on l'avait palissé contre le mu ча сеш mais la plante и bandon dum C'était le méme pi terre, la méme exposition. Mais quelle différence dans em е la dimension et le coloris des "e Seulement doit avoir beaucoup d ainsi les Clématites. — Pe ut-étr t | grands Sardi, pourrait-on les jets en bordures. Ce serait magnilique. Je viens d'étre mystifié forts siam uen eg fma les pieux. oilà affair LI Je eue la Wë 71 et je lis.... mystification 5 | ce qui m'en console, са q que je ne serai pas le seul attrapé. t 1961. POIS COOK'S ҒА VOURITE. Syn. Pois И 005 proposons d'entretenir sous Nou ^ P" аба de la FLore de la nomen- $ plantes potagéres et des syno- mie us nous bornerons, pour le giel? à demander pourquoi geg: nou- velle variété de Pois recoit, à son aptéme, KE № | ИИ 3 DE ИТ Ж Z Ж Ж ж Ж Ж АА қы i M 3 2. m IRITE 2 FAVOU B \ “ ААА У NN NS POIS COOK'S S NN š «АУУ à es W` ANDA ÅS — a қы WAWKU 3 NY кирин NN АА ha NN ш — M SS Um. Ou: i \ | d ( € С NS ААА SSS NN N қ N ў N NN SS о о UU N N N NN AN — E ы а Түу tikts АХХХ NAAN 2 THYSANOTUS Swan River. PROLIFERUS Lindl. Serre froide Р D ^" Morts Von Hou cett “2, Р ич 5 бау 1911. THYSANOTUS PROLIFERUS. хог, Liliaces. CHARACT. GENER. — Vide Ехо. Gen. 1150. CHARACT. SPECIF. — Radicibus fibrosis, foliis icalibus late linearibus longisssimis acutis canaliculatis glabris, seapum ` simplicissimum * 2. evem interdum proliferum subæquantibus, um- INDL. Bot. | Preissiane, ЇЇ bella multiflora, pedicelli articulo inferiore brac- eam, superiore multo longiore florem superante. eg. 1858, t. 8. — LEHMANN, Plante ‚ 98, ne 1 TnxsANOTUS PROLIFERUS Lixpr. ibid. Culture des plus faciles, en orangerie, près des jours, et pendant l'été à mi- ombre, à l'air libre. Simulant ees touffes de jones qui eroissent sur les bords de nos fossés, les Thysanotus proliferus passeraient inaperçus aux yeux d'un bon jardinier, fut-il muni de sa bibliothéque habituelle, qui sourirait devant de sem- blables vulgarités tenues en pots. Mais s'il voyait fleurir ces petits jones, il en raffolerait, et ses soins leur seraient acquis à tout jamais! Ses fleurs pédi- deux noms à la fois? Est-ce pour la faire en- trer d'emblée dans le chaos des synonymies оп pour être certain d'avance qu'elle aura eu, comme on dit en pomologie, < les hon- neurs de nouveaux baptémes? » Passons. Cette nouvelle variété a été obtenue en Angleterre, du croisement entre le Pois Laxton’s prolific, variété elle-même encore е récente, et le Уес plus ultra que nous àvons eu dans les cultures de l'Établisse- gousses, trop clairsemées sur des tiges de 1 de hauteur. Mais, dans le Pois que e p ici, ces belles gousses qu on cea antage de cueillir toutes jeunes 15 > après les variétés tardives ordinaires, produisent, en plus grande abondance, + 1962. L'AMARYLLIS AUREA Ам. tations successives en Japon, no ce pays-là ne so Lorsque nous avons figuré cette espéce | oe ES 410), son lieu de provenance ryllis мечей Я connu; оп la nommait Ama- Däreg : Ц ricana, tout autant que Lycoris ; mais aujourd'hui que des impor- XVIII. naissant assez réguliérement par' paires sur des sarments qui ne dépassent pas 4 pieds ` eosses ne sont presque légérement ridés, dun ve à maturité; le Pois frais est d'un vert et conserve bien cette teinte aprés la cuisson. ; Nous sommes persuadé que le Pois que us nommons tout court Cook's Favou- гйе(1), trouvera place aussi bien dans le potager de maitre que dans les cultures marchandes. On serait peut-être tenté de se demander ourquoi tant de variétés nouvelles. D as que les variétés de Pois, rapide ; lement total des sortes, 00 tout at du grain à semer, est une nécessité dans la culture de cette plante. . BVN. (1) Voir notre Prix-Courant № 152, page 592. ont été faites du. us n'hésitons plus à croire que it sa patrie réelle. 2% 146 cellées sont nombreuses au sommet leur petit scape. Tous les jours, il s de plus riche violet foncé, se replient déjà vers deux heures. Ce qui constitue principalement leur beauté, ce sont les franges si ténues qui les bordent : cils soyeux d'une rare régularité, d'une suave délicatesse. Qu'on s'en procure donc un | exemplaire qu'on pourra diviser tous les printemps, mais avee infiniment de précaution, afin d'éviter le bris du collet et de ménager les racines. Nous en avons mille fois fécondé artificiellement Sans jamais parvenir à en obtenir des graines. | Nous en avons encore cultivé lusieurs autres езрёсез, parmi lesquel- es l'une d'elles зе distinguait par ses THYSANOTUS PROLIFERUS Linos. tigelles dichotomes quasi-ligneuses qui se subdivisaient à l'infini, et cette plante n'a cessé de nous intriguer que lorsque ses fleurs ayant paru nous ont appris que nous avions là un nouveau Thysanotus à soigner ; mais nos gens y ont mis bon ordre : nous n'avons plus retrouvé notre sphinx au printemps suivant. Tandis que les Doryanthes, les Ste- nocarpus et tant d'autres trónent à lorient du vaste continent australien, nos humbles Thysanotus eroissent en paix sur la lisière opposée, non loin de la Riviére des Cygnes. Ils vivent là en société de ces Cephalotus (Fong, Ш, 290) tant recherchés, dans des terrains sablonneux qui sont inondés pendant l'hiver. L. ` T 1963. FRUCTIFICATION DES LIS. Je vous adresse un article sur la fructi- E. des Lis, dont je vous ai déjà parlé année derniére. Mes fécondations ont rmé 4 énormes capsules, ne m% в de bonnes graines; j'en accuse ее de trois bulbilles dans les nes de la tige coupée qui en ; onta ) сае pée q bsorbé Lh le résultat de mes opérations de : nn * ` P? s annee; quant aux tentatives antérieu- we ое en pleine terre, sous > Qui fleuriront, je pense, l'anné Ваше. т. e a. La plupart des Lis ne nouent pas leur graines, parce qu'on a reconn absorbait la sève de à bien ge е5, contenant quelques nes; mais, bien souvent, on comptes. J'ai pensé qu'en mettant à profit les racines qu'émettent facilement les tiges à la surface du sol, on pouvoir indiquer une maniére süre Фо tenir des graines de cette belle famille ou la fécondation a tout à faire. Voici la manière d'opérer : planter 4 sont fanees, les bulbes porte-graines, dans des pots d 12 à 15 centimètres de di d'un compost léger; terre et assujettir l'ognon ; ۴ se ressuyer à l'air libre; rentrer еп “ nir la шойе, rempoter dans des рк (т 95% et en contre-bas, c'est-à-dire qui laissera au-dessus de la motte Y ‘une dizaine de centimètres; à селе émission de racines superficielles, 0n т, gera d'un peu de terre pour les re et on agira ainsi jusqu'à се que KE rempli comme d'habitude. On 00157. e cette facon une tige bien garnie racines. = : : ; lus Fin mai, quand les gelées пе seront P OFF. фай. & prot in Horto Fan Йи ен” DORYANTHES EXCELSA Corr. Nouvelle Hollande ‹ Port Jackson ) Serre chaude 1912—1915. DORYANTHES EXCELSA correa. Amaryllidaceæ. CHARACT. GENER. — Vide Кохти, Eutm. У, CHARACT. SPECIF. — Vide ibid. V, p. 850. RYANTHES EXCELSA CORREA in Linn. Trans Do . ҮІ, 215, tab. 25, 24. —- Brown. Prodr. 298. Fenn. nn. | licole, 1864, Baver, Il. tab. 15-15. — Sims. Bot. Mag. t. 1685, | p. 171 а, b. — 5снпит., Syst., УП, 752. — Herb. Amat., 128. — Кокм., Ат. 282. — Lodd. Cabinet, n° 765. — Glenny Journal 1859, 1, 2. — Li i 1854. — Вески, ѓар. 421, janvier 1 ; р. 181. — Gnozsr. А 57. — Henixco, Hort. franc. 1865, enschri, 5 р . Kocu, Woch ft, 1866, p. 509. Parmi les arbustes qui ornent nos bocages pendant la belle saison, Оп distinguera ee magnifique Stenocarpus Cunninghami, aux grandes feuilles si- nueuses, lobées, qui frappera tout d'abord les regards par son extréme luxurianee; on voudra le posséder pour en orner les jardins, pendant l'été, et l'orangerie, pendant l'hiver, parce qu'il serait diflicile de rencontrer plus beau à craindre, оп dépotera les Lis avec pré- caution bois pointu, au pied de la tige, jusqu'à се que l'on apercoive Г j racines qui doivent nourrir la tige; on recomblera le petit trou et on placera un luteur, „Le bulbe ne souffre nullement de cette separation; il se trouve forcé de vivre de „propres racines; quant à la tige qui ordinairement perd ses feuilles et devient Jaune ‘de suite aprés la floraison, elle T 1964. ORANGERS A VENDRE. prendra au contraire tant de vigueur, et sa vie se prolongera si bien, qu'on se verra quelquefois forcé, pour n'étre pas surpris par la gelée, de Гаггасһег pour faire achever la maturité en serre. П sera nécessaire de veiller, aprés qu'on aura opéré la section, à ce qu'il ne se forme pas de bulbilles dans les racines de la tige ; elles absorberaient, pour se former, la sève des graines : ce que l'on dioe ires "di i س ا ا‎ (1) Je ne puis qu'approuver l'idée excellente, conçue et mise en pratique par M. le comte du Buysson, et j'avoue que Je me mettrat bien vite à rocédé qui, à ce qu'il me sem le, pourra жел. кла de très-heureux résultats. _ MAX. LEICHTLIN. H 1 5. te ici la volée m a e EPET L, vH. HAUTEUR DU CIRCONFÉRENCE CIRCONFÉRENCE жетіні 50 nonae — TRU ndi iue iini: о TRONG COURONNE. m, с. їй. б. m. €. бес | т. E T wi I 0.92 0.18 5 82 VII. 0.59 | 0.19 E П. 0.99 0 19 5.55 ҮШ. 0 56 | Н 22 Ш. 0 68 0.18 5.85 IX. 0.67 0.19 o IV. 0.65 0.20 4.55 x 0.70 0.21 4.20 M 0.68 0.18 2,95 XI 0.60 0 18 02. ҮІ 0.90 0.17 9,89 XII 1.95 | 0.90 5. : Ces arbres sont sains. S'adresser ruxelles, ehez M. A. Rummens. à la station de Haeren, sous Trois-Fontaines, pres € et comme déeor de serre froide, et comme brillante garniture de salon. Mais que serait-ce si, jetant les yeux à la page 189 de notre ІШ“ volume, on se trouvait en présence de ses fleurs, de ses grandes ombelles candélabriformes du plus bel écarlate orangé et de l'aspect le plus neuf, le plus insolite que ja- mais l'on ait révé? — Pourtant cet arbuste qui se plait, qui prospère sous le eiel nu de nos jardins est revendiqué comme appartenant à la région tropicale australienne, tandis que le Doryanthes excelsa, cette amaryllidée géante dont nous donnons aujourd'hui le portrait, doit, dans son pays, se contenter d'un ciel bien moins elément, d'un air moins chaud, puisqu'il habite les rochers qui environnent Botany-Bay, Port Jack- son et conséquemment Sydney, par 33°,51 Sud, ой la moyenne thermo- métrique accuse une --15% de degrés DORYANTHES EXCELSA Connza. Réaumur, sans jamais dépasser --18° de chaleur, ni descendre à +1% au plus bas. Tout comme le Dracæna umbracu- lifera, le Doryanthes excelsa forme une rosace composée d'une centaine de feuilles, du centre desquelles s'élève une hampé qui peut atteindre à une dou- zaine de pieds de hauteur, au sommet de laquelle parait une ombelle de plus de deux pieds de diamétre, garnie de grandes fleurs amaryllidiformes du plus beau pourpre et de trés-longue durée. e Doryanthes excelsa n'exige done, pour ainsi dire, aucun soin de eulture, et, pour prospérer, une serre tempérée fera son affaire. Quand l'exemplaire а fleuri, il meurt; mais on le remplace aisément, car les grands établissements en sont toujours pourvus par les graines qui leur viennent de son pays natal. L. VH. Т 1965. LE DATURA SANGUINEA ET LE GUNNERA SCABRA, Figurés dans les livraisons 7, 8 et 9 du présent volume (pages 101 et 119). ADDENDA. Le Datura sanguinea est connu dans la République de TE d pour la premiére fois à l'état spontané tout snes en partant de Honda pour Bogota, à environ 6,000 pieds au-dessus de la mer. La variété à fleur nankin a été attribuée par erreur au D. sanguinea; c'est, sans cun doute, une variété du D. b j l'ai vue deux fois : i ei зы bien avant la limite du D. sanguinea; autre, une plante isolée dans la vallée de Quito ; malheureusement, dans ces deux i assurer la fidélité de leurs amants ; di s gens complètement abrutis, dont attribuait le malheur à cette pratique. 8, le ieds Gunnera au afin de ой se précipite d'un bond la danda: В Bogota, au fameux saut de Tequendant l'ai retrouvé depuis au pas ` а 5 dans prés des Ceroxylon andicola, ШЕГЕ puri une atmosphére humide et dans le dini amais dà nage des eaux courantes, MAIS J S, { à x stagnante les maréeages ni prés des eau | = ong EUCODONIA NÆGELIOIDES DIAMANTINA Jan Houtte = Se у: о erre fermnber 149 ACHIMENES (EUCODONIA) NÆGELIOIDES DIAMANTINA с. ун) Gesneriacea. ` К Son Pri 7 > BUT в ee EE dans le monde. Le feuillage de er -—Ó те érément et on se régle sur l'ab- ВЕ e pais, ra iir celui - | “= ption de l'humidité pour ne donner d'une sorte de laine blanche 2 tege н Zar ы кы О EE бле don klas our es fleurs | semble en demander. On rempote suc- B core epit purpurin trés- | cessivement, en augmentant toujours Шаш “ms 5. ірегізіе jaune d'or. | BR. de ces sg eu s encore sur la | et, quand on en est arrivé, par des rem- mettre un cem di eck il suffit de | potements successifs, à des pots de sept bâche à melons эңе э r ч ЕРЕ pouces, оп entre ces plantes. dans la К сез, bien drei on т vase de | serre froide quand celle-ci, veuve de bon terreau véeé Í rempli de | ses hótes, semble appeler les Gésné- végétal. Une fois la erois- | acces а la décorer pendant tout l'été. L. VH. + 1966. VIOLA CORNUTA BLUE PERFECTION. Nous veno , ; п : ; : hit pas jus i d en recevoir. On ne eroi- | à son sujet dans les colonnes-du Gardeners’ qu'où va la polémique engagée | Chronicle. L. VH T 1967, FLORAISON D'UN PANDANUS FURCATUS Roxs. Les а mate EE то : 5 ; de savoir si = ale scraient désireux | moment dans leur ville, est le premier qui andanus, qui fleurit en ce | se soit ainsi montré en Europe. L. VB. + 1968. BRYANTHUS ERECTUS last. L (Frores, VII, 57.) Fer M (E E I mignonne | de celles des Kalmia. Terre de bruyère, au petits buissons geg, E Elle forme de | Nord. Trop jolie pour пеп avoir pas en feuillage ІШІ i ustiques , au charmant | pots sous 165 У ux. — 168 exemplaires e nombre P : п, et porte à son somme disponibles, hauts de 4 à 9 pouces et buis- uses corolles roses de la forme | sonnés, sont en boutons. L. VH. е” f 1969. LES ARISTARQUES DE LINNÉ. ыр cree tout heureux de nous voir logie; nous regrettons » Эиегге entre чача de maitre, dans cette | n'avoir pas 50156 p Sacharnent prise contre ces novateurs qui révision grammaticale. > — U € Plantes, Qu'i > améliorer les noms des | dommage que ces puristes ne puissent nous lent Ja uer modifient tant qu'ils le veu- | forcer à écrire. 21 8, Orchiées, Ibiscus mousses, et enclature des moisissures, des tifs (4). Pour y parvenir; quer à "dem mais qu'ils cessent de s'atta- ше! « Il > qui intéresse notre hortieul- | leme: ; nt-ils; «il ut, pardonner à Linné, » di- | tion à | e serait une тасви ос- tard et ¢ жа = uya appris le latin que fort casion pour explorer Madagascar PLE tant péché rege? wg de = faute 8 il а (1) Tout сесі dit sans que nous contestions la justesse es régles de la philo- cale des corrections. grammati- 150 ` MISCELLANÉES. T 1970. ONCIDIUM VARICOSUM ROGERSI (1), H a le port de ГО. bifolium; ses fleurs, | nom ФО. Rogersi; il a fait grande sensa- aussi belles que celles des Oncidium pecto- | tion à Londres; une seule de ses panieules mw ү \ = X | КӘ s M AN % Ж fi i “N BEE Marshallianum, ont paru, pour la | portait 170 fleurs pareilles à celles qu€ _ premiere fois, chez MM. Veitch, sous le | l'on voit ci-dessus. КЕ | о. vi E varicosum Linnu. Bot. Reg., 1920. — Journ. of Hort. Soc., V, 145. — Rens. Walp. Ann: 7 H . Oxc. улмсоѕом Rocensr, fl ib Man EE EE SS S Reus. Gardn. MEE DUT апе паат о ее стінен principe rur | | | | | E О ТРЕКЕ ЕРЕС LES У REBERE EH жч ОН. Lith. берісі. in Horto van Doft" PTYCHOSPERMA ALEXANDRA. F M. =. 5 : ; iit ¢ Austr. orient. trop. Serre tempéree . 151 1916. PTYCHOSPERMA ALEXANDRÆ MUELLER. Palme. CHARACT. , GENER. — (Sectio Seaforthia) | setaceo-subulata. Antheræ د‎ 2 Bwws, Rumphia, 11, 117. leuez, vix ultra sesquilineam longæ ; loculus uter- CHARACT. SPECIF. — Caudice præalto, pinnis | que tota longitudine dehiscens. Pistillum sterile, е longe lanceolato- linearibus glabris nudis subtus | Stylo simplice 2” lon iformi glabro inferne cinereo-glaucis integerrimis v. bidentatis, fusco supra ian oleuco apice acutato соп- nervis lateralibus utrinque 4-9 rominentibus, stans, passim Sepala flo m ter. superantibus, ) rum diu æquilongis, stigmate pyra- midali-eonieo. ` i In virgultis densis silvarum quam maxime rosarum ad flumen Fitzroy's River Austen Rachis foliorum tri- 5 onga, о Е pergamentaceo-e coriacea, ochroleuca, striolata. lamenta longitudine antherze bis terve superata, pa abse u eoru sex conformia deltoideo cordata, 1 1/2” longa, im- bricate se tegentia. Germen glabrum, unigemmu- latum. Stigma e laminis tribus conflatum, breve. nondum reperti m et præpulchram im deier PAM i Alex- Sos Daniei nunc её Britannici gloriz et ADDENDA Palma ultra 100' alta. Ad fluvios e inter dar Mackayi et Denisonii. Sepala sat co zë beso basi laris 17” longus, erectus, wa я : : b n divergentia. Е. Murter, in Fragm. ge V, 47. lon phytogr. Australis, Palmier tés-élégant, atteignant une centaine. de pieds de hauteur, croissant dans les forêts épaisses qui bordent la rivière de Fitzroy, dans la partie tro- pue de l'Australie. Il n'est point d'éco- ег Qui ne sache que le terme jardini- Е" Че plantes de la Nouvelle-Hollande qu Es ға pliquer, en horticulture, ; celles qui dérivent des parties méri- ionales de се vaste continent. Le Béi Dombrain seul a pu l'ignorer (FLoRE, XVII, 50) et inculquer son manque de connaissances aux malheureux jardiniers qui prennent pour guide son Floral Magazine. Nos Ptychosperma Alexandræ prospè- rent à còté des autres Seaforthia; une serre chaude ordinaire leur suffit. Tousles Palmiers veulent un drainage à la base. L. VI. Т 1971. "a publiant son portrait (Fong, ХҮП, i ) et en parlant de sa flora aison, nous "ie écrit que Ison в.“ ua hui (2 montrer ses fleurs, que tous STREPTOCARPUS SAUNDERSI Ноок. nos exemplaires en montrent déjà d'épa- nouies, que de nombreux boutons opére- celle-ci durait tout l'été : | ront successivement leur évolution. C'est quil se | la plus belle espèce du genre. .. VH. Explication des analyses. Particula caudicis, bacc CS diminuta ; 9, x gii ки aeons sols et A ge pee ve naturali; 4, ramuli шеше magnitudine si ea exteriora ; 8, sepala f riora; inem mina ante IONS ; 10, stamina plane evoluta Ply, x tia; 11, еге; 12, ilum menta, antheris demotis ; 15, pollin is kranla; 14 se i , Semen; 16, fruetus maturus; 17, ejusdem sectio transversa; 18, ejusdem sectio long CYPRIPEDIUM SCHLIMI Zz de Nour: GI € Te í heurte. — I. SELENIPEDIUM SCHLIMI Benn. ғи. CYPRIPEDIUM SCHBIMI олт. Orchidaceæ. ` ST, GENER. — Serey. (vide Fronr, apieulato, stigmatis labio superiori triangulo, infe- AM, 75). riori retuso lobato. Rens. Xenia, І, 125, tab. 44. : СНАВАСТ. SPECIF. — Alf. Selenipedio Lind- Selenipedium Se HB. FIL, in Bon- eyano Bonn, (Cypripedio Lindleyano Ѕсномв.), | Plandia, II, 277. — Pescatorea,... 1855. lepalis ovatis obtusis, staminodio ovato pandurato Cypripedium Schlimi Lisp. in litt. la planche ci-contre témoigne du , donnent raison aux données du premier degré de beauté de la plante qu'elle | de ces explorateurs, sans que nous met- “présente; elle a été faite ici d'aprés | tions en doute la véracité du mémo- nature, Serre à Orchidées tempérée, air | randum que Purdie a joint à ses échan- humide, beaucoup d'eau pendant la | tillons qui reposent au musée de Kew. periode végétative, arrosements très- | Voilà des points qui nous intéressent 1000 pieds dans les environs d'Ocana, | fermés et plus respectueusement que Nouvelle-Grenade , dans des lieux hu- | ne le fait le susdit Révérend, si nous 1 ; puis par Purdie, aux environs | n'avions des raisons commerciales pour ru d и secs. H nous | nous en tenir, unguibus et Geier т | ignements opposés | genre Cypripedium, comme à une ban els nous devons joindre eeux que | niére sous laquelle viennent se ranger Xperience nous a fait aequérir et qui ! nos ehers petits moutons qui déjà, au Nem + 1972. CAUSERIE HORTICOLE. z e H5 Destruction des Thirps et autres en? рае l'eau chaude; emploi des Sphaignes | de temps. Sans les giboulées de neige et les 1 , de m : s Camellia ; culture du petit pois en rayons- parterres et de tous les légumes du potager. PASE procédé pour 98nons, dites Renards. ` у 2015 obtenir des bulbilles | Majs aussi, sous l'influence aleu anormale, je n'ai vu, de mémoire de jardi- à nier, pareille invasion d'insectes. La grande "Dr éprouvé à cette époque une tempé- | chaleur et l'extrême sécheresse de cet été ; : ibué à les faire mts plus violents dont resque toute 1 ды a ressenti les désastres. Depuis le бевте» 16 и: n est pas dim fene Brades, et bi icd eeng SC ner лг R men débarrasser complè- m Kie len es journées l'ont vu monter | rien пе ропүа : installer un petit °. Rien encore aujourd'hui (6 jan- | tement. J'avais fini par ins p Ху. T. 154 nombre de dix-neuf, ont successivement embelli les volumes de la Fronr. Re- p en revue, par ordre alpha- béti uque Cypripedium barbatum (FLORE, III, 190). Définitivement réformé et détróné par le suivant : Cypripedium barbatum grandi- florum (Front, XVIII, 91). Très-florifère, fleurs bien plus gran- des, bien plus belles que le précédent. 'étendard seul (son pétale supérieur) a le double au moins de la largeur du ci-devant et il est supérieurement peint. Cypripedium barbatum Crossii. Son étendard est plus blane que celui du précédent. Cypripedium Bullenianuemn. Feuillage des plus épais et peint à la maniére du C. venustum; nous n'en avons pas encore vu la Cypripedium Calceolus (FLORE, , 191). Rustique, tout à fait de pleine terre, mais trop joli pour n'en pas tenir en pot. Culture de la généralité des plantes vivaees. E candidum (FLORE, Originaire de l'Amérique septentrio- nale; aussi rustique que le précédent. Nous en recevons de temps en temps, REVUE DES CYPRIPEDIUM. peu souvent; ils nous échappent par- fois, mélés aux С. spectabile que nous vendons parfois sans les voir fleurir. Cypripedium caudatum (FLore, 99 et 100). Espèce luxueuse de serre chaude, à longues bandelettes pendantes, genre de celles de l'Uropedium. Lindeni. Fleu- rit tous les ans, еп nombreux exem- laires, dans nos serres. Cypripedinm concolor (F.., XIX). Ses fleurs jaune paille, finement mou- ehetées, sont bien plus jolies que celles que l'on verra bientôt dans la Front: son feuillage extrémement épais est un des plus distinets du genre. Cypripedium Dayanum (FLORE, ХУ, 55). VI; Bien que cette belle espéce soit rare dans les collections, nous n'en manquons pas; c'est l'une de nos plantes de prédi- leetion. Cypripedium Fairieanum (FLorE, ‚ 1419). Fort joli. Nous le eultivons beaucoup et nous l'aimons tout autant. Cypripedium guttatum (Pas, VI, 151). De Sibérie. Petit revèche à la eulture; nous n'en manquons раз, mais ils sont toujours à Tétat de torpeur et nous ne les livrons que lorsqu'ils sont décidés à se bien conduire. ee échafaud sur la pièce d'eau du jardin où | il n'en restait plus un i I p^ us mes plantes, le pot en l'air et la téte sous eau, prenaient un bain de 24 heures. Je n'en pouvais croire mes yeux : beaucoup de ces gredins-là, tout en trouvant la plaisan- terie de fort mauvais goüt, n'en revenaient pas moins à la vie et recommencaient leurs dégats. Ah! mes gaillards, dis-je un beau jour, vous vous moquez de mon eau froide; nous allons voir quelle figure vous allez faire dans l'eau chaude. Aussitót, je me fais apporter un grand baqu irs mètre ^ud lege AN ол. sachant déjà d'avance que mes plantes supporte- raient wen température. Jy plonge гарі- ement, à 4 ou 5 reprises, une téte d'Azalée envahie par les Thirps, et, à ma grande joie, à 46-47, le résultat fut également gie Voici maintenant le relevé de іш Ў riences; les Thirps abandonnent le: s feui o au contact d'une eau chauffée e se refroidit pui des teindre la plante. Des eon тена» humile (FLorE, X, De l'Amérique septentrionale. Nous en manquons en ce moment. Cypripedium hirsutissimum (FLong, XIV, 97). Serre chaude. Fait partie de l'aristo- cratie himalayienne ; fleurit ісі tous les ans; ses fleurs sont bien plus belles que dans la planche qui représente cette espèce dans la FLore; ses pétales sont autrement beaux. Cypripedium Hookeræ (FLORE, У, 125). . Lun des plus récemment introduits, à jolie fleur et à joli feuillage; s'est bien multiplié dans nos serres. Cypripedium insigne Maulei (Front, XV, 195). прегре variété du С. insigne, à éten- dard tout blanc, à impériale verte cou- теме de taches chocolat; trés-floribond. Cypripedium irapeanum (FLORE, П, 186). D'un très-beau jaune ; fleurs poilues, des plus grandes du genre. Espèce ter- oN propre au Mechoacan mexicain. "pus notre première introduction dont les plantes se sont rapidement écoulées, nous n'en avons plus recu. vir pPedium javanicum (FLORE, , 9). e anciennement introduite , espéce est devenue rare; nous — — —— REVUE DES CYPRIPEDIUM. 155 n'en possédons que fort peu d'exem- plaires. Cypripedium lævigatum (FLORE, XVII, 85). Nouvellement introduit des Philip- pines, par notre ami John Veitch. Quoi- que fort rare dans les collections, mème en Angleterre, l'Etablissement en pos- sède de fort beaux exemplaires au riche feuillage vernissé. C'est l'une des belles espèces du genre. Cypripedium Lindeni (Fronz, VI, 195). | L'Uropedium Lindeni, si merveilleux, est tout triste de n'avoir point de sabot, et dese voir ainsi exclu du genre Cy- pripedium, dans lequel nous ne le ca- sons que pour mémoire. Cypripedium Lowi (FLonrE, IV, 575). Nous avons vraiment du regret de ве qu'une si belle espéce ait été aussi malheureusement représentée dans la FLonr; notre plante ne ressemble pas à la nature et nous le prouverons dans notre XIX* volume oü paraitra un tout autre spécimen de ce Cypripedium Lowi dont nous avions péché le modèle d'alors dans un atelier de barbouilleurs : ceci à notre décharge. Cypripedium macranthum (FL., уы 10 | : Espéee sibérienne, rusuque conse- quemment, dont il ne nous arrive guere äer des Russellia et autres plantes Sieg es trés-tendres n'ont pas été endom- 5665 par des seringages à 50°. E овен meme à 50°, sur les puce- s i nent des résultats peu satisfaisants, nya que les plus exposés qui soient cus jours pour pouvoir sen rendre multiplices е ne sais pas si ces atteintes les M. a finiraient pas par fatiguer être Це р Р plus, ces opérations doivent sur Je А, ora de la serre et les pots placés avoir € cu : les pucerons tombant sans ferait rouvé beaucoup de mal, on ne Ua me les changer de place. Mais il пеп , Pas de méme quand les pots peuvent ping Ons dans de l'eau de 40 à oz l'eau ant dans tous les joints des feuilles, les étourdit et les entraine; on en est à l'instant débarrassé et ils se noient dans le bain. Je compte poursuivre ces € ( sur les péchers et autres plantes de air; bien heureux si je parviens à i les fumigations. Outre qu elles lantes que l'eau ehaude, bles et infectent les serres pendant si longtemps, que souvent ts et [а vermine on hésite pour quelques po finit par tout envahir. j TT epuis deux annees, j'emploie l'eau chaude pour purger d'insectes les mousses destinées aux Orchidées. C'est ce qui ma donné l'idée des épreuves dont Je viens de parler. Par des expériences comparatives, ie me suis assuré que la plupart des Orchi- aigne vivant. de je! = 57 GEI С CR 5 ет =, £ un = un = , , dées plantées dans le Sph ` 156 d'exemplaires bien sains et qui, par cela méme, reste constamment à l'état de desiderata. Cypripedium pubescens (FLORE, 201 De l'Amérique du Nord. N'est pas sans analogie ауес notre С. Calceolus. Cypripedium pubescens minus . (Fuonz, X, 207 Quoique ses fleurs soient moins gran- des que celles du type, elles n'en ont as moins leur mérite spécial par la vivacité du coloris. ypripedium purpuratum (ГІ... XI, 175). Trés-beau voisin grandiflorum. Cypripedium spectabile (FLoRE, ‚ 450). Nous avons eu le plaisir d'en voir arri- ver bon nombre tout récemment; nous en étions dépourvu depuis plusieurs années. Cette malheureuse guerre d'Amérique, de si longue durée, avait du С. barbatum plaires. On sait que le С. spectabile est sauvage au Canada et congéquemment des plus rustiques. тен Schlimi (Fr., ХҮШ, 5). C'est l'espèce que nous figurons ioi. REVUE DES CYPRIPEDIUM. Cypripedium Stonei (Fronz, XVII, 157 Encore du merveilleux! mais comme il provient de localités où eroit aussi le С. Lowi, on pourrait les confondre dans de jeunes exemplaires; une fois formés, cependant, ees derniers ont beaucoup d'analogie, pour le feuillage plus ou moins érigé, avec les С. caudatum, tan- dis que le feuillage des €. Stonei s'étale horizontalement. Cypripedium superbiens (FLorE, XIV, 161 et XIX). Cest peut-être la planche la plus massacrée qui ait jamais paru dans la Етове et que nous allons bien certame- ment redonner bientót pour réparer nos fautes dans la mesure du possible ! — C. barbatum. Cypripedium villosum (FLORE, XIV, 229). Së Qu'on jette ип coup d'œil sur son portrait si frappant de ressemblance el qu'on nous dise si ee n'est pas là une espéce extraordinairement belle, qui clot | dignement la série des XXIX Cypripe: dium: déjà introduits, en attendant m rivée de ceux qui, jusqu'ici, ont échappe aux recherches de nos explorateurs: L. ҮН. EEN .quelqu'espéce qu'il soit, végétaient avec plus de vigueur que dans les Sphaignes passés au four et hachés. Le Sphagnum palustre est introuvable chez moi où il n'existe ni marais, ni tourbières. Le SpA. acutifolium, assez rare jusqu'à présent, se rencontre par plaques de peu d'étendue, sur le revers nord des fossés sous bois. Je me suis eau vert, un peu raide, mais bien hygro- métrique, que je crois être le Pogonatum ( mme je ne l'emploie que vivante, je ne la récolte qu'au besoin, en l'enlevant еп en motte avec la légère couche de détritus de feuilles sur lequel elle vit. А е men servir, je l'étale sur des avec un arrosoir à pomme, JF chaude dans 18" ir les doigts, et as altérée. SOUS chaleur, les 11" claies et 'arrose largement d'eau quelle je peux à peine ten cependant elle n'en est p l'impression de cette forte Selen ai sectes qui пе sont pas tués еп ае € Sec plus vite. Pour garnir mon panier, J — gran- mence par tailler un morceau de k P ; deur du fond ой je le place sen i dessous ; puis les quatres со de la même manière, la té avec des fragments de terre de bru) roulés sur un tamis, de morcea' Gi cest bon et des débris de cette mousse. ee une vieille plante que je rempote, apre , éi e p 1 4754 , те d us placé et garni les racines com Off Lith. A P 745 tet. in Horto van Houtteano PE CRI ады GLOXINIA SPECIOSA ¿onde Flandre (LVH) Serre tempérée 2 Semis LVH. 157 1918—19. GIOMMA SPECIOSA LION DE FLANDRE (Vas Ностте). Unique dans son genre; le plus flo- ribond peut-étre de tous nos Gloxinias! Pédoneules de fer; nous comptons trente-quatre fleurs extra-grandes, sor- tant à la fois du centre de son tuber- еше! Ces fleurs sont d'un gros bleu magnifique, à trés-large lave eréme. L. VH. je horde le panier avec des bandelettes taillées à la convenance; si s'est une jeune bouture, je recouvre le panier d'un carré de mousse ct, au moyen d'un tuteur, je fixe ma plante de manière à ce que les racines en afleurent le dessus. Pendant la végéta- on des Orchidées, cette mousse, maintenue humide, pousse à travers les interstices des barreaux et mon panier forme une belle pelote de verdure traversée, dans tous les sens, par les racines blanches de la plante. Au temps du repos, elle jaunit par la pri- vation d'humidité; mais elle reprend за verdure dès que les paniers sont remis en vegetation. Je erois cette mousse bien pré- férable à toute autre pour la culture des Dendrobium et des Orchidées exigeant peu humidité au repos et un compost très- зеге et facile à traverser. Aussi Je compte l'essayer ce printemps avec les Stanhopea. Ils étaient bien | y a deux ans, mes Dendrobium , petits, i densiflorum et nobile : Un petit morceau de bulbe avec une petite de Paniers préparés comme je ы... 20 centimètres carrés, P Ia aujourd'hui 14 énormes bulbes et l'autre 8 ; tous les deux sont couverts de "n a fleurs en formation. Les racines Y sont si bien développées que les paniers, о grands, en sont littéralement "wd ds J'ai encore remarqué que les ra- ont jamais cherché à les abandon- Пер, comme chez les Dendrobium qu'on zt donnés tout plantés dans du Sphaigne Marais desséché et haché. ique nous parlons Orchidées, j'ai fait une innovation dans le comparti- inu me servait à la multiplication et € J'ai disposé pour loger les belles Or- chidées, agréable surprise de notre habile jardinier, M. Marie, dont il sera question dans un instant. J'ai supprimé, probable- m r toujours, la tannée de mes bâches. Outre qu'il est diffieile de se pro- curer cette substance dans les lieux où il n’y a pas de tanneries, elle est le refuge et le meilleur propagateur de tous les insectes, ce terrible fléau des serres. Je lui {гёз-[ауога е surtout au mo en ee qu'elle évite bien des arrosements souvent pernicieux. Ainsi, mois de décembre où nous avons eu ou soleil presque const brülant que j'étais peine si j'ai bassiné mes Ө par semaine; mals је maintenais toujours légers seringages, la couche. lancé dans la culture des ourrai les soumettre à des c d'autant moins d'hésitation, préjudice à ma Orchidées. Je expériences ave quelles ne causeront pas 158 bourse : jusqu'à présent elle ne me coûtent rien. Avant d'aller chez le voisin, je vous ferai part d'un phénomène bizarre ‘qui s'est produit l'été passé sur un de mes ognons de Lilium auratum. Planté d'abord en pot, comme les autres, toutes les phases de sa végétation s’accomplirent très-bien, même après son dépotage et sa mise en cependant le bouton avorta. A l'automne, quand je relevai l'ognon, quel ne fut pas mon étonnement de trouver le bulbe tout écartelé comme un vieux cône de pin: chaque écaille avait produit une bulbille. es. maintenant vous voulez bien me pas peu à la prospérité toujours croissante de son établissement. J'arrivais chez lui tout joyeux de lui faire part de mes expé- riences d'eau chaude, comptant bien la mettre immédiatement en pratique. C'est en vain que nous parcourons sa grande serre d'Azalées, que nous inspectons minu- ueusement et ses jeunes sujets et ses énor- es spécimens : pas l'ombre d'un Thirps ; tout resplendissait de verdeur et de pro- preté. C'est que lui aussi a son. procédé, procédé bien supérieur au mien : il les empéche de se produire, tandisque moi, je ne fais que les tuer. Pour cela, il couvre ses ` plantes de soufre, à peu prës une fois par mois déamial аз ая d > = 2 1 moment de les rentrer en serre. Le souf rage est souvent pernicieux sur certaines caté- me de plantes; plusieurs fois la Revue ticole et peut-être la Front en ont con- staté les effets désastreux; mais, d aprés ce que Je viens de voir, le soufre est, au con- traire, pour l'Azalée, un agent de vigueur et de santé. chose là plus surprenante, la plus merveilleuse que je vous réservais pour [а nne bouche, c'est que M. Marie a trouvé е moyen, avee deux petits morceaux de branches de Camellia, l'un servant de greffe MISCELLANÉES. et l'autre de bouture, de produire, en quel- ques mois (15 à 18), un petit arbre vigou- reusement constitué et couvert de fleurs : des sujets pour lesquels il faut au moins , trois années de bons soins par les procédés n ne pas en faire un seeret et je suis heureux d'étre le premier à vous en parler et à vous faire connaitre ses procédés. Dans les premiers jours de Septembre, il enlève, sur des variétés de Camellia vigou- reuses (ceci est essentiel), la quantité de branches nécessaires pour faire ses boutu- res, en bois d'un an et de deux ans muni de feuilles; il les coupe en troncons de greffon d'un an; sur celui de deux ans, un greffon de deux années de pousse, par con- séquent muni de 2, 5, 4 brindilles. Suivant les rapports de grosseur des deux parties à rapprocher, sa greffe est modifiée. Quand a bouture et le greffon sont de méme grosseur, il emploie la greffe à cheval qui n'est autre chose que la greffe en fente ren- versée, c’est-à-dire que c'est le sujet qui est taillé en coin et le greffon fendu. Quand la bouture est plus grosse, c'est la vraie greffe en fente ou celle en placage. Au reste, quel que soit la greffe, les deux piéces, bien ajustées et assujetties par quelques (00% de fil tt a d 1 ^ 1 ures, — 2 Ly 1 sous châssis placés sur couche tiède et remplis de terre de bruyère sableuse. On les tient à l'étouffée егеп ombrant suffisamment pour atténuer les rayons du soleil, sans les priver complètement de lumière; le sol € maintenu légèrement humide. Environ cinq à six semaines après, les boutures ont fait leurs racines et les greffes sont soudées. Par un effet physiologique qu'on pourrait expliquer, ces greffes-boutures donnent beaucoup moins de manques (à реше un vingtième) que si les greffes étaient faites sur des sujets enracinés. Ces boutures restent sous châssis jusqu'en juillet ou 40U suivant. Alors seulement, on les enlévera ndant ce séjour de dix mois, elles : traitées comme des plantes adultes; € ` châssis remplacés par des claies, en бё тел ғал” млн ак енелер erre temperée . Ma st ers * T . TACSONIA QUITENSIS ERIANTHA 7. $ D ег. 2 Equate -io бы Му; = D) Ж» = ней p? (uu, = an Ho" Z б” d pred in Horto je mm СА MEAE NAME ME RW m EIER TI. RT MR w Tie aer T P LI EUREN ee E EE RARE — — Rire E ene V BEBÉS 1920. TACSONIA QUITENSIS var. ERIANTHA т. матек. Passifloreæ. CHARACT. GENER. — Vide supra, v (1846) février 5. ая CRARACT. SPECIF. — T. caule glabrato, foliis latis profünde 5-lobis 5-nervibus, lobis ovatis cal- loso-serratis supra glabris subtus niveo-tomentosis venis glabratis, stipulis dimidiato-orbieulatis aris- lato-dentatis, braeteis connatis venosis venis viri- dibus calyceque albo-lanatis, calycis tubo elongato, lobis petalisque consimilibus oblongis apice rotun- La FLore а publié un grand nombre de Passiflores et de Tacsonia, L'espèce qui nous occupe est due au Professeur Jameson qui en envoya des graines à M. Isaac Anderson Henry, equel en gratifia ses voisins, MM. Peter Lawson and Son, d'Edimbourg, qui en furent les distributeurs. Reneontrée sur la lisière des foréts, entre 11 et 15000 pieds d'altitude, prés NAR dn. Ra esae datis roseis, coronis brevissimis exteriore carnosulo dentato intermedio integro, interiore crenulato. оок. Tacsoxia ERIANTHA Вехти., Plantæ Hartweg, p. 185 по 1016. — J. D. Hoox., Bot. Mag., 5750, icon hie iterata. T. quitensis eriantha T. Masrens, in Garde- ners’ Chronicle. du volean de Pichincha, elle appartient conséquemment à la série des plantes de quasi-serre froide; elle y prospérera dans une grande eaisse, ou mieux dans une pleine terre, dont le fond , bien tapissé de tessons, sera surmonté de vieux ter- reau mélé de terre franche; elle grim- era promptement et tapissera les murs du local qu'elle ornera de ses grandes fleurs roses. L. VH. 113 vi $ ` . . . | zs ce que j'ai vu, et par milliers d'indi- us. que lorsque je laurai vu marcher tuyaux feront, par leur E le métre courant), une rua ce aux fabricants d'appareils de chauffage. zs нега cette causerie par deux tures maraichéres qui vous arriveront à Point pour être mises en pratique : 1° semis | d Généralement, les petits pois sont semés E" lignes de 50 à 40 centimé беш E des planches de 4-5-6 rayons. Le 4 ¢ raisonnement et la moindre obser- E auraient dú, depuis longtemps; faire м onner cette méthode vicieuse. Mais "MC est grande la routine chez certains gens, qu'il a fallu plusieurs années d'épreu- ves comparatives pour eonvaincre mon Jar- dinier, et aujourd'hui il n'a rien de plus pressé que de faire remarquer ses petits pois aux personnes qui viennent visiter son potager. Les pois poussant les uns sur les autres, forment un fouillis impénétrable ; toutes les fleurs du bas avortent : c'est la moitié de la récolte perdue, sans compler Je retard apporté à la fructification. Depuis bien des années, je ne les st plus que par deux lignes accolées et distantes entre elles de 40 centimètres; puis Je Jaisse, pour arriver aux deux suivantes, un intervalle un peu plus large que la hauteur présu du plant et ainsi de suite- Mais, direz-vous, Я faut des champs entiers pour votre eul- ture de petits pois! Je ne vous dis qu'une ithode, et vous verrez ait au moins deux mètres), par deux lignes de haricots nains, lade: En outre, mon sol ne s'épuise. pas 160 =.“ eo Ka — importante pour les pois de primeur dont le succès dépend beaucoup de la position. Dè mes pois оп centimètres de haut, je les butte au rateau, avec de la D D l'autre, et je place de chaque côté un rang de rames; се buttage au rateau, se répétera toutes les fois que le sol deviendra dur; ce la végétation. Régle générale : séparez lignes entre elles (les deux rayons accolés n'étant censés qu'en faire une) par une distance au moins égale à la hau- teur présumée qu'atteindront les pois. Ainsi Је P. Prince Albert et le Michaux hátif de Hollande sélevant de 70 centimétres à 1,20, suivant la nature du terrain, le temps et l'époque du semis, l'espace réservé ne sera pas moins de 1",50. Pour le grandes espèces, comme le Clamart, le Ridé de Knight, ` à garder ne devant pas étre moindre de 2 métres, il vaut mieux placer les lignes isolément, au cen ca emblaver tout le terrain ; laisserait-on trois ` umiére. C'est un des meilleurs abris, qu'on puisse employer contre les rayons du soleil couchant, en dirigeant les lignes du nord au midi. On ne se fait pas une idée MISCELLANÉES. que je critique, et je vous défie d'atteindre ce rendement. 2» Procédé pour obtenir les bulbilles d'ognons, dites Renards. — Beauco différents procédés préconisés, le meilleur, et par sa simplicité, et par sa réussite assurée, est celui-ci — je laisse parler mon d'ognons dans la février ou au commencement de mars, me réglant sur l'état de ma terre et du temps, dans un terrain trés-meuble, labouré avant au cordeau des raies trés-peu p ру sème i couvre à peine au rateau et je foule le terrain en marchant sur les raies. Toutes les six raies, je laisse un intervalle que Je marque en égalisant le sol avec le dos de mon rateau. Ce chemin, conservé pour le sarclage des oignons, est utilisé double la pointe pour plus d'assurance. J'ai tendu sur le bord d'une allée, à Га! et au grand soleil, un fil de fer à environ 1 0®50 du sol. C'est sur ce fil de fer que je au upe piu | А а bulbe se forme en absorbant peu à peu x fa- sève des feuilles qui jaunissent €" Dee nent. C'est alors seulement que J €" | . 8 les préservant de. la pluie. dE porte au grenier où je les conserve 4 de la gelée i š } Li ^ 1 mais Là devrait s'arrêter за дик. nous comme, chaque année, mon jet nons fournit des oignons énormes, Vrais 8 . — Ba E es $ š & à = * VANDA ВАТЕМАММІ т Moluques, Philippines. Lindl. Serre chaude è зве 461 1921 – 2. FIELDIA LISSOCHILOIDES Gacpicu. VANDA BATEMAN cios. Orchidacez. CHARACT. GENER. — Fieldta Gacpicn., vide Em, 91. — Vanda, vide Fong, II (1846), ЗАСТ. PAGE. — M e GAUDICH. ine Vanda DL.), V к, XVII, FiELDIA em Prés SH See de la nd, Trés-grande plante à tiges dressées, à racines aériennes d'une grosseur re- marquable, à feuilles ensiformes, cour- bes, distiques, dures, longues en 424, t. 56. — Висме, Rumphia, 49, t. 194. — Linni. Bees? in Wa сн Ann. VI, 870. — J. E. Prawcn. in 0 н ОВИЕ (Слсрсн. I. е. Wanda Bateman floral, compte plusieurs vingtain étalées à plat, eoriaees, trés- durables, d'exposition, dans l'intérét de plusieurs, je erois devoir le laisser continuer. “езі presque toujours sur Г emplacement En occupé mes melons, profondément remué dés l'automne pour bien mélanger et ово le fumier des couches, que je plante mes Renards dans les premiers jours de mars. Je commence, comme pour le semis, par gratter la surface au rateau, prospére dans un sol nouvellement re Jy trace des sillons de 5 centimétres de profondeur et à 0,20 de distance et j'y place mes bulbilles, également à à 0,20 les uns des autres ; aprés quoi je les recouvre en égali- sant la terre avec le rateau; toutes les six i par les pluies ou les ar- ; ne que je ne leur menage pas si la saison est chaude et séche. Quand mes oignons commencent à monter et que la hampe florale a une vingtaine de centimétres, par une chaude journ néede beau SEN je me mets en devoir de les castrer. 'es opération, diversem feuilles qui enveloppe la h romps juste au-dessus du bulbe; puis, rapprochant les deut lèvres de 1а em nte ux mes deux pouces, je әлден sans See ^ collet de la plante pénétrer e et je place mon genou dessus pour lui faire garder le pli pendant que J opere le suivant. Je n'ai plus, dés lors, qu'à sul n a nages, si la terre quelques légers binages à maintenir le sol friable. + 1973. MONOLENA PRIMULÆFLORA. Melastomaceæ. CHARACT. GENER. — —— ei tubus Producto, postice supra insertionem filamenti tu- XVII. 0 brevius ag hr ; minorum connectiv e late hærens, 5-quetrum, а 3-valvis, Y styli. dine 5- parvis. — Her Ae carnosule, lobo демо coronat ramidata, hilo basilari. des n glabre, rhizomale 20 Ee š 162 VANDA BATEMANI Глхог. et qui ne mesurent pas moins de 07,75 en diamétre. Mais се n'est pas seule- ment par les акаа que ces fleurs se recommandent : leur coloris est sur- moisies; leur revers, au contraire, est d'un pourpre vif, qui passe insensible- ment vers les bords au violet du Cereus speciosistimus. Trouvée à létat spontané dans les Moluques, les Philippines, ete., Crois- sant sur les arbres près des côtes. Б EP Nous avons repris les lignes. qui pré- cédent de la revue monographique des espéces de ce genre publiée par Lindley, que nous avons insérée à la page 550 de notre УГ volume; à la page 90 de notre ХУП vol., on retrouvera le tra- уай de révision que nous avons extrait de la Xenia, des Annales de Walpers et des autres ouvrages dans lesquels le D" Reichenbach a consigné ses démem- brements et ses descriptions. Notre УП? vol. contient à la page 148 une étude de M. T. Appleby sur la eul- ture des Vanda, à laquelle nous ren- voyons le lecteur. io NB. Folia = Q on. ass cordata v. олеш, ge . den Seapi gra- Flores ampli, in сутат at dispo- | siti, [эрезе pedicellati, carnei. J. D. Hooker, Bot. Mag ag. 5 5818. CHARACT SPECIF. — M. glaberrima, rhizomate i» D йы hu N Жы "e, A " — NES crasso tuberoso, foliis ris late ellipticis acu- -den minatis coriaceis obseu uato i i tis ciliatis өріп erviis, supra | viridibus, pe u E - aed ubro-purpurèis, p - eulis ex apice rhi- matis numerosi 1 рта Seen OSIS petiolo bæquile e 23 floris, р loboso lobis à bra ual qualibus rotun petalis roseis basi albis, J. D. үн Iooktn, ibidem. datis, | Monolena primul:eflora J. D. Hook., ibidem. | MONOLENA SPmuckr? Triana, Hookerian Her- | barium. | BERTOLONIA PRIMULINA Linn., in litteris | Lechler en a récolté des échantillons au Pérou, sg dans les bois prés de Mon- terico, à une altitude de 5 à 4000 pieds. Elle a depuis paru vivante dans l'établis- sement de M. Linden oü nous en avons fait ec le dessin d'aprés 1 nature ; ^ PRIMULA CORTUSOIDES GRANDIFLORA. ^ Japon. Rustique 1925. PRIMULA CORTUSOIDES AMOENA GRANDIFLORA. Passe pour cortusoides / Mais il est de fait que ce sont de charmantes plantes dues XM. John Gould Veitch qui les а rapportées du Japon. La premiére qui ait été vendue, aprés avoir été exposée, est celle à fleurs blanches, connue sous le nom de P. cortusoides alba; puis est arrivée la Reine, le P. cortusoides gran- diflora. SCH propagée à millions par tous les horticulteurs possibles, es primevére est considérée comme l'une des plus brillantes introductions or "enis mo- dernes. Rustique en pleine terre; tenue en serre, elle y est au moins aussi belle et se foree parfaitement. Sa floraison naturelle, dehors, est еп avril-mai. Sa multiplication de racines se pratique à la maniére du chiendent. L. VH. l'édition a t e ensuite dans les mains de M. W. | C'est une me plante herbacée dont la rosace feuillée est magnifique; ses. fleurs, + 1974. RÉPONSE А Àu moment de mettre sous presse, nous recevons le n° 2 de l'/llustration qui nous répond en brodant un thème, avec va tions, sur la coquille que notre imprimeur а ее en substituant, dans notre pré- cédent n°, le mot sollicitude au mot solli- citation. Cette coquille (mot que peut-être М. le directeur de fe ation ne connait pus) sautait aux t personne autre e M. le оо de Piilustration, ne se isi avisé d'en faire, méme indire cteme 20 recteur de Plllustration ne se trouvera jamais dans de semblables sensore on venei a (1) Nous prions d Ss ous peinerait viven sient de "s de nouveau, X 2 se € l'Hlustration se lever sur ses ergot: connue sous le nom de Boc Plus с cordata Fo cette belle бше + vi- à 08 уасе чы bons SET dans n jardins n tpe ne la vaut pas à beaucoup près ; le f vuilláge de celle-ci est "len large, plus élégamment lobé, à pa ani- en eimes scorpioides, sont roses, à onglet anc. vient d'étre mise en vente dans Elle l'établissement de King's Road. 1. VH. L'ILLUSTRATION. broutilles de monter р sur is schaal aux autres points de Particle de Qua M. le рс ае Villustration, « Sunt verba et voces, prælereaque nihil !... Un mot, cependan Dans les dix-huit Somn de la FLORE, toutes les planches qui concernent M. Lin- celui qui, pendant tant d | service de son commerce T 1975. pce CORDATA YEDOENSIS. gratuitement ses pe et ses pinceaux au L. Vi: cules bien plus serrées que chez sa devan- Нез sont laches et partant т moins it été importé de la Chine ; ive directement du accessible B; Son type aval notre variété nous arr Japon, pays qui n'était guére 164 autrefois, pas davantage que la Corée. Les cabote ous ces parages-là ont donc ornementales que u comme appartenant tout simplement à ce dernier pays. Les Macleya (Bocconia cordata et cor- data Yedoensis) se plaisent à mi-ombre, en dë 7 % % CN АС А ІГ A uj / 4 LS { € h qu'elles donnent abondamment et d’éclats. MISCELLANEES. appelle communément Bocconia ауес le vrai Bocconia frutescens qui dérive du Me- xique, des Antilles, et qui forme, dans ces pays chauds, de beaux arbrisseaux de plu- sieurs mètres d'élévation; mais ісі, nous de- vons les cultiver en serre, afin Феп obtenir des graines ou des boutures assez fortes pour que, vers la fin de mai, elles soient prêtes “с ` à figurer dignement dans nos кусы + l'air libre, où leur grand feuillage pinna u ) SS ш Б & "x. % p^ Nicara ( CYRTODEIRA CHONTALENSIS Sua Seem Serre chaude 165 CYRTODEIRA. CHONTALENSIS sern. Gesneriaceæ. CHARACT. GENER. Vide Hawsr. Li 1 Linnæ XXVI, 178, 207. = Ерініп Myr. Sca os i doi Hansr., Cyrtode ira, Skiop pr pam ST. Centros bet wea: soak nad XXXIV, t oia Oznsr.) Haxsr, Linnæa uH IARACT. SPECIF. — Cireuta; foliis ovatis s е Ge acutis basi subeordatis serratis eticulatim rugosis, supra variegato smaragdino ek e beige extus albidi lis, fauci flavo ; 5 ЕМ. atroviridibus, subtus purpurascentibus ; чу cinis 5 spatulato-linearil us, cor olla tubo (albo) intu laciniis аһата оу к labre. ardeners? Chronicle, 1867, 22, EPiscia Sp. Нлхвт. Linnæa, XXXIV, 255. €xnropxiRA Hassr. Olim. Linnza, XXVI, 178. Cyrtodeira chontalensis SEEM. Toutes les espèces de ce groupe aiment la serre chaude et sy cultivent en terrines, pour permettre à à leurs tiges allongées, rampantes, de s'y étaler et de Sy enraciner tout à leur aise. Ces ter- rines, de huit à dix pouces de diamètre, doivent être bien drainées à l’aide de Eros gravier ou de tessons de pots, de briques concassées ; on pose du terreau de feuilles par dessus. Pendant l'été, on utilise ces plantes comme garniture de Pourtour de vases à suspendre, de corbeilles d'appartements, ete. Avant la venue de l'admirable nou- veauté que nous présentons iei à nos lecteurs, on ne сопа en fait d'es- péees de ce groupe, que des plantes à fleurs d'un vermillon étincelant, telles que celle figurée à la page 260 du Ш° volume de la Eau (1847) sous le nom d'Achimenes cupreata, ainsi nommée de la couleur de son feuillage à reflet cuivré. Survint le travail du Dr Hanstein qui parut assez sérieux aux botanistes pour qu'ils en adoptassent les groupements. T 1976. AUX ABONNÉS DE LA FLORE. Nous publions aujourd hui, en un fas- cicule, les 10 н livraisons de la Flore des Ser ardins de l'Europe; illos. шк 1е XVIII vo- lume de la Publication que nous avons E chris en consultant plus notre bon vouloir que nos forces, il y a tantôt vingt- cinq ans, et dont il ne nous appartient pas de faire um обе, omm s abonnés ont pu s'en aper- cevoir, CH avons repris, depuis eertain temps, avec nouvelle ardeur cette Œuvre qui, à défaut d'autre mérite, a celui d'être un ouvrage iconographique sans pré- EA? jusqu'à се jour. Nous croyons avoir empli, et au- delà, les promesses que nous ауопв consignées dans le dernier article de notre XVIIe volume, au sujet de l'exécution et du fini des planches que nous faisons figurer dans ce recueil. Nous avons, en outre, appor té une plus g erande régularité dans sa publication, allant ainsi au devant des reproches que, à bon droit, on nous adressait de toutes parts à cet égard, et qui, en somme, d flatteur pour notre ouv présent volume а été pu de huit mois. Nous espérons nous main- tenir dans cette vaie nouvelle et regagner le temps perdu ; aussi nous promettons- aen de terminer wg d volume pour a fin de la présente an Nous remercions de не abonnés de l'appui qu'ils ont bien u = 20 = = e = < — ° б : cœur nos fidèles gements qui ( 5 ont si وو‎ tou ché; nous nous efforcerons de € e inuer à mériter suffrages et, pour 3 v arriver, no ous n'épargne- rons, comme nous l'av 'ons tou ere gen du reste, ni peines, ni обй ces. 2e et 3° dé cen du XIX* volume Mago s 1°, de la Flore dont le travail est pour ainsi dire achevé, paraitront en Ma " H 166 Le D' Hanstein créa le genre Cyrto- Чета dont ГАсһітепев cupreata Ноок. Bot. Mag., 4512) fut la première espéce, qui devint leCyrtodeira cupreata: genre qu'adopta Sir W^ Hooker, en publiant le Cyrtodeira cupreata viridi- folia (Bot. Mag., 5195); puis vint le Cyrtodeira metallica; et enfin Berthold Seeman fit paraitre à son tour sa nou- velle plante sous le nom de Cyrtodeira chontalensis, nom. sous lequel celle-ci entra dans les prix-eourants de tous les hortieulteurs et que tous les amateurs connaissent déjà, tout comme ils con- naissent le genre Achimenes. Mais сеп était trop aux yeux du Dr Hanstein, et ne voilà- t-il pas que, se mettant de nouveau à perfectionner son | CYRTODEIRA CHONTALENSIS See. classement, il détruit son genre Cyrto- deira! — Et qu'en faitil? Un Episcia ! Voyez -done ce vieux Besleria me- littæfolia de Linné, devenu ГЕрізсій melittæfolia de Martius(!), métamorphosé en Skiophila melittæfolia par Hanstein qui, lui-même, destitue ses propres Skio- phila, pour en refaire de nouveau des Episcia, genre qu il avait réduit en poussière (Linnæa, XXVI, 177) et qu'il Aged aujourd'hui sur. un trône magni- fique ! Conservons, provisoirement du moins, notre Cyrtodeira chontalensis. 1. VH. (1) ci venosa Dexe., Revue horticole, | 1849, p. 542. TABLE GÉNÉRALE MATIÈRES CONTENUES. DANS LE XVIII VOLUME. N. B. La table „улыр des matières contenues dans les quin à la fin du tome XV, et celle volumes de la el XVII, à LORE esl insérée à la fin de ces derniers. > Les caractères gras Abri , 90. Bette s striatum Thompsoni, 55. Acer tataricum, 195. Achim тепез. Ce genre s'enrichit des Eucodonia Locheria et I "ola, 117. 4 imenes Achimenes neegelioides diamantina, 140. 4:111. е, 115. Ailantus ам, son т 125. АП 1 s T. Моове, 25. ко: De Gran "rns 97. d'et g dE Antigo Aquilegia vie iflora, 12 dene | š Se origine, 1: E "ori ine belge, 81-86. = — Шуе e 86 à др í antations le DE chemins de fer, 11. атоме Les) de Linné, 149. Aristolochia Duchartrei iE. Aan, 119. И» pi e? 5 тес p (Ha es), 1 05. Autri che (Les. forêts de Г % 97. са L indi éonie Van ж» 57. — Mad, Iris Le Febrre, 65 — — Marie Van Моне, 67. e premiers gi tomes XVI indiquent les figures coloriées. reser 126-127. s, leur conservation, 15. Ba eem dé dcs in 2 = s auca recurvata СЕ: Lem., 25. pm mem s divessifolia Gran., 7. rosceflora 12285 55. Biblio ra м 9-15- ЧЕ o | Саво "ha mi a ый, Bocconia cordata Yedoeiisis, 165. Вой, coloration 'artificie fle, 65. ment ; chimie SCH 99. Caryopteris mongolica, 125 салығы quadricol lái о 15. ata Вснв., 115. бац ie jor ticole, 155. Cedrela sinensis, 123. ойнын „Баец, 92 à 96, 105. Cer ин ops s (Le commerce, 59. Chardons (Les) d anche Chaudières à ipie, moyen tions, Chau ffa ages : au wee phon, 72, 74, 71. Chèvre de Nubie d 52. hicorée sauva "d'éviter les inerusta- y 19. 1 Chine, plantes Se Mong golie, 123 à 126. Ciment (Bacs, еіс en), 14. TRICHOPILIA CRISPA MARGINATA Hort. Serre chaude. Amer. Centr. 9 ГЕ i 167 1925--26. TRICHOPILIA CRISPA MARGINATA. Orchidaceae. Il se peut parfaitement que la plante que nous figurons ci-contre, d'aprés un exemplaire que nous avons eu sous les yeux, ne différe pas scientifiquement du Trichopilia coccinea (Furore, XIV, 261; Valp. Ann., VI, 682, n* 9); mais, au semble pas : témoins ses pseudo-bulbes moitié moins longs (chez toutes). que dans le T. coccinea. Quant aux fleurs, qu'on en juge, en comparant la planche Que eontient notre XIV* vol., et nous garantissons que celles du T. crispa marginata ont étė dessinées et peintes dans nos ateliers. Jamais une planche ne parait dans la Етове qu'elle n'ait été revétue de notre visa; nos artistes con- naissent notre sévérité et, leni dra notre honnéteté sous се rappor est le plus beau des Trichopilia! mais nous prévenons que nous avons été mystifié plus d'une fois en achetant de Soi- “lisants crispa marginata faux. H fleurit à diverses époques de l'année; nous l'avons eu en fleurs en été её maintenant (25 bs il mon- tre de nouveau ses bouto Nous tenons les Trichopilia en pots et, comme les pédoneules n'en sont pas longs, nous plantons les pseudo-bul- bes sur une petite élévation, afin de per- mettre à leurs fleurs de mieux se déve- ы: les Orehidées en général doi- vent étre sevrées d'un excés ; d'humidité pendant leur repos, et les Trichopilia ne font pas exception à [а règle ; quand nous disons sevrées, nous n 'entendons pas que toute humidité doive leur étre refusée; mais il suffit alors que les: pseudo-bulbes soient simplement pré- servés par un fort léger bassinage, des rides qui naissent d'une compléte pri- vation d'eau. L. VH. Cinéraires, 12. ts f utescens, 125. ematis patens Veitchi, Cobæa penduliflora J. D. H Cochliostema Jacobianum Koo et d 85436 Coleus (Les), oloration artificielle des bois, 65. Commely om na de ns fol. variegatis, 9. Congrós Prologue 86 à 91. Correspondance Courants weg. leur cause, 75. Сеххіхонам, James, Notice biographique, 4 4. Cypripedium barbatum g andiflorum, 91. — Schlimi, 155. d 67. des "spices c SE geg 154 а 156. алса chontale SEEM., Datura sanguinea Rei ge ns 101 et 148. Delphinium Tr iomphe ры Ponto Deutzia neri fl. albo pleno, 47. idissima flore pl., 47. Disnthos ( (OEillets), tuteurage, 'attaches, 47. Diospyros Scl mosaica, 32. ryan 3 a Gon Coin un 104 à 105 ` — terminalis Liervali, 101 i à 103. Dracæna terminalis ar (Frons, ХУ, 77), 105. e $ = < рез [^7] 3 ngr 0- E naf arborea et Zoe? nee 101 à 105. s, 51, 56, 106, 107. 22 5 пара multiflora, 117. PH 8. pia AD, re Saint Triomphe Е 7 Hollande, 141... T 8 et К Ke „Ac himenes, 77,117 ; — Eucodonia, 41, 89, 105; -— Plecto poma, einote бі, 71; s, 45. өшеді m cm се пот, 55. Gloxi eus Flandre, 157. — — tue, ست‎ — lactée, 41. ` 3 E Goodyera macrantha et velutina; degré de rusticite, 5, 55, 5 Greffe 55 a cn e" scabra), 119 ct 148. Haies d'Aubé Hedysarum ei ces Tétégraphe, 78. 6 "est arrivée morte, » 108. 2 Pilea callirichioides TABLE DES llis disticha fl. Fem 11. е, 8. Hemeroca Hiver ; all) Epis Forten 1 Houi le, 5 Hyacinthus or orient, pas de: арыр. al. yk, 29. s, 97. Hydrangea stella ata Pelis Raez., 109. Les) du commerce, 109-110. Imantophyllum (Ly br. ) cyrtanthiflorum Jacinthes (Causerie i à E propos de), 27. АЖ r (Un), qu out, 31. Juglan t var inr 96. Juniperus exeelsa, 125. La =т= На luteola Jaco , 81 Lelia е сив. ыы › 125. Les E bicolor, eg ilrum ens, 48. - тфу en. 146. Liriodendron t tulipiferum fol. luteo-marginatis, 68. 117. L flue Beete, lepidephylluin, plante hygrométrique, Lycoris aurea, 145. Macleya cordata к, 165. Mandirola, genre gioi 5, 117. Mauvaises m leur сна n, 157. е; ео vel i strument américain, 10. Microscope Ec de Van aid ek, 9. Mimulus luteus fol. v S Monolena pr imuleflora 7 H iegatis, 9. s Па 117- 18. zw domestiques ; moyen Vie s'en débarrasser, 195, Она очын, 126. cin nea (FLon RE, VII, — 197. Ensete (Froe, XIV, 6 65), 126. écondation ar. rtificielle, 15. vittata (enn de а (FL ET Ж. Neiges éternelles à (Altitude des), i. OEillois, ituri е, attaches, AT. Oncidium fus en нв., 25 а 57. — Limminghei E». Kr .; 15 et 56. — splendidum Всив. — varicosum Rogersi, GH Ouragans, Padus sp, DM. et? s à l’aide de divers végé- Papillons (Attrape-), ЙЫ Passiflora saras HB., Péchers, taille, 6 e 4” Pelar he iR Iris Le Febvre, 157. omg? Wal, Ex læ атардан usca, m _ Physian en albens Pieux. Rie pour piloter, 71. ‚ 78. — Pin sylvest Pineenectitiz (Les), 25-26. MATIÈRES DU XVIIIe VOLUME. Pissenlit eg 12: Planète (Notre), si e elle пая à s'arréter ! 32. Plantes ке Révélation, 55. de serre (Les). Traité par r Da Perot, 75. Plectopoma буы: ) Colibri, 11: — rium rs, T Poires d’or iine belge, 81 à 86. "v aptis Am ов omologique de Lyon, 87 à 89, 100. Pois, diverses Ebenen. és, 107 à 112, 120, 191, cédé pour en préparer des conserves, 107 à Pommes, ei 100: ; 12, 19. Айе fnnt el aspirante, 18. rimu оти ides grandiflora, 165. Gegen г.) Rng 170: Prunes, 0. Pteris eretica эгеч aimes 155. chosperma ndræ, 151: жой deta ble à patio, 41. Re bois SE noine Mary erile, son introduction, 125. Repos va See 51. Rhaphis flabe ботів fol. aur.-var. 7 Sé e 40. H.),75. ales (M. Youn Жее ar fis Jar ni res plants alpines, 68. Rosier (Bour rain, 65. Salvia атада xí Desc а ве. 156. eiit japonica, son introduction, 125. Sparaxis pule nale fol. ; 129. qa son een comme re 43. ni KS anani, 6. — quitensis GE eg SCH Tapeinotes à Ca roline Waw Ta Ween sa têle vue ач ر‎ Fac 54. i re planète venait à s'arréter ! 52. Ther omite nd F T enheit, 56. Dt 72, 74, 77 et 128. us prolil erus, 145. Trib eet de terre, Trichopilia crispa wc gm 167 Lee ч р. aud =» is, Tro rum Swer, 95. Traje 0 [s Mak үт 105. а (hyb P À > bert te-Diabte, 131. Lë Batem VEITCH, dons Nécrologie 66, ара VICTOR УА n E DE LEMBEKE, i . 118. Vignes. Pro d go la greffe par approche des rties or ru а Blue Perfection, 149. a Marie-Louise, 47. Vitis amurensi is, 118-126. ; Vol de boutures, » ete. aum poeti 57. Xanthoc “natas wis sç elis Res ив. 7 et 157. FIN DU DIX-HUITIÈME VOLUME,